2005 vol 3 Winter

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News from CBI

Des nouvelles du CBI

By Ray Mowling, Executive Director, Council for Biotechnology Information (Canada)

Par Ray Mowling, directeur général du Conseil de l’information en biotechnologie (Canada)

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INTELLECTUAL PROPERTY PROTECTION AND RESEARCH INVESTMENT UNDERSCORE CANADA’S STRENGTHS IN AGRICULTURAL BIOTECHNOLOGY

LA PROTECTION DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE ET LES INVESTISSEMENTS EN RECHERCHE ILLUSTRENT LES FORCES DU CANADA EN BIOTECHNOLOGIE AGRICOLE

he Canadian biotech railway is a concept introduced by Canadian biotech leaders, including the National Research Council’s Dr. Arthur Carty, Canada’s first National Science Advisor to the Prime Minister. As the application of biotechnology expands across surprising and diverse industries, a railway is an appropriate image to captivate the collective Canadian psyche about the need to harness the new bio-economy and get it on track. From gene therapy in humans to healthier biotech foods in supermarkets to biomass shingles in the corner hardware store, such applications owe their existence to a common origin: our fundamental understanding of DNA structure.

a voie canadienne des biotechnologies est un concept mis de l’avant par des chefs de file canadiens de la biotechnologie, dont le Dr Arthur Carty du Conseil national de recherches, le premier conseiller scientifique national du premier ministre du Canada. Alors que se diversifient de façon étonnante les applications de la biotechnologie dans l’industrie, l’image de la voie ferrée est bien choisie pour attirer l’attention collective des Canadiens sur le besoin de tirer partie de la nouvelle bioéconomie et de la mettre en route. Des applications qui vont de la thérapie génique chez l’humain à l’assainissement des aliments par le génie génétique en passant par les tuiles de biomasse de la quincaillerie ont une origine commune : l’approfondissement de notre compréhension de la structure de l’ADN.

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Happily, agricultural biotechnology is succeeding around the world, both in research and in products being brought to market. Canadian farmers have exemplified that success by planting the biggest biotech acreage ever in 2004: 13 million acres. Even though adoption rates remained relatively stable compared to a year ago at about 77 percent for canola and 53 percent for soybean and corn, total acres planted increased as a whole. According to the Canola Council of Canada, 9.8 million acres of canola planted was biotech, Ontario, Quebec and Manitoba reported a record 1.6 million acres of biotech soybeans with approximately the same acreage being planted to biotech corn. While farmers are seen to be the enthusiastic early adopters of these new biotech products, made-in-Canada research and an open registration process contribute significantly to such success. It should come as no surprise that Canadian universities are leading the charge in bio-economy research. When the Council for Biotechnology Information (CBI) recently offered ten $500 travel bursary prizes for post-graduate students to attend the 2nd Canadian Plant Genomics Workshop in Quebec City, applications were received from 12 Canadian universities. The winners— Masters and Ph.D. candidates—are all under thirty years old and represent a wide range of biotechnology research, from cold and drought tolerance in crops to allergen identification in food. This is good news for Canada’s biotech research capability.

insights Winter/Hiver 2005

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L’agrobiotechnologie remporte des succès partout dans le monde, tant en recherche que dans la mise en marché de nouveaux produits. Un exemple de ce succès est la surface record ensemencée de cultures biotechnologiques par les agriculteurs canadiens en 2004 : 5,3 millions d’hectares. Bien que les taux d’adoption demeurent relativement inchangés par rapport à l’année dernière (77 pour cent environ pour le canola et 53 pour cent environ pour le soja et le maïs), les superficies ensemencées se sont accrues. Selon le Conseil canadien du canola, 4 millions d’hectares ensemencés en canola l’ont été avec des cultures biotechnologiques. L’Ontario, le Québec et le Manitoba ont de leur côté annoncé que la surface ensemencée en soja biotechnologique avait atteint le chiffre record de 650 000 hectares, la surface ensemencée en maïs biotechnologique étant à peu près la même. Les agriculteurs sont perçus comme les adopteurs précoces enthousiastes de ces nouveaux produits issus des biotechnologies, mais la recherche faite au Canada et l’ouverture du processus d’enregistrement contribuent aussi de façon importante à ce succès. Et comme on pouvait s’y attendre, ce sont les universités qui ouvrent la voie en recherche sur la bioéconomie : quand le Conseil de l’information en biotechnologie (CIB) a offert récemment aux étudiants diplômés dix bourses de voyage de 500 $ pour leur permettre d’assister au 2e Atelier canadien sur la génomique des plantes à Québec, il a reçu des demandes de 12 universités

BIOTECanada

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