Journal l'Éveil - Édition mai 2016

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Table des matières

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Éditorial Par Éric Fournier, rédacteur en chef

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Chronique Cinéma Par Sébastien Tremblay

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Les pensées du cœur de Marc Landry Par Marc Landry

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Agathe veut savoir... Par Agathe Fortin

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Les pages des proches Par l’équipe de l’Association

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La poésie de Mélanie Par Mélanie St-Amand

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La page détente Par Mélanie St-Amand

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Parler pour parler Par Karine Perron et Jonathan Galarneau

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5 astuces pour… apprivoiser sa solitude Par Dominique Simard, intervenante sociale

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L’éveil sur l’art de vivre... Par Valérie Lavoie

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Par Éric Fournier, Rédacteur en chef Deux poids, deux mesures Une grande majorité de personnes T.C.C. ont dû dire adieu à la possibilité de pouvoir travailler. Une globalisation trop large de cet empêchement encadrerait-elle certains d'entre eux? D'autres organismes s'occupant de personnes qui ont d'autres problématiques, ont des

programmes leur permettant d'exercer un travail restreint pendant un nombre d'heures limitées. Étant dans l'impossibilité d'exercer un travail, dans quel domaine le membre T.C.C peut-il rehausser sa valeur personnelle? Là où le bas blesse, c'est que les situations sont uniques à chaque individu, rendant ainsi la réintégration partielle au travail souvent épineuse. Problème différent, solution différente! C'est ce qui m'a donc amené à évaluer la valorisation acquise par le chemin du bénévolat. Moins rentable monétairement? Soit ! Mais ne faudrait-il pas voir la gratification au niveau de l'estime personnelle comme équivalent? La simple sensation ressentie par un traumatisé craniocérébral de se sentir utile à la société sans pour autant recevoir une récompense monétaire serait bonifiant en soit. La façon dont le gouvernement gère ses dépenses en ce qui a trait à la réinsertion des personnes traumatisées craniocérébrales dans le domaine d'une "profession" est, il faut bien l'admettre, hors de notre contrôle. Par contre, le fait d'entrevoir diverses solutions s'y rapprochant est pour moi, une façon de mettre l'épaule à la roue en vue d'une valorisation croissante de sa propre gratification. De par l'envisagement de solutions plus près de nos possibilités, pour ceux qui se sentent concernés, est une façon de faire avancer les choses. À mon avis, ce n'est guère la route que l'on prend pour se rendre à un but qui importe, mais plutôt de s'y rendre tout simplement. Une fois que cet objectif est atteint, nous pouvons gagner en fierté et exprimer haut et fort :"Mission accomplie!" En fin de rideaux, je vous dirais qu’il serait faux de proclamer que les diverses façons de faire sont en tout et partout adaptées à chacun d'entre nous. Par contre, en ayant l'audace de bien vouloir mettre ses efforts dans diverses organisations de bénévolat, nous contribuerions à faire avancer les programmes sociaux pour chaque individu qui ne recherche qu'à apporter son étincelle au feu roulant de la vie.

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De Sébastien Tremblay

La cote d’appréciation de Sébastien = Le film de l’année! = À ne pas manquer! =Bon film! =Bof… tant qu’à rien faire! =J’aurais dû rien faire!

PAUL À QUÉBEC Film dramatique réalisé par François Bouvier avec François Létourneau, Julie Lebreton et Gilbert Sicotte. C’est l’histoire de Paul et de sa bellefamille. Nous sommes témoins de la vie familiale des Beaulieu, mais on assiste au déclin de Roland, le beau-père de Paul. La beauté des petits moments de la vie qui nous rappellent entre autre l'importance d'en savourer tous les instants.

LE PETIT PRINCE Film d’animation réalisé par Mark Osbourne. Une petite fille modèle déménage dans un nouveau quartier avec une maman hyper occupée. Elle fait alors la connaissance d'un vieux voisin, l'aviateur, qui lui fait connaître le monde merveilleux du petit prince. Lorsque le vieil homme tombe malade, la petite fille met tout en œuvre pour retrouver le petit prince. Le film est d'une esthétique merveilleuse (fait à Montréal), mais le scénario est fait un peu à l'hollywoodienne, surtout la fin. 4

DEADPOOL Film d’action réalisé par Till Miller avec Reyan Renoldass et Morena Boccarin. Wader Wilson est un ancien membre des forces spéciales et il rencontre une jolie fille qui devient sa compagne. Ils vivent le parfait bonheur jusqu'au jour où Wade apprend qu'il est atteint d'un cancer incurable. Une seule solution, un scientifique lui propose une cure qui le transformera en surhomme; seul problème, il en ressort complètement défiguré. Très bon film de super-héros

LE REVENANT Film western réalisé par Alejandro Gonzalez Ivanitu avec Leonardo DiCaprio, Thom Hardy et Will Foulter. Un trappeur qui sert d'éclaireur à un groupe d'américains pour rapporter des fourrures. Quand le trappeur est attaqué par un ours; ses confrères font des pansements sur ses blessures, mais réalisent qu’il ne survivra pas, ils l'abandonnent après avoir tué son fils. Le trappeur survit contre toutes attentes avec une seule idée en tête, se venger. Super bon film qui nous donne une leçon de survie et de courage qui vous captivera du début jusqu’à la fin. .


De Marc Landry

Nous avons demandé à notre journaliste Marc Landry, de nous faire part de ses pensées du cœur sur la consommation et l‘alimentation. Voici ce qu’il a réfléchi pour nous! « En général, on consomme pour combler un besoin. Si ce dont j’ai besoin c’est qu’on m’offre de l’information sur mes besoins de consommation alors venez m’aider, j’en ai besoin! La consommation se planifie en fonction des besoins. Mais la consommation, en général, comble plus un caprice qu’un besoin. On doit se nourrir! Certes! Mais est-ce un appétit accessoire genre ‘fringale’ ou un besoin pressant de satisfaire un besoin vital. (soupe, plat principal, dessert, et le fameux liquide pour faciliter le stockage et toute sorte d’autres aliments pour justifier que l’on a facilité le stockage.) On a beaucoup d’illusions sur ce qu’on pense être décisionnel. Combien de choses que nous répétons sans se poser de questions. On mange parce qu’il est midi. On boit parce que c’est la fête à quelqu’un… On ne mange pas parce qu’on a faim, on mange pour éviter d’avoir faim… Dans la réalité, on ne comble pas sa faim, mais ses caprices. Je trouve que la façon dont on s’alimente témoigne de notre façon d’aborder la vie. Les gens qui mangent vite ont souvent des vies plus superficielles. Ils font les choses par répétition plutôt que par satisfaction. Se nourrir c’est une nécessité, le bonheur de le faire est crucial! »

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Par Agathe Fortin

J’ai interrogée pour vous le 9 mars, monsieur Mathieu Brisson, travailleur social. C’est un homme qui aime les gens et qui a à cœur de les aider. Voici ses réponses à mes questions. Dans quel organisme travaillez-vous? Quelle est la mission de l’organisme? «Travailler au Centre de Prévention du Suicide 02. Le Centre de prévention du suicide a comme mission de prévenir le suicide et contribuer à réduire les facteurs de risque associés dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Son principal objectif est de susciter la prise en charge du phénomène du suicide par la communauté en favorisant la promotion et la coordination des efforts en matière de prévention, intervention et post intervention.» Quelle est la plus grande cause du suicide? «L’isolement est la plus grande cause du suicide. 80% des personnes décédées par suicide sont des hommes.» Comment les personnes de l’entourage vivent le deuil par suicide ? « Très difficilement, elles prennent la responsabilité, se sentent coupables et

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se demandent pourquoi. Elles ont une très grande souffrance. » Quels sont les moyens de s’en sortir? «Il faut demander de l’aide dans votre environnement personnel ou via les professionnels de la santé. » Comment aider un ami qui pense au suicide?

«L‘écouter et ensuite le référer le plus vite possible au Centre de prévention du Suicide 02 au 1-866-277-3553.» C’est quoi ton truc pour être capable de venir en aide à toutes ces personnes? «J’interviens avec un certain détachement émotif. Il ne faut pas prendre les problèmes des autres sur nos épaules.» Après cette rencontre, je te dirais qu’avant de poser un geste irréparable comme celui-là, pense à la souffrance que tu ferais à ton entourage…


Cette page sera dorénavant dédiée aux proches de nos membres qui ont subi un traumatisme craniocérébral. Vous êtes très importants pour nous et c’est pourquoi vous pourrez trouver des trucs, des témoignages, des articles sur des sujets qui vous touchent: Pour cette première édition, l’Association Renaissance est très fière de vous annoncer nos nouveaux services de répits des proches aidants. Vous recevrez les détails du projet dans les prochaines semaines. Pour toutes questions, n’hésitez surtout pas à communiquer avec Dominique Simard, intervenante sociale au 418-548-9366 poste 22.

Répit à la maison

Camps Renaissance

Un éducateur spécialisé est formé en intervention auprès des personnes traumatisées craniocérébrales et se déplace chez vous pour vous permettre de sortir!

Une équipe spécialisée et dévouée accueillera les membres pour une période de deux nuits pour une aventure hors du commun.

«Le plein d’énergie» vous permet, pour une période de 4 heures ou plus, d’effectuer une sortie de façon régulière. 32 heures de répit sont disponibles gratuitement pour chaque proche aidant.

«Répit/dépannage: obligation ou rendez-vous» vous donne accès à un éducateur spécialisé qui prendra votre relève lorsque vous avez un rendez-vous ou une activité ponctuelle.

Cinq camps de vacances durant l’année seront offerts aux membres de l’Association. On s’occupe de tout! Activités diversifiées, repas et couchers au Centre du Lac Pouce. Vous pourrez en profiter pour vous reposer, faire un petit voyage, faire des activités avec des amis… Les camps auront lieu en juin, septembre, novembre, janvier et mars. Surveillez votre programmation!

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Par Mélanie St-Amand

Les Jugements Que de tristesse inonde

Il faut vivre pour comprendre

Votre pensée lorsqu’on vous

Les leçons qu’on doit apprendre.

Juge sur les apparences;

Perdre son étroitesse d’esprit

Des images qui briment la

Pour retrouver bon nombres d’amis.

Vérité se projettent,

Toi qui ne pense qu’à juger,

Vous êtes sans défense.

Es-tu symbole de vérité?

L’être qui aspire à les maîtriser

De qui as-tu reçu tes droits

Doit protéger sa sensibilité

Pour vouloir imposer ta Loi?

Pour éviter que ces dires Le hantent, le conduisent au

Le bonheur des autres est trompeur;

Seuil de la tourmente.

On ne peut s’en vitaliser. Chacun vit ses jours de douleur;

Pourquoi tomber dans l’indignité

Ils résident dans l’intimité.

Gardez rancune, restez éveillé

À savoir vivre intensément

Pour des injures qui vous amenuisent

On vibre au soleil du présent

Qui sont miroirs de ceux qui les disent.

Car les gens ont toujours à dire

Pourquoi accepter leurs projections

Sur vos paroles et vos agirs.

Ou subir leurs fausses illusions. Assumer la sentence qu’ils proposent Puisqu’elles froissent la vérité.

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Par Mélanie St-Amand

Charade 1 Mon premier est le petit de la vache, Mon deuxième est la 11e lettre de l’alphabet, Mon troisième se fait avec du savon, Mon quatrième se respire, Mon tout permet de bien maitriser une langue. Réponse :________________________________________ Charade 2 Mon premier se lance quand on joue, Mon deuxième compose la phrase, Mon troisième est de la saleté Mon quatrième est nu sans point, Mon tout est un régime politique. Réponse :________________________________________

Charade 3 Mon premier est un divertissement, Mon deuxième est le contraire de plein, Mon troisième est la terminaison des verbes du 1er groupe, Mon quatrième est une voyelle, Mon tout se joue sur une console. Réponse :________________________________________ Voir les réponses à la page 13 9


Le suicide, un mal difficile à communiquer Il arrive à tous, un jour ou l’autre, d’avoir des idées noires. Mais qu’estce qu’une idée noire? Comment différencier une idée noire, d’une idée suicidaire? Quoi faire, quelle attitude prendre et quels services nous sont offerts ? Voilà quelques questions que nous pourrions nous poser ou être confrontées ? Une idée noire c’est par exemple se dire: «si j’étais mort, ça serait moins compliqué. Si j’étais mort, je n’aurais plus de problèmes.» Les idées suicidaires tant qu’à elles, sont plus concrètes et sérieuses. La personne définit la manière (le Comment) qu’elle pourrait se suicider, l’endroit (le Où) et le moment (le Quand). Si on met la première lettre de chaque mot entre parenthèses l'un à la suite des autres, nous obtenons le mot COQ. Quand le COQ est décidé, la personne est en 10

danger et elle a besoin d'aide le plus rapidement possible. Il n’est jamais facile de parler de nos problèmes à quelqu’un. C’est également parfois difficile de trouver une personne avec qui nous sommes assez à l’aise pour lui communiquer nos peines, nos inquiétudes et nos souffrances. Lorsque nous avons des idées noires, nous devons en parler. Souvent, le fait de verbaliser nos soucis nous permet de ventiler et par le fait même diminuer la souffrance et de se sentir moins seul avec les pensées négatives qui nous habitent. Cela nous permet aussi de se sentir compris. L’autre personne pourra ainsi nous aider à cibler et identifier des moyens et des solutions à notre disposition pour alléger notre souffrance. Si on ne connait personne à qui en parler, il y a des services que nous pouvons utiliser. Il y a Tel aide, Info social (811) et le Centre de prévention du suicide. Lorsqu’une personne vient vers nous pour nous parler de son mal de


Par Karine Perron et Jonathan Galarneau, éducateurs spécialisés

manière, mais il ne faut pas oublier que la personne, ce qu’elle veut avant tout, c’est d’arrêter de souffrir.

En conclusion, il est également primordial de se trouver une personne de confiance avec qui échanger nos joies et nos peines. Si celle-ci n’est pas disponible, se référer aux services offerts et de les utiliser en cas de besoin. vivre, c’est qu’elle nous a choisis. Il est donc important de l’écouter et de lui donner le temps qu’elle a besoin. Ce n’est pas toujours facile d’aborder ce sujet par peur de se faire juger, de se tromper, de ne pas agir de la bonne

Pour connaître quelques trucs pour se garder une bonne santé mentale, lire l’article les 5 astuces pour… écrit par Dominique Simard, intervenante sociale à l’Association Renaissance.

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5 ASTUCES POUR… Par Dominique Simard Intervenante sociale

Notre santé mentale est fragile et il n’en tient qu’à nous de s’en occuper! Vous faites plusieurs actions pour garder une bonne santé physique, vous vous lavez les mains avant de manger, vous vous brossez les dents, vous dormez lorsque vous êtes fatigués, vous faites du sport pour avoir un corps en forme, etc. Mais qu'est-ce que vous faites pour cultiver une bonne santé mentale au quotidien? Voici quelques petits trucs à mettre en application pour avoir une bonne santé mentale!

Reconnaître et gérer son stress Le stress est nécessaire pour la survie de l’espèce ! Cela vous pousse à courir vite si un danger arrive… Mais il est plutôt rare qu’un réel danger se pointe le bout du nez! Sudation, tremblements dans la voix, difficultés de concentration, le corps vous envoie de sérieux signaux d’alarme. À long terme, le cœur et le système nerveux peuvent être gravement atteints! La santé mentale est aussi touchée et certaines personnes sont continuellement sous le stress parce que leur cerveau ne fait pas bien la différence entre une situation normale et une situation stressante. Demandez-vous s’il y a un réel danger ou non et calmezvous! Une tisane, un bon bain chaud, un peu de lecture, de la méditation, trouvezvous un truc pour baisser votre niveau de stress au quotidien…

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Se trouver une passion

Lâchez prise À quoi bon ressasser les erreurs du passé? On n’y peut plus rien! N’utilisez plus les «j’avais fait» et les «j’aurais dont dû»! Trop tard pour changer l’histoire… Faire la paix avec le passé vous enlèvera un poids important pour vivre votre présent à fond! Parfois de l’aide d’une personne impartiale ou d’un professionnel peut être nécessaire pour relativiser les choses et se dire qu’au final, avec les moyens physiques ou psychologiques que vous aviez, avec l’expériences que vous aviez à ce moment précis, il était impossible de prévoir les erreurs...

Si vous ne l’avez pas encore trouvée, cherchez vous une passion. Vous savez, quelque chose que vous faites sans compter les heures… Une activité qui vous donne envie de la répéter le plus souvent possible! Faites des essais et erreurs si vous n’avez pas d’idées! Vous trouverez bien la chose qui vous fait vibrer! Le but étant de se donner des moments qui nous font du bien.

Allez-y, cultivez votre santé mentale!

Réponse des charades de la page 9

1- Veau-k-bulle-air: Vocabulaire 2- Dé-mot-crasse-i: Démocratie 3- Jeu-vide-er-o: Jeu vidéo 13


Je m'adresse à tout ceux qui aiment de proche ou de loin voir quelque chose grandir peu à peu. Que ce soit un enfant ou une graine de fleur, de légume ou encore de fines herbes. Mon sujet d’aujourd’hui; les fines herbes. Pour le commun des mortels, s'occuper de plantes semble soit difficile à entretenir, ou que vous n’avez pas le temps. Je connais très bien les jardins collectifs qui peuvent vous accommoder si vous n’avez pas le temps d’entretenir. Personnellement, je préfère celui qui est dans ma cour arrière. Ce que je préfère est de planter et de manipuler la terre. Après, de voir pousser et d'organiser les emplacements des variétés de fines herbes pour ensuite pouvoir les différencier. Une fois les plantes à l'extérieur, ça permet aussi de se créer une routine. Comme pour les fleurs, nous pouvons retrouver des herbes vivaces et des annuelles. Les herbes annuelles sont le persil, le basilic, le romarin et les autres sont vivaces. Maintenant, nos émissions préférées comme l'Épicerie peuvent avoir des chroniques sur les fines herbes. Ils nous ont présenté toutes sortes de fines herbes qu'on retrouvent au marché. Ils ont déposé les fines herbes au réfrigérateur durant 3 jours et nous proposent donc quelques trucs pour mieux conserver au froid durant l'hiver nos herbes.

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Par Valérie Lavoie Fines herbes

Comment les conserver

Basilic

Réfrigérer rapidement car il n’aime pas les écarts de température. Dans un verre d’eau 2 ou 3 jours.

Coriandre

Mettre au réfrigérateur dans un verre d’eau avec les racines puis déposer celui-ci dans un sac d’épicerie.

Persil

Couper les tiges et mettre au réfrigérateur dans un verre d’eau puis déposer celui-ci dans un sac d’épicerie.

Menthe

Dans une boîte hermétique ou dans sac à glissière ou ajouter un peu d'eau. Si vous le congelez, il ne faut pas qu'il soit humide.

Sauge

Mettre au réfrigérateur dans un sac d’épicerie en faisant une poche d’air.

Surplus d’herbes fraîches

Mettez vos herbes dans un bac à glaçons pour faire de petits cubes de glace. Ajoutez de l’huile ou de l’eau selon vos besoins futurs.


La présidente du RAPTCCQ, vous a écrit un petit mot!

Ce journal a été en partie commandité par

« J’admire votre courage et votre détermination Nicole Tremblay, présidente du Regroupement Provincial des Associations des Personnes traumatisées crâniennes »

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