EN TERRITOIRE MILITAIRE
(jo
no
une forme
sous
pciil arrôler, à pc'nétrcr
assez disso-
peu dense pour n'èlrc pas en mesure de
ciée et assez
résister par la force à
une
police indigène solidement
organisée en arrière. Ainsi constituée et soutenue par
population
la
armée, cette organisation présente de
sérieuses garanties de sécurité.
Lne bande môme
forte qui aurait réussi à forcer le passage
subsister dans l'intérieur.
faut,
lui
Il
vivre et se dérober aux poursuites,
habitants
la
pour exercer son industrie,
et,
munication avec venus à rendre
la
en
assez
ne pourrait effet,
pour
complicité des sa libre
com-
Chine. Le jour où nous serons par-
les entreprises
de
la piraterie assez
hasar-
deuses et ses bénéfices assez incertains pour dégoûter bailleurs de fonds qui
les
commanditent
nous serons tranquilles dans
Nous prendrons tière
ici
le
l'organisation
dépendant de Dong-Dang, au
militaire
proprement
les
bandes,
Haut-Tonkin.
du tronçon de fronmoment où l'effort
de disperser
dit vient
et
de re-
fouler les rassemblements pirates établis à demeure.
Après 1893 par
la
colonne du Po-Mou conduite en octobre
le
colonel Servière, le voisinage immédiat de
Dong-Dang
se
trouvait débarrassé de ces rassemble-
ments. Quelques groupes avaient gagné au sud-ouest les
rochers
du Caï-Rinh, que
les
colonnes de décembre
1893-janvier
1894 devaient nettoyer nombreux remontant la frontière vers allés
se
d'où
ils
;
le
d'autres,
reformer dans un canton voisin, continuaient à désoler
Kong jusqu'en mars
1894.
colonne conduite par purgera ces parages
le
les
A cette
rives
plus
nord, étaient le
Ilan-Lu,
du Song-Kv-
époque, une nouvelle
lieutenant-colonel Chapelet,
et y laissera les détachements chargés d'occuper délinitivcment la frontière.