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Massif de la Serre

Un belvédère à vocation pédagogique ■

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Une première pour la Plaine Jurassienne

Il y a 880 ans, lorsque les frères Constantin et Robert décident de rompre avec le monde et de vivre en solitaires dans la verdoyante vallée de l’Ognon au pied du massif de la Serre, il est probable qu’aucun d’entre eux n’eût imaginé qu’un jour, un long ruban d’acier entraînant de folles machines lancées à vive allure, viendrait perturber leur quiétude. Près de neuf siècles plus tard, les moines sont toujours là, à l’ombre de Notre Dame d’Acey, nom d’un lieu-dit devenu célèbre. Pages 6/7

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Prodessa

Aidez-vous la vie Qualité, rigueur, professionnalisme, autant d’atouts revendiqués par l’association d’aide à domicile d’envergure départementale, dotée d’antennes à Champagnole, Dole, Lons-le-Saunier, Morez, Moirans, Saint-Amour, Saint Claude, Saint-Lupiçin, qui compte 700 salariés.

P

rodessa qui fêtera ses 60 printemps fin 2008. L’âge de la maturité, de la nouveauté et surtout pas celui de la retraite selon, Madame ROTA Directrice Générale de la structure.

Un panel de services à la personne Aider, telle est la vocation de l’association, fondée en 1948. 59 années passées au service des personnes. “A l’origine, la mission de Prodessa consistait à aider la famille et les mères dans leurs

tâches quotidiennes, à préparer les jeunes filles à leur tâche future” explique Madame ROTA. Aujourd’hui, et au fil des années Prodessa a élargi et enrichi son réseau de compétences, proposant à chaque nouveau client dans un livret d’accueil remis à jour, une gamme de services. “Nous intervenons auprès des familles, dans le cadre de l’aide sociale à l’enfance à travers les missions Ase, mais aussi des missions financées par la Caisse d’Allocation

Familiale et également auprès des personnes âgées et dépendantes, une aide créée en 1962”. Prodessa propose également des services de soins infirmiers à domicile. “Des aides soignantes et des aides médico-psychologiques interviennent auprès des personnes âgées ou handicapées”. Mis en place en 2002, le service d’auxiliaire de vie handicap vise à aider les personnes handicapées dans leur vie quotidienne, toilette, déplacements, préparation et prise de repas.

Depuis 2006, un ser vice bricolage-jardinage sur St Claude permet de faciliter la tâche de tout un chacun pour effectuer de petits travaux d’entretiens et/ou de jardinage ou autres petits services techniques. Enfin, parmi ce panel d’activités figure un service mandataire destiné aux particuliers employeurs. “Dans ce contexte, nous assumons la sélection des salariés, l’élaboration des contrats de travail et feuilles de paye, le conseil juridique, en bref tout ce qui est lié à l’emploi d’un salarié”. Familles, personnes âgées, ou personnes handicapées, Prodessa se met au service de chacun et s’adapte en fonction des situations pour faciliter la vie de ses clients.

Une démarche qualité La force de Prodessa réside dans sa démarche qualité, et sa volonté de proposer aux clients le meilleur des services. “Cette démarche qualité doit voir son aboutissement par l’obtention de la certification à la norme Afnor fin 2008, début 2009. Une façon d’officialiser et afficher notre démarche qualité, une sorte de point d’orgue au travail accompli. A travers cette norme, l’objectif est aussi d’accentuer un sentiment d’appartenance à l’entreprise, de créer un lien d’entreprise entre toutes les antennes”, insiste la directrice.

Prodomia, fille de Prodessa

Une âme et une éthique Outre cet idéal de qualité, Prodessa revendique une âme, à savoir des valeurs éthiques affichées et partagées par les salariés à l’égard des clients au centre des attentions de l’association. Respect, confidentialité, intégrité, rigueur professionnelle, responsabilité, telle est la déontologie mise en pratique par Prodessa. Dans ce cadre “à travers une politique de formation du personnel, l’association souhaite déve-

lopper l’accompagnement et le soutien psychologique de ses salariés en proie souvent à des situations complexes pour leur apprendre à gérer leur stress, mettre l’accent sur la prévention des risques par rapport à l’hygiène” mais aussi par rapport à tout autre risque dont les risques routiers” souligne la directrice. Prodessa mise ainsi sur le confort de travail avec comme objectifs la satisfaction et le bien-être des clients.

ASSOCIATION PRODESSA Immeuble Chauvin - 34 rue des Salines BP 10182 - 39005 Lons-le-Saunier - Tél. 03 84 86 27 99 www.prodessa.com - info@prodessa.com

Point d’orgue de l’aide aux personnes, la création de Prodomia, une EURL (Entreprise Unique à Responsabilité Limitée). “En 2005, Jean-Louis Borloo a lancé un projet afin de développer les services à la personne. La création de Prodomia s’inscrit dans ce contexte. Etant donné notre savoir-faire, nous avons décidé de mettre en place une structure prenant en compte les besoins des personnes. Garde d’enfant à domicile, aide aux devoirs, préparation des repas, tâches domestiques, autant de services proposés par Prodomia, qui visent à soulager les familles. Nous envisageons de proposer du soutien informatique et de mettre en place un partenariat avec les sociétés de SPA pour prendre en charge ponctuellement les animaux familiers, les nourrir”. Une structure qui véhicule les valeurs éthiques de Prodessa et apporte toutes les garanties de l’intervention à domicile pour entretenir une relation de confiance avec les clients.


ENVIRONNEMENT ■ MASSIF DE LA SERRE

Une triple facette : historique, pédagogique et politique “Le projet de réhabilitation de Serre et Chaux présente de multiples intérêts” souligne Pascal Blain, président de l’association Serre Vivante depuis 10 ans. Historique et patrimoniale tout d’abord. Les vestiges de ce belvédère (pièce métallique, borne de repérage du plus haut point, piliers de bois) en témoignent. “Il s’agissait d’un ancien obser vatoire doté d’une visée de 360 degrés sur la vallée du Doubs, de l’Ognon et du Val de Saône, utilisé par l’armée pour effectuer des repérages et dresser des cartes d’état-major”. Outre cet aspect culturel qui se traduit par une recherche d’archives (cartes, documents IGN), ce projet entre dans le cadre de l’aménagement du territoire et prend ainsi une dimension politique. “Nous souhaitons créer un pôle d’attraction sur le massif de la Serre, un outil touristique à vocation pédagogique pour le respect et la préservation des milieux”. Comprendre la diversité des milieux, à travers une lecture géographique des paysages, apprécier la richesse faunistique, et protéger à travers une vision panoramique suscitant une émotion, telle est la triple ambition de ce projet.

“Faire découvrir aux touristes, promeneurs, et randonneurs, pour nous aider à protéger, telle est notre volonté” précise Pascal Blain.

La biodiversité au cœur du massif de la Serre Le massif de la Serre se caractérise par une biodiversité exceptionnelle, aussi bien pour la faune que pour la flore. “C’est un milieu d’exception en termes géographiques, puisqu’il se situe en zones de plaine. En termes géologiques nous sommes sur un massif granitique et non pas calcaire, ce qui implique la présence d’animaux et de végétations différents. C’est un véritable écrin environnemental” s’enthousiasme Pascal Blain. A travers ce projet de reconstruction de belvédère sur l’ancien site historique, nous voulons permettre à des instituteurs d’emmener des groupes d’enfants pour leur faire connaître plantations et paysages du massif, insiste Pascal Blain.

ment Serre et Chaux-Jura Dolois en vue de la future communauté d’agglomérations. “Etude de faisabilité, impact sur l’environnement, aménagement de parkings, d’accès au site du belvédère, de tables de pique-nique, de sentiers balisés, autant d’éléments indispensables pour boucler à bien ce projet” estime Pascal Blain. Un projet qui pourrait voir le jour en deux ans, soit 2009. “L’occasion peut-être de faire appel à des entreprises locales ou aux étudiants du lycée de Mouchard afin de valoriser les talents locaux” poursuit Pascal Blain, qui fourmille d’idées pour ce projet. Dans ce cadre, un sentier d’interprétation ainsi qu’une table d’orientation se révèlent indispensables pour guider les promeneurs et donner quelques clés pour décrypter le paysage. “L’idée maîtresse de ce projet consiste vraiment à proposer aux visiteurs plusieurs offres complémentaires, les inciter à rester une journée entière en

BONIN *

S O L D E S

Pascal Blain, président de l’association Serre vivante devant le belvédère.

pleine nature entre la grotte de l’Ermitage, le belvédère et la maison de la biodiversité” conclut Pascal Blain. Avec le belvédère culminant à une vingtaine de mètres au-dessus des arbres, les amateurs de sensations fortes ne seront pas déçus, avec au bout de leur ascension une vue magnifique sur le paysage environnant.

Le Saviez-vous ? Le site du belvédère culmine à 391 m de haut, le point le plus haut du massif de la Serre. En comparaison, Dole se situe à 140 m et le point le plus élevé de la forêt de Chaux culmine à 250 m.

Le chiffre :

3 l’observatoire s’est effon-

dré à plusieurs reprises, il a été reconstruit trois fois en 1914, 1934 et 1945. L’édifice s’écroule après la Seconde guerre mondiale, faute d’entretien.

Alain Courderot, maire de Malange depuis 1982 “Nous avons été favorables à ce projet de notre côté. Il s’agit d’un équipement de tourisme et de loisir. Petit clin d’œil d’ailleurs : c’est mon grand-oncle Auguste Courderot, maire de Malange, qui en 1906 avait établi la concession faite à l’armée pour l’établissement de cartes sur ce site. La vue sera superbe.”

* Période légale et selon étiquetage en magasin

Porté par le rapprochement du Jura Dolois et de Serre et Chaux dans le cadre de la communauté d’agglomération, le projet du belvédère dans le massif de la Serre, établi sur un emplacement historique se veut un outil touristique au service de la préservation des milieux et de l’environnement.

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Un projet intercommunal Ce projet, porté depuis 2000 par le maire de Sermange, Georges Curie, trottait depuis longtemps dans les esprits des élus des différentes communes (Jura nord, Serre et Chaux, Jura Dolois). Il a fini par trouver un écho favorable dans le cadre du rapproche-

Une maison de la biodiversité Un périmètre Natura 2000 “Dans le cadre du périmètre Natura 2000, un inventaire de la faune et de la flore est en cours de réalisation. Parmi les tendances animales emblématiques de la richesse du milieu de la Serre figurent 17 espèces de chauves-souris toutes d’intérêt européen, dotées d’un label visant à leur conservation” souligne Pascal Blain. Parmi les autres espèces se trouvent des batraciens aux noms originaux (le triton crêté, le crapaud sonneur à ventre jaune), des oiseaux (nicheurs et migrateurs), dont trois sortes de pics. Le royaume des espèces Au vu de cette incroyable diversité, s’est profilée l’idée de l’élaboration d’une maison de la biodiversité avec pour emblème la chauve-souris. “Le château d’Amange pressenti pour être le lieu d’accueil de cette maison, hébergeant déjà une colonie de chauves-souris sous ses toits, se présenterait comme un centre d’initiation au patrimoine environnemental” insiste Pascal Blain. Ch. C

■ CRAMANS

P R Ê T

À

P O R T E R

F É M I N I N

SUR UN ARBRE PERCHÉ… Constructeur professionnel de cabanes dans les arbres à Cramans, (société Abane), Cédric Bolmont a conçu un guide truffé d’astuces permettant à chacun de concevoir sa cabane aux cimes d’un arbre et d’abriter ses pensées au royaume sylvestre. Au fil des pages agrémentées de dessins, photos, véritables sources d’inspiration propices à l’imagination, le rêve d’enfant prend corps et forme dans le respect de la nature. Un rêve qui se décline en une pluralité de formes et de tailles, où plate-forme, poteaux, murs, portes, fenêtres, cordes, toiture, éléments naturels ou de récupération concourent à donner un aspect authentique à la cabane. Du choix de l’arbre et des espèces en passant par la concrétisation du projet et les règles de sécurité à respecter, Cédric Bolmont indique toutes les étapes aux futurs propriétaires de cabanes en précisant qu’il “s’agit d’un ouvrage indicatif, un carnet de notes pour bricoleurs destiné à aiguiller les futurs bâtisseurs dans leur construction”. “J’avais envie de faire partager aux autres ce rêve de gosse. On a tous réalisé une cabane dans les arbres avec des planches lorsque nous étions enfants. Je voulais montrer les infinies possibilités de construction de cabanes” souligne Cédric. Un guide de construction qui a pour particularité d’être en papier recyclé et encres naturelles. Un guide qui pour l’esthétique porte en lui le voyage et respire le rêve. Alors que chacun retrousse ses manches pour exprimer sa créativité et sa personnalité. Disponible en librairie, supermarchés et sur le net. Edition Abane, distribué et diffusé par Rando Diffusion en France au tarif de 14,50 euros. Contact : Cédric Bolmont au 06 61 58 71 80 - cedric.bolmont@wanadoo.fr - www.abane.fr

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te La Rou ges des Villa Champvans Concert L'AJC de Champvans et l'association Carbone 14 music se réunissent pour proposer un plateau régional composé de Carbone 14, Télésphore, mini Peppers, et 16 The Day. Salle des fêtes de Champvans, 19 janvier, à partir de 20 h 30. Entrée 5 euros.

■ FRANCHE-COMTÉ / TEE-SHIRTS

100 % comtois Des biaudes qui font la promotion de la FrancheComté sur du coton avec des expressions prêtes à porter ? C’est l’idée pas “beuillote” du tout qu’ont lancé deux Bisontins fin 2006 avec cette gamme de maillots de corps “A mots Comté”.

Dampierre Ju-jitsu A partir du 7 janvier : nouvelle activité du foyer rural - Cours et entraînement dispensés par le professeur Alain Tirole, chaque lundi soir de 20 h 30 à 22 h à la salle de sport dans l’ancienne école.

Ranchot Assemblée générale du club du temps libre suivi du repas au restaurant “la Doulonne” à Etrepigney. Dimanche 20 janvier à 10 h 30

Rainans Repas moules-frites Organisé par l’association Village et Loisirs. Vendredi 1er février

La Loye Théâtre les 26 et 27 janvier et 1er et 2 février.

ean-Paul Marquiset et Denis Maraux, deux habitants de Besançon (Doubs), ont eu l’idée d’éditer des tee-shirts en patois franccomtois. “Beugner” (frapper), “Daubot” (stupide) ou “Viôsse”, “taugnée” (sale bête) font partie du vocabulaire choisi. Des mots typiquement franc-comtois qui s’affichent sur des tee-shirts. Une manière d’affirmer et d’exhiber son identité franccomtoise à travers cette revue de mode bien enracinée dans le terroir. Plusieurs centaines d’articles ont été vendus. En nouveauté de fin d’année figu-

J

rent cette fois sur trois teeshirts des expressions plutôt que des mots, à savoir “comme que comme”, “t’as meilleur temps” ainsi que la devise de la région franc-comtoise “Comtois rends-toi. Nenni ma foi”. Ces tee-shirts sont une belle manière d’exprimer son amour pour la Franche-Comté et sa fierté d’être franc-comtois. Des teeshirts bien de “cheu nous” made in Jura. Entretien avec Denis Maraux, photographe à la Fibre Comtoise extrêmement développée.

Comment l’étincelle a-t-elle jailli ? Je suis reporter photographe. Je participe à de nombreuses publications franc-comtoises. J’éprouve un fort attachement pour la Franche-Comté, j’aime les gens, les habitudes. Cette idée est partie d’un constat. La Franche-Comté à la différence d’autres régions comme la Bretagne par

exemple ou l’Alsace possédait peu d’objets à elle, auxquels il était possible de s’identifier. Et puis la rencontre avec Jean-Paul Marquiset, ancien commerçant originaire de Maîche, a permis de concrétiser ce projet. Celui-ci dans le vêtement avait constaté que les sites touristiques comme la Citadelle ou Dino-Zoo n’avaient pas de vêtements pro. Il souhaitait se lancer dans des tee-shirts avec des photos, c’est pour cette raison qu’il est venu me trouver.

Comment avez-vous procédé ? Nous avons réuni les perles du parler comtois que nous connaissions (comme beugner, daubot, viôsse, beuillot, ch’ni). Nous avons ensuite vérifié dans le dictionnaire. Et nous avons soumis ces mots à des proches et amis. L’idée était de créer des teeshirts avec ces mots et leur définition juste en dessous.

Cette idée a-t-elle eu du succès ? Au départ, cela a été un flop terrible au niveau des professionnels du tourisme. C’est en portant ces tee-shirts à l’occasion du salon du livre les Mots Doubs à Besançon

que le déclic s’est fait. Deux librairies (à Besançon et Montbéliard) ont accepté de jouer le jeu. Ces tee-shirts ont suscité un véritable engouement. Notre ambition, c’était surtout de faire vivre le patrimoine et de le faire avec humour. Ces mots portés font sourire. Et le mot devient joli parce qu’on le porte. Parmi les nouveautés figurent des tee-shirts unisexe noir à manches longues. Et puis nous avons lancé des expressions dont la fameuse devise franc-comtoise. “Comtois rends-toi. Nenni ma foi” avec le drapeau comtois dessiné à l’arrière du tee-shirts. A Mots comté sur le net www.beuillot.com Les tee-shirts sont disponibles sur le net. Le site permet de découvrir la collection complète, de connaître les points de vente ou de passer commande directement.

A la mode de cheu nous “Beugner” : frapper, heurter : “En sortant du garage, elle a beugné la voiture.” “Beuillot” : petite ouverture qui permet de regarder à l’extérieur. Personne peu maligne. “Cancoillotte” : spécialité fromagère de Haute-Saône élaborée à partir du meton.

Villette-les-Dole Loto A la salle des fêtes, organisé par le comité des fêtes. 3 février au foyer rural.

Parcey Saint Sébastien des archers du Val d’Amour A la salle d’entraînement. Dimanche 20 janvier à midi

Dole Loto A la salle des fêtes, organisé par le Secours populaire français. Dimanche 20 janvier.

Un an de collecte sélective

des DEEE dans le Jura Depuis la loi du 13 juillet 2005 de la directive européenne sur les DEEE, les déchets d’équipement électriques et électroniques regroupant le gros électroménager produisant du froid, le gros électroménager hors froid, les petits appareils en mélange comme les cafetières, les écrans de télévision et d’ordinateur ne doivent plus être jetés mais collectés séparément pour être réparés et réémployés ou dépollués puis recyclés. Le Sydom du Jura a choisi de travailler avec l’éco-organisme ERP qui organise l’ensemble des opérations (traitement, logistique) au départ des déchèteries du Jura. Précurseur sur le tiers de ses déchèteries dès la fin de l’année 2006, le Jura collecte désormais les DEEE dans toutes les déchèteries du département. Une quantité de collecte importante sur le Jura qui représente près de 900 tonnes durant les trois

Loto Organisé par les paroisses de Dole. 2 février. Salle des fêtes, à partir de 18 h.

Loto du chœur des Roches Salle des fêtes. 20 février à 14 h. Tél : 03 84 72 21 49

Dans le cadre de notre rubrique “Route des villages” ouverte à toutes les communes et manifestations, faites-nous parvenir vos évènements à chloe.paoh@orange.fr

premiers trimestres de l’année 2007, soit une moyenne de 4,9 kg par habitant. Concernant le gros électroménager froid (congélateur, réfrigérateur), le tonnage de 2007 est de l’ordre de 1,5 kg par habitant. Ces trois derniers mois à la déchèterie de Brevans, 10,8 tonnes de gros électroménager froid ont été collectées soit l’équivalent de 270 réfrigirateurs. Un bilan de collecte plutôt positif pour la filière des DEEE.

■ PLAINE JURASSIENNE / DEFIBRILLATEURS

Une première pour la Plaine Jurassienne

Le défibrillateur est facile à utiliser.

La communauté de communes de la Plaine Jurassienne est la première collectivité à mettre en place des défibrillateurs automatiques au plus près de la population. Un appareil automatisé A Chaussin les 21 conseils municipaux ont participé à une séance de présentation de ces appareils et au lancement du futur déploiement de cette action. C’est avec le logo “Plaine de Coeur” qu’Isabelle Lacaille, vice-présidente de la communauté de communes, ouvrit la séance officielle. Patrick Petitjean précisa que dans la Plaine Jurassienne les interventions se situent généralement entre 15 et 20 minutes après le malaise. Or c’est dans les 5 minutes qu’il faut agir. Tout témoin est autorisé à utiliser ce type d’appareil entièrement automatisé. Dans un premier temps une trentaine de défibrillateurs seront implantés, pour la première fois en France en milieu rural, avec un déploiement dans les communes dès février 2008. Côté finances, chaque appareil avec son coffret coûtant 2 000 euros, le budget total de l’opération est fixé à 60 000 euros. La population sera alors invitée dans chaque commune, et les sapeurs pompiers effectueront la démonstration.

Une intervention efficace Le Docteur Jean-Michel Guichard évoqua ensuite les 60 000 morts subites chaque année en France, indiquant que la fibrillation ventriculaire est un r ythme cardiaque

devenu anarchique, et mortel. L’inter vention, très simple, peut être pratiquée par un enfant de dix ans, car il n’y a pas d’autre manipulation que l’installation de deux membranes sur le patient. Le défibrillateur rétablit un rythme cardiaque normal, en émettant une onde électrique. Un massage doit être pratiqué entre chaque choc électrique. Un court métrage réalisé par le groupe théâtral de Neublans montra en effet de façon extrêmement limpide la marche à suivre ; un DVD en sera produit et distribué dans les villages. Une démonstration sur la scène de la salle des fêtes de Chaussin permit à chacun de constater la clarté de la démarche. Les commentaires pédagogiques du lieutenant-colonel Daniel Miny, chef du ser vice de santé et de secours médical du SDIS, soulignèrent l’importance d’une défibrillation dans les cinq minutes, qui associée à l’action de secourisme, peut augmenter jusqu’à 30 % le taux de survie du patient. Dans cette optique les citoyens pourront recevoir une formation gratuite d’un quart d’heure dispensée par des initiateurs. La cérémonie se conclut en coupant le ruban officiel inaugurant l’installation des défibrillateurs dans la Plaine Jurassienne. DH

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Entreprise JAM’S Un coup d’éclat à votre intérieur ! L’équipe de l’entreprise JAM’S souhaite les meilleurs vœux de bonheur et de santé à tous ses clients et clientes, sans oublier ses futurs clients. A l’occasion de cette nouvelle année, Jean-Michel PEQUEGNOT remercie également toutes les personnes et les fournisseurs locaux qui lui ont fait confiance et l’ont suivi dans son aventure !

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evêtements, parquet flottant au sol, papier peint et peinture aux murs, l’entreprise JAM’S redonne une nouvelle vie à votre intérieur. En effet, les travaux de rénovation intérieure et extérieure, réalisés par Silvia et Jean-Michel PEQUEGNOT, allient l’esthétique, l’harmonie des couleurs et un rendu des plus propres ! Vous habitez Dole ou ses environs, vous souhaitez rénover l’intérieur de votre logement ou de votre parc locatif, refaire les peintures

extérieures, n’hésitez pas faites appel aux services de l’Entreprise Jam’s. Un simple coup de fil et elle se déplacera à votre domicile. Après l’état des lieux et l’étude de vos besoins, un devis vous sera établi gratuitement, avec un planning qui sera respecté !

La finition : un métier passion Cela fait déjà quatre ans, que l’Entreprise JAM’S n’a qu’un seul but : la satisfaction de sa clientèle ! C’est en mars 2004, que l’aventure

de Jean-Michel commençait et que l’Entreprise Jam’s voyait le jour à Dole. Depuis, le bouche-à-oreille a fait son chemin : JeanMichel n’a cessé de voir les demandes affluer et son activité se développer. En mai 2005, Silvia, son épouse, comptable de métier, rejoignait l’entreprise familiale. Depuis novembre dernier, Jean-Michel transmet également son savoir-faire à de jeunes apprentis en CAP Peinture. “L’arrivée d’une troisième personne, nous per-

met également de répondre au mieux à la demande, tout en continuant de proposer les meilleurs délais” ajoute JeanMichel.

Une petite entreprise qui ne connaît pas la crise Aujourd’hui l’Entreprise JAM’S possède un dépôt. “Avec ce petit atelier, je peux réaliser les peintures de radiateurs, de volets, de portes sans gêner les clients chez eux. Je dispose également sur place d’un stock de peintures, toutes de marques françaises et

respectueuses de l’environnement, d’outillage et de matériel divers… C’est un grand confort, aussi bien pour moi, que pour mes clients et clientes” nous raconte Jean-Michel. Depuis ses débuts, ce dernier dispose également d’un camion, équipé comme un atelier, pour se déplacer chez les particuliers. Ainsi, il a toujours sous la main son matériel, des pièces détachées, des catalogues et des échantillons pour le choix des matériaux… “Ce camion équipé me permet également d’intervenir au plus vite pour les dépan-

Un exemple de travaux de rénovation réalisés par Jam’s

nages de serrures” nous explique-t-il.

La serrurerie et le dépannage Agréé “serrurerie”, JeanMichel intervient également pour la pose de serrurerie et le dépannage d’ouverture de porte avec changement de serrure. En cas d’urgence, il vous dépanne rapidement :

“Mes horaires sont assez larges. Je dépanne même le week-end” nous précise-t-il. Pour obtenir cet agrément de l’Etat, Jean-Michel a suivi et suit encore des formations. A l’instar de l’activité de rénovation intérieure et extérieure, la technique évolue, le matériel et les matériaux utilisés également. Jean-Michel suit donc régulièrement les formations proposées par ses fournisseurs locaux pour continuer de satisfaire toujours et encore ses clients. Bonne année à tous !

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• 532 ressorts ensachés indépendants (couchage en 140 x 190) • Cadre renforcé en acier laminé • Ouate hypoallergénique 150 gr/m2 dans chaque plateau • Plateau piqué et 4 poignées tissus • 4 aérateurs façon laiton L’avis de votre spécialiste : un soutien équilibré dû au latex conception multizones Un garnissage anallergique hiver comme été Les multiples réglages lombaires associés à la zone d’épaule souple vous assurent bien-être et relaxation 2 x 80 x 200. Entourage bois galbé 140 x 190 • Matelas cœur polyuréthane 35 kg/m3 • Plateaux piqués sur ouate bi-densité double épaisseur • Coutil stretch • Epaisseur totale 21 cm 140 x 190 • Mousse à mémoire de forme Noyau épaisseur 20 cm Noyau composite profilé doté d’une double aération. Face de couchage mémotherm densité 50 kg sur semelle de soutien densité 55 kg Finition housse tendue. Fermetures sur 3 cotés

Silvia et Jean-Michel dans les bureaux de Jam’s

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PA T R I M O I N E E N PAY S D O L O I S

es robes blanches de l’abbaye Il y a 880 ans, lorsque les frères Constantin et Robert décident de rompre avec le monde et de vivre en solitaires dans la verdoyante vallée de l’Ognon au pied du massif de la Serre, il est probable qu’aucun d’entre eux n’eût imaginé qu’un jour, un long ruban d’acier entraînant de folles machines lancées à vive allure, viendrait perturber leur quiétude. Près de neuf siècles plus tard, les moines sont toujours là, à l’ombre de Notre Dame d’Acey, nom d’un lieu-dit devenu célèbre. peste. Le siècle suivant, l’abbaye sera victime des exactions des troupes de Louis XI et il faudra attendre la mort de ce dernier en 1483 pour voir les moines réintégrer le monastère, soutenus par Charles VIII, fils du roi défunt. Nous sommes en pleine Renaissance et l’église de l’abbaye bénéficie de quelques embellissements grâce aux bienfaits de Marguerite d’Autriche. Mais ces quelques années radieuses ne dureront pas. 1636 est une année noire comme dans toute la région. Avec la conquête de la Franche-Comté par Louis XIV, l’abbaye est à nouveau entièrement dévastée. Quelques années plus tard, dans la nuit du 24 avril 1683, alors que les bâtiments portent les traces des attaques françaises, un violent incendie les réduisit en cendres, endommageant également la belle abbatiale. Ce n’est qu’en 1768 que le cloître est reconstruit et l’église réparée. La révolution de 1789 entraînera la dispersion des religieux et, en 1791, leurs biens furent vendus par l’Etat. Ainsi se termina cette longue épopée monastique.

L’abbatiale et le monastère

A

Vitreux, l’abbaye fait partie du paysage et ses habitants, moines cisterciens trappistes sont des Vitrouillers, comme les autres. En 1962, la création d’un atelier d’électrolyse moderne par les frères techniciens a même généré quelques emplois et un nouveau revenu communal. Rencontre avec ces hommes en robe blanche de l’abbaye d’Acey.

1128-2008 : une longue histoire En ce lieu qui inspire le recueillement, il y a bien longtemps qu’un arbre spirituel poussa et se développa. Déjà en l’an 785, au temps de Charlemagne, un modeste ermitage aurait été fondé dans le Val Saint-Jean à quelques kilomètres, sous la dépendance

de l’abbaye de Saint-Oyan-deJoux. Une communauté de religieux y aurait vécu jusqu’à l’invasion normande au IXe siècle. En 1128, deux religieux, Constantin et Robert souhaitant s’éloigner du monde des vivants, s’installèrent dans les ruines de l’ancien ermitage pour y fonder un prieuré. Ils construisirent une petite chapelle dédiée à Notre-Dame, sur un tertre en bordure de la rivière. Donnée à la fondation de l’archevêque de Besançon Anséric en 1134, elle fut offerte à la jeune abbaye cistercienne de Cherlieu fondée en 1131, avec le souhait de voir en ce lieu s’édifier un autre monastère de l’ordre de Cîteaux. C’est ainsi que frère Philippe fut envoyé avec quelques moines courageux en cet endroit bucolique, afin d’y fonder cette nouvelle communauté religieuse et d’y occuper la fonction d’abbé. Le comte de Bourgogne Raynaud III fut le principal bienfaiteur et c’est ainsi que naquit l’abbaye d’Acey en 1136.

Mais les désordres engendrés par l’anarchie féodale eurent souvent de fâcheuses conséquences au sein des communautés. Pillages et maltraitances furent monnaie courante à Acey, les moines étant parfois chassés et délestés de leurs biens. Par une bulle en date de 1182, le pape Lucius III déclara prendre le monastère sous sa protection. C’est à cette époque que fut construite la première église abbatiale, “disons entre 1150 et 1250” précise frère Elie, historien de l’abbaye. Grâce aux dons émanant de seigneurs, le XIVe siècle fut par ticulièrement florissant, malgré les désastres provoqués par une épidémie de

Frère Elie

“J’ai fait analyser au carbone 14 des ossements provenant du cimetière. Ils remontent aux années 800.” Mais la flamme divine éclairant ce lieu ne s’éteint pas complètement. Après une trentaine d’années d’abandon, l’abbé Bardenet, supérieur de l’hôpital du Saint-Esprit de Besançon, achète les bâtiments pour y créer un pensionnat de jeunes filles. Un programme de restauration est alors lancé. Mais la mort de l’abbé entraîne la disparition du pensionnat, les sœurs préférant quitter ce lieu isolé et retrouver la ville à Lons-leSaunier. Dom Guéranger, restaurateur de la Congrégation des Bénédictins de France rachète les locaux qu’il fait ériger en prieuré. Repris par Mgr Nogret, évêque de SaintClaude, le monastère est offert à l’abbaye cistercienne d’Aiguebelle située dans la Drôme. Acey devient alors une simple dépendance destinée à recevoir les malades de N.D. des Dombes (fièvres paludéennes.) Diverses vicissitudes viendront encore perturber la vie des moines, tels les désastres de 1870 qui entraînent un nouvel abandon des lieux. Lorsque, en 1872, Dom Gabriel, abbé d’Aiguebelle vient s’installer à Acey avec plusieurs moines, on

Coauteur d’un ouvrage sur l’abbaye, frère Elie Vuillemin est arrivé en 1955, originaire de Lièvremont. Né en 1934, il n’est certes pas le plus ancien, mais passionné d’histoire, il devint rapidement celui qui connaît tout de l’abbaye. “L’histoire est une chose, mais ma principale fonction est infirmier” explique-t-il. En effet, dans cette communauté qui compte 23 frères présents, dont 9 prêtres, chacun a son travail. Je gère l’infirmerie composée de trois chambres médicalisées où je m’occupe des malades”. Hélas, deux frères sont décédés récemment. Ici, nous devons tout faire, même la vaisselle” raconte-t-il en souriant, et il détaille gentiment la journée d’un moine, non sans ajouter : Il n’y a pas de viande aux repas. Poisson, œufs et légumes sont les aliments du moine, et le vin est la boisson. Chez nous, la viande est un médicament car il arrive que le médecin en préconise un peu pour nos malades”.

assiste à un véritable renouveau. Des dons affluent pour restaurer, voire reconstruire. Lorsque le 18 octobre 1938, un nouvel abbé, Dom Eugène est installé, le monastère est à nouveau élevé au rang d’abbaye. Elevage, cultures agricoles et maraîchères sont les principales ressources, jusqu’en 1962, lorsque vient s’ajouter une autre activité, industrielle celle-là : un atelier de galvanoplastie.

De Dom Philippe à Dom Jean-Marc Combien de moines abbés sont-ils passés à Acey

Père abbé Dom Jean-Marc

depuis Dom Philippe de 1136 à 1144 ? Le Père Jean-Marc, abbé actuel depuis 2003 ne le sait certes pas, pas plus que le nombre de moines. JeanMarc Thevenet était déjà moine depuis 1965 à Tamié en Savoie, puis abbé en 1981.

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d’Acey

LES DERNIERS ABBÉS ET SUPÉRIEURS D’ACEY Dom Eugène Court : 1937-1946 • Dom Paul Vuillemin : 1946-1947 • Dom Robert Pierre : 1947-1958 Dom Albéric Macle : 1958-1967 • Dom Benoît de la Robertie : 1967-1970 • Dom Nivard Bader : 1970-1977 Dom Sébastien Delacommune : 1977-1984 • Dom Hervé Briand : 1984-2002 • Dom Georges Guinand : 2002-2003 Dom Jean-Marc Thevenet : 2003 -… solennel. Dans sa cuisine, Frère François nous reçoit avec le sourire.

Un atelier d’électrolyse ultra-moderne

Les robes blanches de l’abbaye

“Ce sont les frères qui élisent leur abbé et l’âge limite est de 75 ans” explique-t-il, alors qu’il fut sollicité par la communauté d’Acey pour devenir leur abbé. Né en 1944 à Lyon, Dom Jean-Marc devrait assurer cette fonction assez longtemps. Faisant partie des 9 prêtres de la communauté, il précise que les moines n’ont pas de ministère à l’extérieur. Quant aux effectifs, c’est un souci évident : notre communauté à Acey est stabilisée entre 22 et 25 frères depuis une quarantaine d’année, mais l’effectif était de 45 après la guerre. Dans les autres monastères, on note une diminution sensible des membres et une augmentation de l’âge moyen. Chez nous, le Père Albéric qui est notre doyen est

âgé de 86 ans, le plus jeune étant frère Xavier avec 32 ans. Frère Benjamin a fêté ses 70 ans de présence monastique. Né en 1924, il était entré en 1936. Le dernier arrivé est frère Vincent, en février 2007. Dans notre communauté, il y a des manuels, des intellectuels et plusieurs ont une expérience professionnelle. Mon rôle est de créer une œuvre commune”. Responsable de la gestion, le père abbé reconnaît que c’est l’usine qui fait vivre l’abbaye. Nous n’avons plus d’exploitation agricole depuis 1990 et nos 65 ha de terres sont loués. Nous avons seulement conservé un rucher, un verger et une petite forêt que nous

JOURNÉE D’UN FRÈRE À L’ABBAYE 4 h : réveil 4 h 15 - 5 h : office communautaire (vigiles) 5 h - 7 h : prière personnelle lecture de la Bible petit-déjeuner 7 h - 8 h : office (laudes) et messe 8 h : début du travail pour les uns - Lecture et préparation de la journée pour les autres 9 h - 9 h 15 : petit office (tierce) pour ceux qui sont présents

9 h 15 -12 h : travail 12 h 15 -12 h 30 : office (sexte) 12 h 30 -13 h : déjeuner 13 h -14 h 15 : lecture ou sieste 14 h 15 -14 h 30 : office (none) 14 h 30 -18 h : travail 18 h 15 : dîner 18 h 45 -19 h 30 : vêpres à l’église 19 h 30 : lecture 20 h 00 : réunion de communauté 20 h 20 - 20 h 45 : prière de la nuit (complies) 20 h 45 : coucher.

entretenons”. Frère Elie précise même que les vaches laitières ont été abandonnées en 1965. “Quant à la gestion, il existe un conseil économique et la concertation est de rigueur.” Une visite des lieux permet de mieux imaginer la vie monastique. L’abbatiale est sobre et austère, selon les principes cisterciens. Ses colonnes sont d’origine. Elle possède des vitraux contemporains s’intégrant parfaitement au reste de l’édifice. Les bâtiments furent grandement transformés au XVIIIe et surtout dans les années 1970-72 quand il devint nécessaire de remanier la nef qui menaçait de s’écrouler. De part et d’autre se trouvent l’hôtellerie et le monastère. Le cloître est typique avec au centre, un puits retrouvé, datant du XIIe siècle. Les salles de lecture et le chapitre accueillent les moines chaque jour. Le réfectoire est

“Lorsque je suis arrivé, j’ai connu les premiers essais dans des fûts, à l’intérieur même du monastère” raconte frère Elie l’historien qui, au temps de sa jeunesse, a travaillé dans l’atelier d’électrolyse. Au début, on utilisait uniquement du cadmium et du zinc. Les bâtiments étaient tellement vétustes, qu’un incendie a tout détruit en 1962 !” Voilà donc pourquoi un atelier, une usine même, existe aujourd’hui. Frère Albert en est le directeur. Nous sommes cinq frères à travailler ici et 15 personnes civiles qui font les 2/8”. Né en 1942 dans les Vosges, il est entré au monastère en 1967, avouant avoir recherché le sens de l’existence de l’homme. Ouvrier à l’usine, il finit par succéder à frère Michel au poste de directeur. Si on pouvait, il n’y aurait que des moines. Pour eux, les 35 heures n’ont pas de sens. D’ailleurs, les civils font 39 h par semaine” explique-t-il. Spécialisée dans le dépôt de divers métaux (argent, cuivre, étain, nickel, or) sur des pièces électromécaniques pour contacts électriques, cette usine a obtenu la certification AFAC iso 9001. Schneider, Legrand, Hager, Thomson, Valéo, Bosch… font partie de ses clients. Nous réalisons un chiffre d’affaire de 4 millions d’euros, mais les affaires sont de plus en plus difficiles” déclare frère Albert, ajoutant : le bénéfice est réinvesti et une partie permet de

Au réfectoire

faire vivre l’abbaye”. La galvanoplastie nourrit son homme, puisque les salaires des civils sont nettement supérieurs au SMIC. Voilà pourquoi cette électrolyse de l’abbaye d’Acey située au carrefour du savoirfaire industriel et du savoir être religieux reste performante, tout en restant petite. En ce haut lieu spirituel, chacun peut effectuer une retraite. Hommes et femmes sont logés à l’hôtellerie, bâti-

Frère Xavier “Je voulais donner à ma vie le sens d ’un don.”

Frère Xavier est le plus jeune moine, âgé seulement de 32 ans. Né en 1975 à Grenoble, Xavier Morales est arrivé à l’abbaye en 2002 avec un diplôme de docteur en patristique grecque. Entrer au monastère après avoir étudié les pères de l’église peut être une voie logique, mais il est vraisemblable que ce docteur aurait pu s’épanouir aussi à l’extérieur. “J’ai connu l’abbaye étant jeune en effectuant une retraite de cinq jours. J’ai eu le coup de foudre ! Alors j’ai réfléchi, puis je suis revenu régulièrement passer quelques jours. Lorsque j’ai fait un stage d’un mois en communauté, je me suis senti comme un poisson dans l’eau, c’est pourquoi je me suis engagé à la fin de mes études”. Il explique alors le chemin à suivre, ce qui peut être utile pour d’autres, tentés par l’expérience monastique : Durant cinq mois, je suis resté en civil en tant que postulant. Certains peuvent rester plus longtemps ainsi. Le but est de s’assurer qu’on ne commet pas une erreur. Ensuite, c’est le temps de Noviciat. Il s’agit d’une période de deux ans durant laquelle on peut encore quitter à tout moment. C’est aussi une période de formation et un temps de probation. Vient alors le temps d’un engagement temporaire de trois ans à l’issue duquel c’est l’engagement définitif”. Frère Xavier qui est encore dans la période d’engagement temporaire a vu, depuis 2002, passer six personnes qui sont restées entre deux semaines et trois ans.

Grandes dates de l’abbaye d’Acey

Frère Albert présente les bacs d’électrolytes.

ment indépendant du monastère. Si les moines vivent à part, ils vaquent cependant à leurs occupations et restent disponibles. Certes, la vie monastique a toujours mis l’accent sur le silence, mais depuis la fin des années 1960, l’usage de la parole est plus souple. Pour les frères, le repas est pris en silence, excepté lors d’occasions festives tels certains anniversaires, la fête du père abbé ou autres. En 2011, le TGV circulera dans cette vallée, à proximité de l’abbaye. Notre Dame d’Acey pourrait bien célébrer son millénaire dans quelque 130 années, les revenus industriels ayant avantageusement remplacé ceux de l’agriculture. Dans ces mêmes murs de pierre et au pied des hautes colonnes séculaires, d’autres robes blanches rendront alors hommage à leurs prédécesseurs, avec la même humilité. Respectant la règle de Saint-Benoît qui continuera de rythmer la vie des moines à travers le monde, les frères d’Acey habiteront le même silence. Nouveau site web de l’abbaye : http://acey.eglisejura.com

1098 : Fondation de l’ordre cistercien à l’abbaye de Cîteaux par Robert de Molesme pour suivre la règle de saint Benoît. 1128 : Deux frères, Constantin et Robert s’éloignent du monde des vivants et s’installent dans les ruines de l’ancien ermitage en bordure de l’Ognon. 1136 : Fondation de l’abbaye 1477 : L’abbaye d’Acey est mise à sac et les moines sont faits prisonniers par les troupes de Louis XI. 1595 : L’Abbaye ravagée par les coureurs du roi de France Henri IV. 1636 : L’Abbaye à nouveau pillée par les Suédois aux ordres de Richelieu. 1674 : L’abbaye est encore dévastée par les Français de Louis XIV. 1683 : Un incendie détruit plusieurs bâtiments du monastère. L’église est très endommagée. 1768 : Le cloître est reconstruit et l’abbatiale est remise en état. 1789 : Les religieux sont chassés et dispersés. 1791 : Les biens de l’abbaye sont vendus par l’Etat. 1829 : Un pensionnat de jeunes filles s’installe dans les bâtiments. 1853 : Le pensionnat quitte Acey pour Lons-le-Saunier 1870 : Acey est à nouveau abandonné pour cause de guerre. 1872 : Dom Gabriel, abbé d’Aiguebelle, installe à Acey une nouvelle communauté. 1900 : De gros travaux de reconstruction et de restauration sont engagés grâce à un afflux de dons. 1911 : Réouverture de l’église au culte. 1938 : Dom Eugène, nouvel abbé est installé. Le monastère d’Acey est à nouveau élevé au rang d’abbaye. 1954 : Premiers essais de traitement de métaux par électrolyse 1962 : Incendie de l’atelier et construction d’une usine moderne d’électrolyse 2008 : L’abbaye abrite 23 frères. 15 salariés extérieurs travaillent dans l’entreprise industrielle.

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VIVRE ICI ■ DOLE / ASSOCIATION AGRICOLE / CIVAM

Henri Lépeule, un fantassin de la vulgarisation agricole Membre fondateur du CIVAM Moissey, dont il est le conseiller technique, maître agricole, et militant, président de l’association nationale des maîtres agricoles pendant 8 ans, inspecteur de l’apprentissage agricole de 1980 à 1987, la carrière d’Henri Lépeule est mue par la passion du milieu agricole et rural. Genèse d’un mouvement agricole Valoriser et promouvoir l’agriculture et le milieu rural, tel est l’objectif du CIVAM, dirigé par Henri Lépeule, âgé de 84 ans. Un groupement d’initiatives agricoles qui trouve son origine dans les années 1950 et 1960. “Après la guerre, le milieu agricole avait un besoin important de formation pour les jeunes. L’éducation nationale a alors créé l’enseignement postscolaire agricole avec comme ambition la vulgarisation agricole assurée par des maîtres agricoles” se souvient Henri Lépeule, instituteur agricole “On faisait cours l’hiver du premier novembre au premier mai, un jour par semaine, sur le principe tour-

nant. Une quinzaine de jeunes du canton venaient assister aux cours. Au bout de trois ans, ils obtenaient leur diplôme.” Un enseignement parfois en contradiction avec les techniques agricoles utilisées par leurs parents. “Il y a quelques anecdotes amusantes. Alors que nous conseillions l’utilisation des tracteurs, les parents continuaient à acheter des bœufs”. “Afin de donner aux agriculteurs une formation générale et un enseignement professionnel en prise avec la réalité et les évolutions des techniques, nous avons créé en 1956 le centre d’études techniques agricoles, réunissant une trentaine d’agriculteurs autour d’un thème. Mais les CETA ne formaient que des agriculteurs triés sur le volet,

une sorte de locomotive performante sans les wagons.” De cette volonté pour valoriser l’agriculture et les idées nouvelles est né le CIVAM (centres d’information et de vulgarisation agricole et ménagère) qui se décompose en deux organisations, le centre local CIVAM de Moissey-Romange pour le Nord de Dole et le groupement départemental des CIVAM.

De multiples actions en faveur de l’environnement Au rang des innovations et des actions menées par le CIVAM sur le plan local figurent le remembrement de toutes les communes du canton de Montmirey, le drainage collectif de la plaine doloise, actuellement la récupération du compost de pro-

duits végétaux en accord avec le Sictom de Brevans, matière organique très utilisée par les agriculteurs, sans oublier la récupération des cendres à la chaufferie de Dole. “Ils ont installé plusieurs chaudières dont une à bois qui produit des cendres, que nous récupérons.” explique Henri Lépeule, qui se définit comme un “hussard de la république en milieu rural”.

Organisation de voyages Au plan départemental, cap sur les concours de labour, de jugement de bétail mais surtout les voyages. “J’ai toujours été partisan des voyages qui favorisent l’ouverture aux autres. Au début, il s’agissait de voyages techniques avec des visites de fermes, des découvertes de techniques agricoles. Les femmes des agriculteurs qui en avaient assez d’être seules et de rester à la maison traire les vaches nous ont demandé d’organiser des voyages pour elles aussi. Alors nous avons emmené les femmes en voyage et sillonné de nombreuses routes. C’étaient des périodes sympas. De véritables épopées”. Fort de cette expérience,

■ DOLE / GRANDES EPENOTTES / TRAVAUX D’AMENAGEMENT

Henri Lépeule organise tous les ans un grand voyage d’une semaine (en Inde cette année) et un petit de quatre jours. Avec en guise de souvenirs des diapositives et des souvenirs plein la tête. “Mon coup de cœur ? L’Afrique du Sud, pour la splendeur des paysages et l’état d’esprit, la cohabitation entre races diverses”. Une véritable profession de foi puisée dans son métier d’enseignant. Chloé Chamouton

A 84 ans, Henri Lépeule se consacre à l’histoire de l’enseignement agricole, revisitant l’histoire sociale et économique de la France d’après-guerre.

DOLE / VOYAGE A LA DÉCOUVERTE DE L’INDE Le groupement départemental des CIVAM (centres d’initiation pour valoriser l’agriculture et le milieu rural) organise un voyage en Inde du 24 mars au 2 avril 2008. Au programme un voyage au pays des Maharadjas dans le Rajasthan (Nord de l’Inde) à partir de Delhi. Renseignements et inscriptions auprès de GDCIVAM, 4 rue Albert Camus 39100 Dole. Tél. 03 84 72 00 25

■ MONT-SOUS-VAUDREY / PORTRAIT

“La position géographique, un atout” “Le patrimoine dans les gènes” Avec plusieurs projets d’envergure, le visage des Grandes Epenottes se dessine. Une zone qui devrait attirer une clientèle nouvelle. Le point avec Alain Griveaux, maire adjoint en charge de l’urbanisme et des travaux.

Quels sont les projets d’aménagement sur la zone des Grandes Epenottes ?

Dans quel contexte s’inscrit l’implantation de toutes ces enseignes ?

Certains projets sont déjà bien visibles, à savoir Intermarché, Bricomarché et le magasin Kiabi. Ces trois magasins forment un arc. De l’autre côté de la rue Bichat et de la nationale, trois enseignes vont s’installer, les travaux sont d’ailleurs en cours, à savoir les motos Ramel, Ikobana, une sorte de bazar et Decathlon, enseigne phare qui occupera 2 000 mètres carrés . L’enseigne connaît d’ailleurs quelques difficultés d’implantation du fait d’un recours devant le tribunal administratif contre la CDEC (commission départementale d’équipement commercial). Sur la grande parcelle qui fait face à l’ensemble Intermarché, toutes les enseignes proposées ont obtenu leur autorisations mi-décembre. D’où un ensemble de 7 enseignes avec entre autres une halle aux chaussures,

Ces différentes implantations répondent au double objectif que nous nous étions fixés : à la fois en matière de bâti afin de donner à cette zone un visage avenant, donner un certain look aux bâtiments. Ce sont des bâtiments de bonne qualité. Et au niveau de la concurrence.

L’ancien Intermarché sera repris par le magasin de meubles Atlas

une halle aux vêtements, une chaîne d’optique, des magasins de literie, un Maxi Toy… ainsi que deux autres cellules composées d’un restaurant et d’un magasin tourné vers l’entretien de la voiture. Plus à l’ouest, les enseignes Atmosphères (équipement de la maison) et Mondial Literie ont obtenu leur permis de construire. Pas très loin, plusieurs parcelles accueilleront un pôle artisanal, avec des entreprises du bâtiment et de la construction : maçonnerie, tailleur de pierre, piscine, société spécialiste des énergies renouvelables, un établissement d’affinage de comté, un grossiste pour les

kebabs. La société de matériaux de construction Doras est sur le point de déposer également un permis de construire vers le lotissement Yersin en fond de zone.

Et concernant l’ancien Intermarché en bordure de la zone des Epenottes ? L’ancien Intermarché a trouvé un repreneur. Il s’agit du magasin de meuble Atlas qui devrait ouvrir aux alentours du 15 février. A priori, ils sont dans les temps. La ville va s’occuper de la mise en place de la voirie entre les Epenottes 1 et les Grandes Epenottes. Nous souhaitions redonner vie à cette première partie de la zone.

Quel sera l’atout de cette zone par rapport aux autres zones commerciales déjà existantes ? L’atout de cette zone est sa position géographique. Du fait de sa localisation au nord-est de la ville, elle est particulièrement orientée vers toute la Vallée de l’Ognon et la région d’Orchamps et de Dampierre. Avec son caractère très aéré, et sa facilité d’accès, cette zone est susceptible de faire venir sur Dole un public qui avait tendance à essaimer sur Dijon ou Besançon.

La Seconde guerre mondiale en Pays Dolois Initialement prévus avant les fêtes de fin d’année, les ouvrages : 1939-1945, la guerre aérienne en Pays Dolois et Paroles d’anciens, 1939-1945 en Pays Dolois seront disponibles à la vente à partir du 25 mars 2008. Rens. : Yvon Amiot - DMODMO éditions - Dole - Tél. 03 84 82 28 82 Pays Dolois - Janvier 2008 - 8

Chevalier de l’Ordre du mérite en 2000, Germaine Oudot, animatrice de la médiathèque du Val d’Amour a reçu le 14 décembre la médaille du Conseil général. Une distinction qui récompense son investissement pour la mise en valeur du patrimoine jurassien. Entretien avec une femme fière de ses racines.

Pouvez-vous nous retracer un peu votre parcours ? J’ai commencé à travailler à l’âge de 18 ans, j’ai été mère de trois enfants à 21 ans. Lorsque mes filles ont grandi, j’ai voulu intégrer toutes les associations de patrimoine du Val d’Amour. J’ai aidé à la création des Radeliers de la Loue, j’ai mis en place le projet du bicentenaire de Jules Grévy en 2007. Grévy restera un moment inoubliable qui aura nécessité en amont un travail colossal. Nous voulions mettre en valeur la fonction de président de la République de Jules Grévy et à travers cette manifestation qui a généré un élan populaire, nous avons créé une dynamique, une vitalité autour de Mont-Sous-Vaudrey. Nous souhaitons d’ailleurs perpétuer cette tradition du 14 juillet par le biais d’un repas, d’un concert, un bal populaire, en bref marquer le coup.

Que représente pour vous cette implication ? Cet engagement pour la mise en valeur du patrimoine est vital pour moi, il reflète mon essence, ce que je suis. Je fais partie d’une vieille famille

de Mont-Sous-Vaudrey depuis le XVIe siècle. A 8 ans, je me rendais auprès des personnes âgées pour les écouter parler de leurs souvenirs, des traditions. Cet amour du terroir est inscrit dans mes gènes depuis toute petite. Le passé de ma région m’a toujours intéressée, ce sont des racines bien ancrées au fond de moi. J’aime mon pays, le Val d’Amour, les gens qui y habitent, je consacre toute mon énergie à mettre en valeur, à faire vivre ce patrimoine humain, environnemental et architectural. D’ailleurs lorsque je me suis retrouvée au chômage en 2003, j’ai décidé de collecter tous les souvenirs des personnes âgées de MontSous-Vaudrey, ce qui a donné lieu à une exposition intitulée “Gens de chez nous”. Une expérience enrichissante, qui permet de perdurer des traditions, d’autant que la plupart de ces personnes sont décédées maintenant. J’ai créé également une association Amaous, un nom qui traduit l’origine du Val d’Amour pour faire vivre le village et les personnages illustres J’ai ce besoin de transmettre,

Germaine Oudot revendique avec fierté son amour pour le patrimoine local de Montsous-Vaudrey. Un amour récompensé par une médaille du Conseil général.

cette boulimie de donner. Une soif de transmettre qui se transmet également par le biais de mon appartenance aux Alwatis.

Pour vous, cette nouvelle médaille est-elle une surprise ? Totalement. Je ne m’y attendais pas. C’est une surprise et un immense plaisir de recevoir cette médaille. J’en suis ravie et je rends hommage à tous ceux qui m’aident et m’ont soutenue dans ces entreprises. Propos recueillis par Chloé Chamouton

Le saviez-vous ? Une émission “Fugues” sera diffusée sur France 3 au printemps. Elle est consacrée aux festivités du bicentenaire Jules Grévy. Une partie de cette émission a été tournée en collaboration avec le studio “Couleurs du Monde” à Montbarrey “Une manière de mettre en valeur le village de Montsous-Vaudrey” insiste Germaine Oudot avec enthousiasme.


L I T T E R AT U R E ■ LES PETITES PLUMES

CHAUSSIN - CLASSE DE CM1

Les p’tites Plumes au Moulin Un après-midi, nous sommes allés visiter le moulin Taron de Chaussin. Il est le dernier à fabriquer la farine de maïs torréfié, ce qu’on appelle les gaudes. Voici l’interview de M. Taron, le propriétaire.

En quoi consiste le métier de meunier ? A fabriquer de la farine.

Autrefois le moulin fabriquait-il autre chose que la farine de maïs ? Non, il fabriquait de la farine d’autres céréales. Aujourd’hui nous sommes spécialisés dans la farine de maïs grillé au bois (les gaudes). Pour information, au début du XIXe siècle le moulin produisait de l’électricité pour Chaussin.

Qui vous apporte le maïs ? C’est un agriculteur de Saint-Loup ; il est l’unique fournisseur du moulin. Il est important de ne pas changer de maïs afin de conserver toujours la même saveur.

Comment fabrique-t-on la farine de maïs ? Le maïs est mis dans le torréfacteur, la pièce maîtresse du moulin. C’est une machine,

chauffée au bois, qui sert à griller le maïs puis à le refroidir. D’abord, le maïs est torréfié c’est-à-dire grillé (les ouvriers surveillent la température et la couleur du grain). Puis, il est refroidi grâce à un ventilateur et aspiré dans un gros tuyau. Il arrive à l’étage où il est broyé par une meule de pierre.

Comment fonctionne le moulin ? Le moulin Taron est un moulin à eau. Autrefois, il fonctionnait uniquement avec de l’eau. Maintenant, l’eau ne suffisant plus, deux moteurs électriques aident à son fonctionnement. Il est l’un des derniers à fonctionner avec des meules de pierre .

Quelle quantité de farine produisez-vous par jour ? Nous en produisons deux à trois tonnes par jour.

Les élèves de la classe de CM1 de l’école de Chaussin encadrés dans leur aventure journalistique par Carole Jacquemin. A. Arthus, J. Berthaud, M. Bleuze, E. Bonnin, E. Buchaillot, L. Campbell, L. Coulon, C. Donzé, K. Ferry, M. Jeandroz, V. Krach, M. Ladava, L. Laroche, L. Ledeuil, A.Longechamp, P. Meunier, A. Mottard, T. Parmentier, J. Parmentier, V. Prost, A. Rostirolla, M. Roussey, T. Schaaf, B. Scortegagna et F. Truchot.

Aimez-vous votre métier ? Oui, car je fais le même métier que mes ancêtres. De plus, je fais vivre un produit régional. En effet, les gaudes sont très importantes pour la Franche-Comté car elles étaient, autrefois, à la base de l’alimentation. Parfois, c’est un métier fatigant car on doit souvent monter dans les étages du moulin ou lorsqu’on charge les palettes avec les gros sacs de farine. On doit être polyvalent car on doit s’occuper de différentes choses comme réparer une machine en cas de panne ou régler un problème électrique par exemple.

Bonne année 2008

UNE IDÉE DE RECETTE : POTAGE DE GAUDES Choisir une casserole à fond épais (caquelon) : Délayer par personne, trois ou quatre cuillerées à soupe de gaudes (40 à 50 g) dans 0,3 à 0,5 litre d’eau chaude (non bouillante) pour développer l’arôme. Mettre à cuire sur feu vif en remuant avec un fouet. Saler légèrement. Ajouter du lait bien chaud toujours en remuant pour obtenir une consistance au choix. Laisser cuire 30 minutes sur feu moyen ou 1 heure sur feu doux. Sucrer ou saler, suivant les goûts. Ajouter de la crème au moment de servir. Les P’tites Plumes Atelier d’écriture, fruit d’un partenariat entre l’Education Nationale et le journal “Pays Dolois”, en collaboration avec quatre écoles du pays dolois, chacune des classes rédigeant deux articles au cours de l’année. Le mois prochain La classe de l’école de Santans avec Sandra Gousset.

■ DOLE / MEDIATHEQUE / REMISE DE PRIX

Une cérémonie présidée par le roi du polar Jean-Hugues Oppel, membre du jury de cette troisième édition de concours organisé par la médiathèque.

Graines de polar Sous l’égide de l’écrivain Jean-Hugues Oppel, maître de la littérature policière et membre du jury de concours de nouvelles organisé par la médiathèque, plusieurs lauréats ont été récompensés pour leurs créations et ont reçu leurs livres des mains de l’auteur le 12 décembre. Une remise de prix placée sous le signe du frisson… Mise en espace des nouvelles Plusieurs Sherlock Holmes avaient investi les lieux mercredi 12 décembre à la médiathèque. L’écrivain JeanHugues Oppel, spécialiste de la littérature policière a décerné plusieurs prix aux différents lauréats qui avaient participé au concours de nouvelles policières, à l’initiative d’Aurélie. En guise d’amusebouche, une lecture de deux nouvelles placées sous le signe du cannibalisme par les comédiens de la troupe Comediadol’arte. “L’odeur et le bruit” ainsi que “10 ans

après” ont plongé les auditeurs dans l’univers de JeanHugues Oppel. Une mise en espace orchestrée par Yves Courty, metteur en scène de Salins les Bains, membre de l’association Place des Théâtres. “Nous avons travaillé en chœur à travers deux mises en espace très différentes, deux approches de lecture” souligne ce dernier. Une expérience de théâtre originale pour les comédiens.

Du suspense et des prix Un prélude à la remise des prix littéraires récompensant les lauréats dans trois catégo-

L’élégance a son importance

SOLDES

Les lauréats Catégorie adulte Christine Folio de Dole pour “la Belle dame” ries, adulte, adolescent et scolaire qui se sont vus décerner des livres de Jean-Hugues Oppel. L’objectif de ce concours ? “écrire une nouvelle à partir de 5 mots extraits d’une œuvre de JeanHugues Oppel. Chacun des participants a donc dû jongler avec “rats, obèse, odeur, poisson rouge et lustre” et faire travailler son imagination pour être le plus inventif, le plus noir aussi.” Suspense, frissons, climat d’angoisse, autant d’ingrédients qui ont fusionné pour concocter une bonne recette de polar.

Des concours au parfum de victoire pour certains participants, tels Christine Folio, une habituée du genre. “J’ai toujours aimé écrire, tenir un stylo, manier les mots. C’est un plaisir. J’ai participé aux trois concours organisés par la médiathèque et à chaque fois j’ai remporté” avoue avec fierté la lauréate de la catégorie adulte. Une troisième édition qui a vu fleurir des graines d’écrivains avides de sensations fortes. Pas si élémentaire que cela, mon cher Watson… Chloé Chamouton

Catégorie scolaire Alain Picard et les élèves de 5e 3 du collège de l’Arc pour “les Fleurs du Mal” 2e prix spécial : Françoise Richard et la classe de 4e A pour “un goujon en eaux troubles” Catégorie groupe Céline Maglicka et un groupe de 4e B pour “Terreur à Hawkisland” Catégorie ado Manon Delmas pour “ma Sœur”.

Meilleurs vœux 2008

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A L’HONNEUR ■ DOLE / FERMETURE DU MAGASIN CARAVELLE

Fin du voyage pour Caravelle Jacqueline Louvrier en compagnie d’une de ses fidèles employées

Un demi-siècle d’existence, les portes de Caravelle, royaume de l’enfance, caverne d’Ali Baba, où se côtoyaient peluches, jouets, chevaux à bascule pour le plus grand bonheur des enfants se sont fermées au 31 décembre. Une fermeture au goût de tristesse, d’amerturme, de nostalgie pour Jacqueline Louvrier, fondatrice de magasin. Un magasin porté à bout de bras “J’ai le cœur lourd” avoue les larmes aux yeux Jacqueline Louvrier, propriétaire du magasin de jouets Caravelle situé Grande Rue au centreville de Dole. Tristesse, déception, amertume, autant de sentiments éprouvés par cette femme qui a mis son âme durant toute une vie au service du bonheur des enfants. “A présent, il ne me restera plus que des souvenirs, et cet album photos de mes clients et clientes, des fidèles”, une succession de générations venues s’émerveiller devant la caverne d’Ali Baba regorgeant de peluches, figurines et autres jouets éducatifs. Une aventure qui puise son origine

au royaume de l’enfance. “J’ai six enfants, et je n’arrivais jamais à trouver ce que je cherchais au niveau des jeux éducatifs. C’était une denrée rare dans les années après la guerre. Nous avions racheté ce magasin pour des besoins d’extension de logement. L’idée s’est alors imposée tout naturellement d’ouvrir un magasin consacré aux jouets. C’était en 1957” explique Jacqueline Louvrier. Un magasin qu’il a fallu implanter et pour lequel Jacqueline n’a cessé de se battre avec enthousiasme et énergie. “Il a fallu faire de la prospection. C’était très difficile. A l’époque, il n’existait qu’un salon à Lyon pour prendre contact avec les fabricants. Il a fallu se déplacer, aller de l’avant. La mise en place des représentants a ensuite facilité les démarches”.

Au bonheur des enfants Après avoir vendu des vêtements d’enfants pendant quelques années, le magasin s’est ensuite tourné plus spécifiquement vers le jouet. Mais pas “n’importe quoi” insiste Jacqueline. “J’ai toujours cherché ce qui était ludique et éducatif. Beaucoup

de personnes ont encore cette impression que le jeu éducatif est ennuyeux. Or il existe toute une vaste palette de jeux s’adressant à tout public y compris aux adultes, qui misent sur l’amusement tout en conservant un intérêt pédagogique. Tout au long de ma présence au sein du magasin, j’ai essayé de sensibiliser mes clients à cette idée. J’ai toujours éduqué mes enfants dans ce sens. Lorsque nous allions à la mer, c’était dans l’intention de développer leur observation. A travers le jeu, l’enfant se découvre et apprend en même temps” souligne avec ferveur Jacqueline Louvrier. Jeux de construction style legos, de découverte, de montage, jeux électriques, modélisme, petits trains, fermes, autant de jouets à vocation pédagogique et qui ont occupé des années durant des générations d’enfants, en véhiculant une multitude de valeurs éducatives. “A travers le train, l’enfant fait l’expérience du montage électrique, des circuits. Avec le jeu de la marchande, les petites filles pouvaient être initiées à la notion d’argent.”

La gangrène des valeurs traditionnelles Des valeurs qui aujourd’hui s’évaporent dans la nature et tendent à disparaître, regrette Jacqueline. “Ce qui a tout chamboulé, c’est l’arrivée des consoles”. Un bouleversement, un “premier coup d’épée” comme le nomme Jacqueline, qui couplé à l’installation des grandes surfaces, a provoqué petit à petit le déclin du magasin. “Les enfants se sont désintéressés des jeux traditionnels. Lorsque les premiers petits ordinateurs sont apparus, je me suis même fait traiter d’imbécile parce que je refusais d’en vendre” s’exclame la propriétaire à ce souvenir. “Aujourd’hui, nous sommes dans l’ère du virtuel”. Suppression de la créativité, de l’imagination, de toutes ces petites choses qui peuplent l’univers de l’enfant, les jeux actuels n’apportent que du néant, s’indigne Jacqueline. “Les enfants dès leur plus jeune âge sont inondés de bricoles, c’est lamentable” “De nombreuses personnes viennent m’apporter du soutien et du réconfort et sont

QUELQUES TÉMOIGNAGES Une fidèle cliente. “Toutes les générations sont passées là.”

“J’ai 5 enfants, 9 petits-enfants et 5 arrière-petits-enfants, alors vous imaginez, toutes les générations sont passées là, et ont trouvé leur bonheur. D’ailleurs, mes arrière-petits-enfants jouent encore avec la ferme et les animaux même si elle commence à devenir brinquebalante. Caravelle, ça n’a été que du bonheur”. Madame Guyon. “Une ambiance”

“Je suis arrivée en octobre 1965. Je devais rester 2 mois initialement, j’y suis restée quarante ans. Mes quatre enfants sont venus à Caravelle. Il y avait une ambiance.”

E TAT C I V I L NAISSANCES

Iléane de Gérald LALORCEY et de Cécile MALCUIT, Champvans. Romane de Christophe EHRHARDT et de Myriam GUIGNIER, Falletans. Marie de Philippe BERTRAND et de Lydie PAGET, Ounans. Dylan de Ivan VITINA et de Céline VICHARD, Damparis. Ayoub de Abdallah BENBIY et de Elise DUGOIS, Damparis. Mikaël de Antonio FERREIRA DA SILVA et de Vera DA SILVA AROUCA, Dole. Bryan de Yohann E SILVA et de Tiphaine ZILIO, Chevigny. Nils de Loïc AUDY et de Maud CURIE, Dole. Céleste de François PRENAT et de Sylvie DEMONT, Dole. Sarah de Eddy EME et de Lucette ROSIER, Dole. Noémie de Bernard OFFNER et de Karine TONNERRE, Tassenières. Eléanor de Christophe BENAY et de Florence ROUX, Dole. Léolyne de Grégory GLOTOFF et de Maïté DEVILLE, La Bretenière. Maëlys de Bernard ARTUCHKOFF et de Fanny BESANÇON, Gredisans. Elioth de Michel SERRUROT et de Carole DECONIHOUT, Dole. Mathéo de Aymeric CHARIS et de Sonia BIBI, Petit-Noir.

Pays Dolois - Janvier 2008 - 10

Mona de Mikaël THOMAS et de Vanille MOULIN, Champvans. Manon de Sébastien RODOT et de Cindy LACROIX, Gevry. Hugo de Sylvain NODON et de Laurence GEOLLE, Thervay. Apolline de Alain GAGNEUR et de Patricia THIRIET, Dole. Sahra de Zohaïr SRAÏDI et de Delphine PALLAUD, Dole. Hugo de Cédric GERDY et de Stéphanie THÉRY-SIMONIN, Rochefort-sur-Nenon. Thibaut de Bruno LALLEMAND et de Céline BURDET, Damparis. Mathis de Cédric E SILVA et de Aline PERNIN, Foucherans. Matthieu de Pascal PUAUD et de Isabelle MELUH, Mont sous Vaudrey. Hugo de Olivier VUILLEMENOT et de Carine FRISTOT, Orchamps. Thomas de Benoit BAILLE et de Augustia BENITEZ FLORES, Parcey. Anatole de Cédric CLÉMENT et de Aline BOIZET, Authume. Walid de Abdelali ZERZOUH et de Khamissa ZERZOUH, Dole. Mélissa de Olivier MAGNIN et de Emilie LAMARD, Saint Aubin. Kylian de David BARDET et de Jessica MOUGEOLLE, Damparis.

TROSSAT Robert, Dole - 81 ans BEAUX Denise veuve GUYON, Ounans - 96 ans LOISY Henri, Chamblay - 85 ans MARTIGNONI Italo, Dole - 79 ans BOILEAU Georgette, Dole - 95 ans LIGONTO Maria veuve DEHLINGER, Mont sous Vaudrey - 90 ans MONAMY Henri, Brevans - 79 ans DÉCÈS PONE Roger, Dole - 78 ans SOLAR Joseph, Dole - 85 ans BOUGAUD Violette, Dole - 80 ans PETIT Raymond, Champvans - 94 ans MÉGARD Henri, Damparis - 77 ans GHIRINGHELLI Lina veuve FERRARI, AVOCAT-BENAN Elise veuve MASSON, Dole - 82 ans Champvans - 85 ans ROBIN Marie veuve BRENOT, Dole - 88 ans BAUDARD Pierre, Sampans - 75 ans SIRE Andrée veuve BEAULIEU, Sampans - 85 ans MARLIN Michel, Tavaux - 80 ans BRAUX Georges, Dole - 85 ans PATIN Marius, Dole - 89 ans GEIGER Raphaël, Dole - 87 ans MATTIUSSI Jeannine épouse CHAMPION, Dole - 68 ans RUFFINONI Catherine veuve SALVI, Saint GOUTENOIR Marie-Laure, Chamblay - 75 ans Aubin - 86 ans HENZL Henri, Saint Aubin - 83 ans MOMY Claude, Dole - 68 ans MICHELLAND Léon, Dole - 93 ans MARC Suzanne veuve ROLLIN, Vaudrey - 85 ans MESSIN Pierre, Abergement la Ronce - 70 ans NEYRAT Roger, Sampans - 61 ans PAILLOT Pierre, Dole - 83 ans MILLET Blanche épouse BERTEAUX, Dole - 77 ans PILLOT Jean, Petit Noir - 59 ans ATHIAS Fernand, Mutigney - 77 ans MOUROT François, Dole - 77 ans BOICHUT Andrée, Dole - 84 ans DIDIER Solange, Tavaux - 83 ans BOICHUT Justin, Choisey - 82 ans DA SILVA RIBEIRO Antonio, Chissey sur Loue - 72 ans Emilien de Cyril BAUDOT et de Raphaëlle DUPARET, Parcey. Lucas de Pierre SCHWAAR et de Mireille DUPONT, Oussières. Jade de Thierry CUYNET et de Sandrine GUICHARD, Dole. Killian de Benoit DEJEUX et de Peggy EMONNOT, Auxange. Mathéo de Murielle TOURNIER, Dole.

restées fidèles au magasin pour leurs enfants, leurs petits-enfants. J’ai eu cette chance que des personnes très simples, très ouvertes m’aient fait confiance et je les remercie infiniment. Certaines ont conser vé leurs jouets, une cliente a conservé sa poupée Bella, un autre sa petite voiture téléguidée et non pas télécommandée. Ces témoignages me font chaud au cœur. C’est très touchant de voir cette reconnaissance”.

Sous le signe de l’évasion Une reconnaissance pour tout le bonheur apporté aux enfants à travers ces jeux et jouets, pour tout l’émerveillement suscité par la décoration des vitrines. “Ce n’est pas pour moi que j’ai le plus

de peine, mais je suis chamboulée en pensant à tous ces enfants, tous ces petits bouts qu’on prive de la joie de recevoir des cadeaux authentiques. On leur coupe la possibilité de faire par euxmêmes, de fabriquer, bref de s’éveiller aux autres et au monde. D’ailleurs, certains parents vont même jusqu’à les empêcher d’admirer les vitrines alors qu’ils ont les yeux qui brillent”. Des vitrines au parfum d’évasion, tout comme le nom de baptême et l’enseigne du magasin, reflet de l’état d’esprit et de l’essence de Jacqueline Louvrier. “Lorsqu’en classe,

nous étudions la découverte de l’Amérique, le nom de Christophe Colomb et de ses trois caravelles m’a toujours fait rêver. Ma mère me disait toujours que j’étais trop curieuse. C’est vrai que j’ai toujours été animée par cette envie de la découverte et de l’innovation. Cela a été mon fil d’Ariane tout au long de ma vie. Alors lorsqu’il a fallu trouver un nom au magasin, celui de Caravelle s’est imposé. Pour moi ce nom est féerique, il symbolise les voyages. D’ailleurs, dans mon cœur, je suis restée une gamine” reconnaît avec beaucoup d’émotion Jacqueline.

■ DOLE / GASTRONOMIE / INTERVIEW

“L’alliance du Sud et de la tradition” Avec sa future épouse Anastasie, Yohann Béclier, jeune chef de 26 ans a repris l’ancien restaurant de Romuald Fassenet. Une touche d’huile d’olive, une dose de morilles, La Table des Tanneurs va de paire avec table des Saveurs et propose une gastronomie variée, entre Méditerranée et Franche-Comté pour le plaisir des papilles depuis le 18 octobre.

Devenir restaurateur, était-ce un rêve d’enfant pour vous ? Non, pas de tout. Je ne me destinais pas à ce métier. A vrai dire, ce métier est le fruit d’un choix d’orientation que mon conseiller m’a imposé à l’âge de 16 ans. Je n’avais pas le goût du travail alors on m’a orienté dans cette voie sans se préoccuper de savoir si cela me plaisait.

Quel a été votre parcours professionnel ? Je suis diplômé de l’école d’hôtellerie Condé de Besançon. J’ai beaucoup voyagé au cours de mes études et effectué des stages, dans un relais-château, chez Stéphane Gaborieau, meilleur ouvrier de France en 2004. J’ai été chef très jeune, à 23 ans, une fois mon bac pro en poche. Je suis parti dans le Sud faire des saisons dans des établissements renommés, dans les palaces à Cannes, ou à Saint-Raphaël. L’hiver, je travaillais dans les Alpes.

Vous avez beaucoup voyagé. Que vous a apporté cette expérience ? C’est une nécessité de voyager, d’aller à la rencontre des autres. J’ai découvert une diversité gastronomique, de l’Alsace, à la Bretagne en passant par la région lyonnaise. Il est vrai qu’en Franche-

Comté, nous sommes gâtés, c’est une place forte de la gastronomie. Mais pour exister ici, il faut savoir se diversifier et proposer d’autres saveurs.

Justement à propos des saveurs, quelle carte avez-vous élaboré ? On essaie d’apporter un peu de chaleur et de Sud aux plats tout en conservant des produits franc-comtois. Je souhaitais élaborer une carte à mon image, en essayant de marier toutes les saveurs que je connais traditionnelles et méditerranéennes comme l’huile d’olive, les herbes de Provence, les aubergines. Je propose beaucoup de poisson, par exemple du filet de rouget au pistou mais je conserve des classiques de la cuisine terroir comme le poulet au vin jaune, J’essaie de proposer une cuisine originale pour surprendre le palais. De même pour les desserts, avec un sorbet à l’huile d’olive, une glace à la lavande en spécialités.

Comment vous est venue cette envie de posséder un restaurant ? Je suis franc-comtois et au bout de trois ans à faire les saisons non stop, ça me fait plaisir de renouer avec mes racines. Par ailleurs, cette envie de posséder un restaurant résulte d’un choix commun avec Anastasie, ma future épouse. Nous avons travaillé trois ans non stop ensemble à un rythme effréné pour apprendre le métier. Nous avions envie de nous poser. Nous avons entendu que le Bec Fin quittait le centreville pour s’installer au château du Mont Joly à Sampans. L’aventure a commencé. Ce restaurant n’est pas tombé du ciel, il est le fruit de nombreuses heures de travail.

Anastasie et Yohann, un couple complémentaire qui partage les mêmes valeurs et la même passion pour la cuisine avec une équipe composée d’un commis et d’une apprentie en salle.

Pas trop difficile de reprendre un établissement de prestige, suite à la renommée de Romuald Fassenet ? Fassenet, c’est le summum pour les initiés de la cuisine. Reprendre ce restaurant est un défi. C’est certes un héritage lourd. Je n’ai toutefois pas la prétention de faire ce qu’il fait. Mon credo consiste à travailler, à rester humble et à respecter les clients. Mon ambition consiste à être une bonne table, à proposer une cuisine de qualité avec des produits frais et locaux. Je travaille avec des fournisseurs de proximité. Mes volailles viennent de Tavaux, mes légumes d’Auxonne. Je veux me montrer digne de cet héritage.

Quelle clientèle avez-vous ? Nous avons des fidèles du Bec Fin qui reviennent déjà. Je vais beaucoup en salle discuter avec les clients. Je souhaite vraiment m’implanter dans la ville, d’où le nom du restaurant. Il s’agit d’un clin d’œil à la famille de Pasteur afin de montrer mon intention de travailler avec cette ville. C’est quelque chose qui nous tient à cœur. Le restaurant est ouvert tous les jours du lundi au dimanche. La Table des tanneurs 67 rue Louis Pasteur Tél. 03 84 82 49 37


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ÉVÉNEMENT

LA COMMANDERIE, les 25, 26, 27 et 28 janvier

27e EDITION

Salon de L’HABITAT : la vitrine pas assez grande, nous étions obligés de faire installer un chapiteau. Certains exposants étaient défavorisés. La Commanderie nous évite toutes ces difficultés pratiques. Les exposants ont apprécié d’être tous logés à la même enseigne et les visiteurs ont pu stationner facilement sur le parking du Pasquier et emprunter la nouvelle passerelle. En bref, cette salle nous simplifie la vie.

Quelles sont les nouveautés en matière d’organisation par rapport à l’année dernière ? Nous nous sommes adaptés à la salle. Cette année, nous allons modifier la configuration des stands et aménager un espace restauration et produits du terroir (charcuterie, comté, vins du Jura) sur la scène, ce qui va nous permettre de libérer de l’espace dans la salle, afin de proposer un plus grand nombre de stands d’angle. Nous avons fait en sorte que la partie vitrée soit entièrement dégagée afin que les visiteurs puissent admirer la vue sur Dole. Nous aurons également un point d’accueil pour les enfants avec des jeux, des coloriages… De même que les années précédentes, des conférences et tables rondes se dérouleront à l’étage. Les tickets remis à l’entrée permettent de participer à des tirages au sort et d’emporter de nombreux lots, essentiellement des produits du terroir.

Quel est l’objectif de cette 27e édition ?

Dans les coulisses de l’habitat Seconde édition à La Commanderie pour Jean-Pierre François, président depuis l’année dernière des journées de l’habitat et dirigeant d’Aréa Constructions. Cette année, cap sur les nouvelles tendances de l’habitat, qui font la part belle aux énergies renouvelables, à la géothermie et au relooking.

Les journées de l’habitat se sont déroulées pour la première fois l’année dernière à La Commanderie. Quel bilan tirez-vous de cette première édition ? Cette première édition à La Commanderie nous a apporté une grande satisfaction. Nous avons bénéficié de l’attrait de la nouveauté de la part du public qui a pu Pays Dolois - Janvier 2008 - 2

découvrir La Commanderie qui venait d’être inaugurée. Nous avons comptabilisé 10 000 entrées, soit une augmentation de 25 % par rapport aux années précédentes, un véritable succès. Qui dit plus de visites signifie également plus de retombées pour les exposants. La nouveauté mais également le confort, l’espace, la sécurité ont contri-

bué à faire de ces journées une réussite. La Commanderie est une salle extrêmement pratique, agréable. Auparavant, les journées se déroulaient à la Halle des Templiers. Nous étions obligés de gérer à la fois l’aspect logistique, sécuritaire en faisant appel à des maîtres chiens pour surveiller le site la nuit. Par ailleurs, la halle n’étant

Notre objectif consiste à regrouper un maximum de professionnels du bâtiment. Ceux qui se trouvaient sur liste d’attente l’année dernière participent à cette édition. Par ailleurs depuis quelques années, de nouveaux produits, de nouvelles technologies liées aux exigences réglementaires, à l’amélioration de la performance énergétique des constructions neuves font leur apparition. Nous essayons de mettre en avant ces nouvelles tendances qui concernent les énergies renouvelables, la récupération des eaux de pluie, les panneaux solaires, la géothermie. Nous ne faisons que confirmer ce qui a déjà été lancé. Non seulement les gens en parlent, mais ils concrétisent et mettent en œuvre. On commence à voir des panneaux solaires sur les toits. Les gens sont sensibles à la problématique environnementale.

En bref, ces journées consistent en une représentation de toute la palette de tendances que l’on peut trouver au niveau de l’habitat. La diversité des stands (cuisine, piscine, portails…) reste un atout pour le salon.

Quelle est pour vous la spécificité 2008 au niveau de l’habitat ? La fin d’année, marquée par le Grenelle de l’environnement et ses conséquences, nécessite d’appréhender au mieux le thème du développe-

ment durable et de la protection de l’environnement. Il ne faut pas oublier que l’augmentation des coûts de construction cumulés à la hausse des taux d’intérêt a amoindri les capacités financières des ménages. C’est pourquoi ces journées de l’habitat apportent des réponses concrètes au public et accompagnent les mesures fiscales et financières prises par le gouvernement. Propos recueillis par Chloé Chamouton

HALTE GASTRONOMIE Place à la restauration sur la scène pour cette 27e édition avec au menu : produits du terroir, vins et pains de tradition qui se côtoieront. Une restauration assurée par Dol’Agape, prestataire de la manifestation depuis 25 ans avec la présence des fidèles vignerons, Daniel et Monique Dugois des Arsures et Laurence et Jean-Michel Petit de Pupillin, des habitués du salon de l’habitat depuis une quinzaine d’années. “Cela fait la deuxième année que nous organisons la restauration à La Commanderie avec une innovation cette année. Nous montons un restaurant en figuration sur la scène.” explique Joël Fiumana. Au menu, de la convivialité, de la bonne humeur entretenue par les croissants le matin, un menu buffet et plat chaud avec un large choix de crudités, des viandes, buffet de fromages et desserts le midi, et la traditionnelle soirée franc-comtoise avec cancoillotte, saucisse de Morteau et jambon de montagne. “Les plats sont préparés dans nos cuisines et nous amenons notre matériel sur place”. Au total, plus de 180 repas sont préparés pour les exposants. En dehors de la restauration, un coin bar sera aménagé pour des boissons et des pâtisseries. “Le salon de l’habitat, c’est un peu une grande famille. La gastronomie fédère les rencontres et les échanges. C’est vraiment la fête de la restauration et du bâtiment” insiste Joël Fiumana.

Fleur de Blé Une première pour la boulangerie de la Bedugue “Fleur de Blé” tenue par Greg le Boulanger et sa femme Sandra Meunier qui feront déguster leur pain. Une halte gastronomique qui dans le cadre d’une tombola et d’un tirage au sort donnera l’occasion aux visiteurs de remporter des paniers du terroir. “C’est une première pour nous. Nous nous sommes proposés pour participer au salon suite à un constat. Les années précédentes, nous avions remarqué un afflux de personnes à la boulangerie dû au salon de l’habitat.

Nous avions eu plein de monde en restauration rapide. L’idée a alors germé dans notre esprit de proposer un stand snacking, boissons, sandwichs, pains divers, les gens et leurs enfants aiment bien grignoter sur le pouce. En plus, cette participation sera l’occasion de faire découvrir nos pains et notre spécialité, la baguette au blé germé en faisant des dégustations. Avec un boulanger, des vignerons et un fromager, les produits du terroir seront bien représentés.”

Sandra et Greg Meunier, tiennent la boulangerie Fleur de Blé depuis 4 ans.


LES EXPOSANTS

des professionnels Tendances déco et savoir-faire Par ses dimensions de découverte des actualités tendances, de mise en valeur des savoir-faire, le salon propose une véritable vitrine de professionnels de l’habitat et de la décoration. Un salon qui mise sur l'attractivité au niveau du lieu d’accueil, des stands proposés et de la restauration.

L’habitat sous le signe de la décoration Place aux idées décoration sur le salon de l’habitat. Une 27e édition qui se mettra à la mode féminine avec l’accueil de plusieurs exposants de décoration. Réfection de sièges, idées pour meubler son intérieur, autant d’ingrédients qui mettront une touche féminine sur un salon souvent considéré comme technique et donc réservé aux hommes.

Gérard Gerriet Gerriet Charpente

“L’escalier, un objet d’art” de l’habitat en tant que visi-

Emmanuelle Klipsel EK décoration “C’est la deuxième année que je participe au salon de l’habitat. J’essaie d’aménager un stand attractif, visuel, agréable à voir et je conseille les visiteurs sur la décoration. Je m’occupe de relooking d’intérieur, en me déplaçant chez les particuliers. Je leur donne des conseils, je les guide en leur montrant des échantillons. Dernièrement, j’ai relooké des tables et des chaises Henri IV en faisant des patines dessus. On me confie également l’aménagement d’intérieurs (du choix des papiers peints aux rideaux en passant par les mobiliers). L’année dernière, j’avais créé un stand dans le style baroque, mais il existe des multitudes de tendances en matière de décoration d’intérieur, notamment zen, avec des thèmes végétaux, des cactus pour donner une atmosphère reposante, ou bien néo-classique ou naturelle (avec du lin), pop (seventies, années 70). L’aménagement d’intérieur correspond à l’état d’esprit du particulier. Le salon de l’habitat me permet d’être à la fois au contact des particuliers qui construisent leur maison et ne savent pas forcément que ce type de services existe sur la région, d’être à leur écoute et de faire découvrir mon savoir-faire. J’ai créé ma société en 2001 et au fil des années, j’ai constaté un réel engouement pour la décoration. j’ai également bénéficié de l’impact des séries télé consacrées à cette thématique. Sur un salon consacré à l’habitat, les visiteurs sont ravis de trouver des stands un peu animés. Grâce au salon, j’ai pu rentrer en contact avec de nombreux clients”. Société EK décoration - 39120 Nevy-sur-Seille

Mme Bellefoye Décorial Atelier du décor “C’est ma première participation au salon. Côté aménagement du stand, je compte exposer de l’artisanat notamment de la réfection et rénovation de sièges avec un tapis, et une paroi japonaise. Il s’agit de rideaux avec tringle fabriqués sur place dans notre atelier et réalisés sur mesure. Quelques échantillons de tissus et de papiers peints particuliers ainsi que des catalogues permettront aux visiteurs de découvrir tout ce que nous sommes capables de proposer. Je trouve intéressant de participer à ce salon pour faire connaître notre activité de réfection de sièges. C’est un travail artisanal, qui nécessite un savoir-faire. Nous allons présenter une banquette d’un client datant des années 30 ainsi que des sièges en fer forgé recouverts retravaillés en banquette”. 3 rue de Rome 39500 Tavaux - Tél. 03 84 81 96 79

Quelle est la spécificité de votre entreprise ? C’est une entreprise familiale qui existe depuis 1956. Nous nous sommes spécialisés dans la création d’escaliers originaux, spéciaux, sur mesure, en bois et en métal (aluminium, inox). Nous utilisons également du verre et diverses sortes de bois comme le frêne ou des bois exotiques pour un rendu bicolore. L’escalier est devenu au fil des années un objet artistique, esthétique et décoratif à part entière. Du temps de mon père, l’escalier était caché. Maintenant, on le met en valeur, on ose certaines techniques. Il faut sans cesse se renouveler pour innover et proposer des formes, des styles originaux, sophistiqués.

teur et pour ma première participation, j’ai décidé d’exposer à Dole. J’ai réalisé quelques escaliers dans la région. Jusqu’à présent, nous fonctionnions plutôt par boucheà-oreille. Ce salon sera l’occasion d’exposer notre savoirfaire, nos techniques en matière de création et de conception d’escalier. Et puis j’aime bien cette région. Ce salon permettra également de tester l’intérêt des Dolois et Franc-comtois en général pour les escaliers. Cela ne nous gêne pas de nous déplacer, puisque la majeure partie du travail s’ef fectue ensuite à l’atelier. Côté aménagement, nous allons montrer un panel de ce que nous savons faire, à savoir trois maquettes d’escaliers différents, un escalier type art nouveau, un départ d’escalier moderne et peut-être un autre en frêne constitué de parties cylindriques avec des incrustations de verre s’il est terminé. Contact Gerriet Charpente, 15 rue de la Petite Fin 21121 Fontaine-les-Dijon Tél. 03 80 56 60 54

CREDIT MUTUEL Dole/Tavaux 29, rue Marcel-Aymé 39100 Dole, Tél. 03 84 79 47 00 (stands 51-52) Bâtiment - Gros-œuvre CESCHI, 16, rue Du Pont, 39380 Montbarrey Tél. 03 84 81 52 73 (stand 56) ENT. SALIGNON, 4, rue Des Lochères 21470 Brazey-en-Plaine, Tél. 03 80 29-96-54 (stand 4) Charpente - Couverture - Zinguerie ALU CHENEAU - DAL'ALU 20, rue Des Ardennes 21000 Dijon Tél. 03 80 53 63 96 (stand 71) COMPAGNONS DU BATIMENT 35, rue Du Bizard 39100 Dole Tél. 03 84 82 08 13 (stands 5-6) FRANC-COMTOISE DE CONFORT 12, av. du Maréchal-juin 39100 Dole Tél. 03 84 82 90 40 (stands 72-73) REVY-QUERE 49, rue Du Bizard 39100 Dole Tél. 03 84 72 01 86 (stand 92) GERRIET CHARPENTES 15, rue de La Petite Fin 21121 Font.-les-dijon Tél. 03 80 56 60 54 (stand 64) Chauffage - Energies nouvelles SARL DBM 7, rte du Deschaux 39380 Bans Tél. 03 84 71 00 45 (stand 77) FRANC-COMTOISE DE CONFORT 12, av. Mal-juin 39100 Dole Tél. 03 84 82 90 40 (stands 72-73) ISARTE DOMINIQUE 176, rue Léon Guignard 39100 Dole Tél. 03 84 72 12 97 (stand 103) VIERJAN DANIEL, Rue de Damparis 39500 Champvans Tél. 03 84 72 58 74 (stand 24) O. MOUILLEBOUCHE 2, rue de Lourchaux 39100 Monnières Tél. 03 84 72 30 04 (stand 41) CEG CANTAUX 78 ch. de halage 39100 Dole Tél. 03 84 72 74 90 (stand 55)

104 78 0

stands présents à l’occasion de ces journées entreprises essentiellement locales exposeront euro prix d’entrée aux journées de l’habitat.

MATÉRIAUX DE LA PLAINE JURASSIENNE 12, rue de la Gendarmerie 39120 Chaussin Tél. 06 60 59 52 28 (stand 96)

MUNERET RICHARD 14, rue Richebourg 39350 Gendrey Tél. 03 84 81 08 20 (stand 13)

Menuiserie - Meubles MENUISERIE DAUBIGNEY 16, rue des Casernes 39500 Champdivers, Tél. 03 84 70 13 05 (stands 79-80)

FILIPPI 9, rue de Strasbourg 39330 Mouchard Tél. 03 84 37 88 97 (stand 66)

MENUISERIE PEGUILLET 4, rue des Ecoles 39120 Longwy/doubs Tél. 03 84 81 62 43 (stand 35)

ATELIER DU DECOR 3, rue de Rome 39500 Tavaux Tél. 03 84 81 86 79 (stand 45) Eau CULLIGAN 339, route de Besançon 39000 Lons-le-Saunier, Tél. 03 84 86 18 39 (stands 17-18) Electricité JEAN-CHARLES PERRARD 12, rue Victor-Huguenin 39100 Dole Tél. 03 84 73 03 61 (stand 99)

MENUISERIE OLIVIER THOURET 5, rue du Val-d’amour 39380 Belmont, Tél. 03 84 81 57 98 (stands 82-85)

PHILIPPE DIETRE Zac de Rougemont 39100 Foucherans Tél. 03 84 82 35 29 (stand 48) CEG CANTAUX 78, Ch. du Halage Rhône/Rhin 39100 Dole Tél. 03 84 72 74 90 (stand 55) Façades - Ravalement de façades MOYSE FAÇADE BOURGOGNE Rue Pierre-de-Coubertin 21160 Marsannay-la-Côte Tél. 03 80 52 89 45 (stand 25) MYRAL ZI, Rue Du Triage 21120 Is-sur-Tille Tél. 03 80 95 40 70 (stand 98) PVH 2, Imp. Jacques Prévert 21250 Seurre, Tél. 03 80 20 30 59 (stand 94) FAÇADES ET TRADITION 254, rue du Vivier 39220 Bois D'amont Tél. 03 84 60 96 35 (stand 46) MUR PROTEC ZI St-jean de Soudain 38110 La Tour du Pin Tél. 04 74 97 65 21 (stand 20) LABORIER PEINTURES Rue Bourgauld 39100 Dole Tél. 03 84 72 82 37 (stands 87-88) Fermetures ALUFERM 31, Route de Dole 39380 Ounans Tél. 03 84 37 71 73 (stands 7-8) AVENIR HABITAT 922, Rte de Conliège 39570 Perrigny Tél. 03 84 47 38 61 (stands 30-31) CAPELLI Route de Dole 71380 Alleriot Tél. 03 85 47 59 49 (stands 53-58)

MARYSE ET JEAN FACCENDA 4, av. de Landon 39100 Dole Tél. 03 84 72 42 76 (stand 63) GERRIET CHARPENTES 15, rue de la Petite Fin 21121 Fontaine-les-Dijon Tél. 03 80 56 60 54 (stand 64) ZENATHOME 14, av. de La Paix 39100 Dole Tél. 06 70 57 93 05 (stand 102) Miroiterie NOUVELLE MIROITERIE DOLOISE 83, av. J.-Duhamel 39100 Dole Tél. 03 84 72 54 08 (stand 76) Piscines INALTEC ZAC de Rougemont 39100 Foucherans Tél. 03 84 79 00 00 (stand 49) JURA PISCINES 6, rue Franche - 39700 Sermange Tél. 03 84 35 52 59 (stand 97) ABRI DESIGN 190 rue des Grangettes 39570 Perrigny (stand 19) POOL PISCINES 39 Route de Lons 39120 Le Deschaux Tél. 03 84 71 50 01 (stand 90) Platrerie - Peinture FILIPPI 9, rue de Strasbourg 39330 Mouchard, Tél. 03 84 37 88 97 (stands 66-67) MUNERET RICHARD 14, rue Richebourg 39350 Gendrey Tél. 03 84 81 08 20 (stand 13) PHV 2, impasse J. Prévert 21250 Seurre Tél. 03 80 20 30 59 (stand 94) LABORIER SARL 11, rue Bougauld 39100 Dole Tél. 03 84 72 82 37 (stand 87-88) Portails GILLES STEPCZAK 4, rue Casimir-de-Persan 39100 Dole, Tél. 03 84 70 89 00 (stand 1-2)

MOMBOBIER 10, av. de La Paix 39100 Dole Tél. 03 84 82 77 44 (stand 39)

GILLES STEPCZAK 4, rue Casimir-de-Persan 39100 Dole Tél. 03 84 70 89 00 (stand 1-2)

SONECC 65, bd H.- Herriot 39300 Champagnole Tél. 03 84 52 32 15 (stand 93) Climatisation - Géothermie - Aérothermie

MENUISERIE PEGUILLET Sécurité 4, rue des Ecoles 39120 Longwy-sur-le-Doubs FRANCHE-COMTÉ PROTECTION Tél. 03 84 81 62 43 (stand 35) 22, bd Des Frères Lumières 39100 Dole, Tél. 03 84 82 42 22 (stand 91) SOCOREVE RN5 - 21110 Genlis Sols Tél. 03 80 47 97 00 (stand 40) ENTREPRISE PHILIPPON STORES CLAIROTTE 44, Saulx-de-Savannes 21120 Lux, 122, bd Wilson 39100 Dole Tél. 03 80 75 36 00 (stand 3) Tél. 03 84 82 78 99 (stands 50-61) Stores BOILLON FERMETURES STORES CLAIROTTE ZA de Franois 25770 Besançon 122, bd Wilson 39100 Dole Tél. 03 81 59 99 75 (stands 69-70) Tél. 03 84 82 78 99 (stands 50-61) VISION FERMETURES GILLES STEPCZAK 37 chemin Rougemont 4, rue Casimir-de-persan 39100 Dole 39100 Foucherans Tél. 03 84 70 89 00 (stands 1-2) Tél. 03 84 79 51 74

AREA CONSTRUCTIONS 53, av. Eisenhower 39100 Dole Tél. 03 84 72 34 34 (stands 65-74)

Quelques chiffres

EK RELOOKING Rue Château-Guinand 39210 Nevy-sur-Seille Tél. 03 84 44 94 94 (stand 104)

MATÉRIAUX NATURELS DE FRANCHE-COMTÉ 150, rue de Saintaine 39570 Publy Tél. 03 84 44 71 30 (stand 11-12)

GOTTI 4, bd Duparchy 39000 Lons-le-Saunier Tél. 03 84 47 15 71 (stands 100-101)

FIMAD 10, av. de Northwich 39100 Dole Tél. 03 84 43 34 24 (stand 62)

SORECO ZAC CHAMP Chassy 71380 Chatenoy-en-Bresse Tél. 03 85 42 58 58 (stand 26) Jura 03 84 71 53 30 Constructeurs

C’est une première pour moi. J’avais fait quelques expositions déjà, mais jamais de salon. Je connaissais le salon

SCHMIDT CUISINES C. Com. 39100 Choisey Tél. 03 84 72 13 02 (stand 36-47) Décoration - Luminaire

JEANNEY DOMOTIQUE ZI rue de Strasbourg 39500 Tavaux MENUISERIE DAUBIGNEY 16, rue des Casernes 39500 Champdivers Tél. 03 84 71 80 89 (stand 23-32) Tél. 03 84 70 13 05 (stands 79-80) Sanitaire ISARTE DOMINIQUE CAP OUVERTURE 176, rue Léon Guignard 39100 Dole 125, av. Mal Juin 39100 Dole Tél. 03 84 72 12 97 (stand 103) Tél. 03 84 72 23 94 (stand 81-86) VIERJAN JEANNEY DOMOTIQUE Rue de Damparis 39100 Champvans, ZI, rue de Strasbourg 39500 Tavaux, Tél. 03 84 72 58 74 (stand 24) Tél. 03 84 71 80 89 (stand 23-32)

GAZ DE FRANCE 57, rue Bersot 25000 Besançon Tél. 03 81 83 84 73 (stand 75) Cheminées - Poêles

O'BAIN ENERGY NOV 10, Grande rue 39410 Saint-Aubin Tél./fax 03 84 71 53 30 (stand 29) Combles

Que représente ce salon de l’habitat pour vous ? Comment votre stand sera-t-il aménagé ?

DIMANCHE 27 JANVIER 14 h 30 : Crédit Mutuel - 15 h 30 : Notaires - 16 h 30 : Ajena

CREDIT AGRICOLE 4, rue de Besançon 39100 Dole, Tél. 08 10 84 39 11 (stand 42)

AIR CLIMATECH 12, rue de La Milliaire 39290 Menotey Tél. 03 84 82 52 56 (stand 44)

Dans la plupart des cas, c’est effectivement Madame qui décide, puisque l’escalier fait partie intégrante de l’aménagement intérieur et de la décoration.

La 27e édition des journées de l'habitat proposera plusieurs conférences. Banques et notaires interviendront sur deux journées avec comme thèmes respectifs : l’accession à la propriété, les différents prêts et les nouvelles dispositions ainsi que les nouvelles lois sur les successions. SAMEDI 26 JANVIER 10 h 30 : Crédit Agricole - 14 h 30 : les Notaires 15 h 30 : Banque Populaire - 16 h 30 : Ajena

CIC - CIAL 51, rue de Besançon 39100 Dole, Tél. 03 84 82 06 00 (stand 37)

DOLE FROID SERVICE / CLIMATHERM ZI - 39500 Tavaux Tél. 03 84 81 10 66 (stands 59-60)

Le choix de l’escalier incombe-t-il aux femmes ?

Les mini-conférences

Aspiration SAS PAILLOUX DRAIN VAC 41 A, RN 6 - 71240 Varennes-le-Grand, Tél. 03 85 44 23 97 (stand 14) Banque BANQUE POPULAIRE Bourgogne - Franche-Comté Place Grévy 39100 Dole, Tél. 08 20 82 06 41 (stands 78-89)

Info

Terroir (sur la scène)

DANIEL ET MONIQUE DUGOIS CILJ Rue du Commerce 39000 Lons-le-Saunier 39600 Les Arsures Tél. 03 84 66 03 41 Tél. 03 84 24 90 64 (stand 34)

CONSTRUCTIONS BULLIER 29, route de Longwy 39120 Chaussin Tél. 03 84 81 73 44 (stand 83)

JURA HABITAT/ADIL DU JURA Maison de L'habitat 32, rue Rouget-de-Lisle 39000 Lons-le-Saunier Tél. 03 84 86 19 30 ou 03 84 86 19 10 (stand 21-22)

FRANCE CONFORT 4 place Pointelin 39100 Dole Tél. 03 84 72 02 38 (stand 33)

COURTIM 11, rue Alfred-de-Vigny 25000 Besançon Tél. 03 84 81 52 82 (stand 27)

LE FOYER JURASSIEN 79 av. de La République 39300 Champagnole Tél. 03 84 53 01 80 (stand 43) Cuisines

Matériaux

SIDAC Zone Des Epenottes 39100 Dole Tél. 03 84 82 54 58 (stand 84)

FRANC-COMTOISE DE CONFORT 12, av. Mal-juin 39100 Dole Tél. 03 84 82 90 40 (stands 72-73)

BOUVET DORAS 82, av. Eisenhower 39100 Dole Tél. 03 84 82 19 81 (stand 28) CBH 26, rue des Moulissards, 21240 Talant Tél. 03 80 55 08 10 (stands 9-10)

CUISINES LAURENT TETU 33, bd Léon-Jouhaux 39100 Dole Tél. 03 84 82 38 12 (stand 38)

LORMET PHILIPPE 10 rue du Château d'eau 39700 Offlanges Tél. 03 84 70 35 37 (stand 95)

3 D CONCEPT 2, rue Pierre Vernier 39100 Dole Tél. 03 84 70 94 98 (stands 54-57)

BOIS ET MATÉRIAU Rue de la Fenotte 39100 Dole Tél. 03 84 79 10 10 (stand 68)

MICHEL ET LAURENCE PETIT, Domaine de La Renardière 39600 Pupillin, Tél. 03 84 66 25 10 Traiteur (sur la scène) DOL’AGAPE JO‘L FIUMANA 85, Av. Eisenhower 39100 Dole, Tél. 03 84 82 72 91 Boulanger (sur la scène) FLEUR DE BLÉ S. ET G. MEUNIER 25, Av Maréchal Juin 39100 Dole Tél. 03 84 72 10 96 Vérandas ALUFERM 31, Route de Dole 39380 Ounans Tél. 03 84 37 71 73 (stands 7-8) SOCOREVE Rn-5, 21110 Genlis Tél. 03 80 47 97 00 (stand 40) GILLES STEPCZAK 4, rue Casimir-de-persan 39100 Dole Tél. 03 84 70 89 00 (stand 1-2)

Pays Dolois - Janvier 2008 - 3


C U LT U R E

Routees des Villag La

DOLE/THEATRE

Abergement la Ronce Concert

Avec “Noces”, l’œuvre de Stravinsky retrouve un souffle nouveau dans l’alliance spatiale subtile entre danseurs et chanteurs. Une alliance qui se déroulera vendredi 1er février au théâtre de Dole.

Concert de la chorale A tout Chour et de la Fraternelle de Tavaux à la salle des fêtes. Samedi 9 février

Damparis Thé dansant A la salle des fêtes avec l’orchestre “Raisonnance”. Organisé par le club du temps libre. Dimanche 27 janvier à 14 h 30

Tavaux Soirée comtoise A la salle Gérard Philipe organisée par AKI de Damparis-Tavaux. Souper dansant avec Flash Music. Ambiance garantie, galette des rois. Samedi 26 janvier à 20 h 30

Saint-Aubin Loto Samedi 19 janvier à 20 h, loto organisé par l’école publique au foyer rural.

Choucroute Dimanche 20 janvier à midi : choucroute des anciens combattants et prisonniers de guerre au foyer rural.

Loto Dimanche 27 janvier, loto du tri cross au foyer rural.

Loto

“Noces”spectacle vocal et chorégraphique “Noces”, c’est bien sûr le nom de l’œuvre de Stravinsky, créée en 1923 pour quatre solistes, un chœur à quatre voix, quatre pianos et instruments à percussion. Mais c’est également l’alliance audacieuse et réussie du partage de l’espace scénique entre musiciens, chanteurs, solistes et danseurs, pour construire avec le concours de chacun une image en mouvement de ces musiques, dans un souci d’équilibre et de respect de la dimension nécessaire à chacun.

Vendredi 1 février à 20 h, loto de l’ASSA au foyer rural.

L’espace au cœur de la scénographie

Loto

Schubert et Brahms, puis Stravinsky sont à l’honneur

er

Vendredi 8 février à 20 h, loto du club Esox au foyer rural.

dans ce spectacle vocal et chorégraphique interprété par l’ensemble vocal franccomtois Contraste et les danseurs de l’Homnibus Compagnie. “Le travail a beaucoup porté sur la question de l’espace, du nombre qui fait l’intimité, sur les rapports numériques des lieux et ceux qui les traversent. Mais aussi sur la circulation et le lien, l’occupation de l’espace comme facteur de création, d’oppression, et le fil constant qui relie au sacré. Donc, comme contrainte posée, les éléments, l’humain et le sacré” explique le scénographe Stéphane Cavallini. Les danseurs évoluent dans un espace

carré central de quatre mètres de côté, espace dans lequel les chanteurs s’introduisent pour créer un lien entre le mouvement et la musique. Aux quatre éléments originels omniprésents dans la symbolique de ce projet, vient alors s’ajouter le chiffre cinq, “le cinquième élément”, et qui représente l’homme, ses cinq sens, inscrit dans l’espace d’un cercle, celui de l’homme de Vitruve. Stéphanie Chatelain

“Noces” de l’Homnibus Compagnie en collaboration avec l’ensemble vocal de Franche-Comté Contraste . Vendredi 1er février, 20 h 30, au théâtre de Dole Scènes du Jura : 03 84 82 99 19

“Sacrifices” one-woman show entre indignation et tendresse Après “Nous avons tous la même histoire” et “Ça n’arrive qu’aux autres” voici l’histoire de trois femmes, Fatima, Mounira et Antoinette. Trois portraits de femmes peints avec indignation et tendresse.

T

rois parcours que la comédienne et metteur en scène Nouara Naghouche interprète, avec humour et tendresse. Mais le petit truc en plus de Nouara, Alsacienne issue de l’immigration “pas choisie” et d’un quartier défavorisé de Colmar, c’est la lucidité à la fois mélancolique et battante de la femme qui a choisi “d’exister à travers le théâtre” et qui veut “montrer qu’une femme peut s’émanciper et choisir sa vie”. Ce 3e one-woman-show, c’est le cri d’une femme en révolte face à toutes les formes que peut prendre la souffrance de la femme. Mais, même au vitriol, il y a du rire, de l’émotion dans ces personnages qui défilent sur scène sous les traits de la comédienne : sombre elle se veut rassurante comme en témoigne son credo “ensemble, respectons-nous”. Cinquante minutes de spectacle où Nouara Naghouche et Pierre Guillois, co-auteur et co-metteur en scène, s’insurgent contre le racisme primaire et la condition de la femme maghrébine : au fil du texte, de la révolte, de l’espoir, on est littéralement

Soirée moules-frites Samedi 9 février à 20 h : Soirée moules-frites de l’Acticlub au foyer rural.

Musique Vendredi 15 février à 20 h 30 Audition des élèves de l’école de musique au foyer rural.

Loto Samedi 16 février, loto des majorettes au foyer rural.

Dans le cadre de notre rubrique “Route des villages” ouverte à toutes les communes et manifestations, faites-nous parvenir vos évènements à chloe.paoh@orange.fr

DOLE : L’HYDROGÈNE, UNE ÉNERGIE POUR L’AVENIR ? Mercredi 23 janvier, de 14 à 16 heures, l’Atelier Pasteur, en collaboration avec l’Université de Franche-Comté et l’Office de Tourisme du Pays Dolois Pays de Pasteur, accueillera un groupe de jeunes scientifiques européens du projet HyTRAIN pour deux conférences : d’abord pour les enfants, puis pour les adultes. Durant la semaine du 21 au 25 janvier, un groupe de douze jeunes chercheurs scientifiques participant au projet HyTRAIN se retrouvera à Dole, à La Commanderie. Ce projet européen regroupe 18 institutions européennes et une équipe de 12 chercheurs autour du stockage de l’hydrogène, une énergie propre pour notre avenir ! Pour e le 6 et dernier “Workshop”, les jeunes chercheurs d’HyTRAIN se retrouveront à Dole ! Au programme : études des aspects techniques sur le stockage de l’hydrogène, conférences avec démonstrations, visites de site… Ainsi, de 14 à 15 heures, une dizaine d’enfants, garçons et filles, de 9 à 12 ans pourront participer à cette séance extraordinaire de l’Atelier Pasteur ! Ce sera l’occasion de découvrir avec ces jeunes chercheurs européens l’utilisation de l’hydrogène comme carburant propre du futur dans toutes sortes d’objets : voiture, téléphone… Expérimentation, manipulation des électrolyseurs de l’Atelier Pasteur, démonstrations et discussion avec les jeunes scientifiques européens sont au programme. le nombre de places est limité, il est donc vivement conseillé de réserver votre place par téléphone au 03 84 82 11 24 pour une inscription gratuite, à cette conférence, qui se déroulera dans les locaux de l’Atelier Pasteur, le mercredi 23 janvier 2008 de 14 h à 15 h.

transporté dans ces quartiers sensibles où l’interprète a grandi. Stéphanie Chatelain

“Sacrifices” de Nouara Naghouche : jeudi 7 février, 20 h 30, au théâtre de Dole Soirée Diapos avec le metteur en scène Pierre Guillois, lundi 28 janvier, 20 h 30, au théâtre de Dole ; entrée gratuite dans la limite des stocks Scènes du Jura : 03 84 82 99 19

DOLE - COMMÉMORATION

La naissance de Louis Pasteur !

Malgré le froid et les intempéries de cette fin d’année 2007, les amis de Pasteur, élus et représentants de l’Etat étaient présents pour commémorer sa naissance en 1822, à Dole. Après un dépôt de gerbe devant la stèle du passage de l’Abreuvoir, l’assistance nombreuse est entrée dans la Maison Natale. Le Président de la Société des Amis de Pasteur, Alain Marchal, a alors rappelé que Louis Pasteur est toujours d’actualité : il figure dans la plupart des revues scientifiques récentes. Très vite, il a laissé la place à Emmanuel Marine, Conservateur des Médiathèques municipales de Dole pour une conférence intitulée “Pasteur, rue d’Ulm”. Ainsi, pendant 45 minutes, la soixantaine de personnes présentes s’est plongée dans l’univers de Louis Pasteur, durant son parcours à l’Ecole Normale Supérieure. C’était un homme sévère, mais juste et sachant transmettre son savoir et sa passion pour la recherche par la manipulation et les expériences… Claire C

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A L’HONNEUR ■ FRAISANS / COMPAGNIE LES DROUBIES

■ DOLE / ASSOCIATION / LES SENTIERS EN POESIE

Balade marionnettique

Une aventure poétique

Créée en 2001, la compagnie Droubies installée depuis un an à Fraisans se donne comme ambition de plonger les spectateurs, adultes et enfants dans l’univers magique de la marionnette. Un univers tissé de techniques différentes où masques, mimes, chansons, marionnettes se font écho dans les spectacles. Ainsi font font font les petites marionnettes…

Créée en juillet 2007, sous la houlette de la poétesse doloise Jane Perrin, l’association Sentiers en poésie, composée d’une dizaine de personnes vise à promouvoir trois branches de la poésie. Musique, illustrations, mots, la poésie se dévoile en un récital qui combine ces trois arts.

Implantée dans le Jura depuis 2001, ancrée à Fraisans depuis 2006, la compagnie “les Droubies” plonge petits et grands dans l’univers fabuleux de la marionnette. A l’initiative de ce projet, une comédienne Virginie Paveau et un ami plasticien. “Nous réalisions déjà du théâtre de rue et avions un côté très manuel” explique Virginie. D’où l’idée de fonder cette compagnie où la marionnette est reine et s’anime d’une vie nouvelle sous les doigts et la gestuelle des comédiens. Dans la famille Droubies, place au métissage, au mélange et à la diversité des styles. “Notre troupe réunit des musiciens, des plasticiens, des jongleurs, des comédiens, nous faisons intervenir toutes les facettes des arts de la rue. C’est ainsi que nos deux spectacles Aba le Paresseux et Blanc comme une girafe ont été élaborés, en tissant des liens entre masques, marionnettes et chansons”. Côté histoires, Les Droubies s’inspirent de contes ou de livres pour enfants. “Le spectacle Aba le Paresseux est le fruit d’une adaptation d’un conte du Moyen Orient. Quant à la création Blanc comme une girafe, nous avons travaillé à partir de l’histoire d’un auteur contemporain pour l’adapter à l’âge maternel. Cette histoire traite du thème de la différence”.

Les trois facettes de la poésie

De l’or dans les mains Un nom un peu étrange aux allures enfantines qui interpelle et fait écho à une “rivière d’Ardèche”. “Au début, lorsque nous sillonnions les routes de France et de Navarre, nous nous appelions le Droubies’show”. Des spectacles artisanaux de la

Les Droubies ou l’art de concevoir des marionnettes farfelues, drôles et vivantes, reines de la scène.

conception des marionnettes jusqu’à la réalisation. Croquis, esquisses, puis confection des marionnettes en latex et mousse, ce travail artisanal nécessite entre 10 et 200 h, selon la marionnette. “Façonner les marionnettes nous plaît énormément.”

Au royaume de l’imaginaire Voyages, rencontres, relations humaines, autant de raisons qui motivent la troupe des Droubies. “Les tournées, les balades marionnettiques nous permettent d’aller à la rencontre du public, de nourrir des échanges, de développer cette proximité et cette éducation populaire avec le public” souligne Virginie. Un public mixte, où adultes et enfants se retrouvent dans cet univers de rêves. “Les enfants s’identifient facilement aux personnages, et nous oublient très rapidement. Nous essayons toujours d’établir plusieurs niveaux de lecture dans nos spectacles pour qu’ils fassent sens aux parents également. Nous conser vons cette volonté de ne pas faire un spectacle simpliste.” Favorisant une plus grande liberté d’expression, l’usage de la marionnette demeure un

■ DOLE / POLICE

CONSTRUCTION DU NOUVEL HÔTEL DE POLICE Un nouvel hôtel de police devrait voir le jour sur un terrain d’environ 7 200 m2 localisé aux Epenottes, derrière l’usine Tomecanic. Un terrain cédé pour 1 euro symbolique à l’état lors d’une délibération du conseil municipal le 11 décembre. Création d’une ligne de bus et de parkings pour les visiteurs, autant d’engagements promis par la municipalité. L’étude de faisabilité ayant été validée, le projet rentre désormais dans une phase opérationnelle pour un montant global de 4,7 millions d’euros. Ce nouveau bâtiment sera réalisé sous maîtrise d’ouvrage publique par le secrétariat général de l’administration de la police de Metz. Le programme technique détaillé respectant la norme HQE (haute qualité environnementale) et la procédure de concours d’architecture seront lancés au cours de l’année 2008. Après des études de maîtrise d’œuvre en 2009, le démarrage des travaux est envisagé en 2010. Un bâtiment moderne, fonctionnel, répondant aux besoins des fonctionnaires de police dolois afin de faciliter un confort de travail, tels seront les atouts de ce nouvel outil. Pays Dolois - Janvier 2008 - 16

atout pour les Droubies. “La marionnette multiplie la gamme de nos possibilités de création. Nous pouvons imaginer des marionnettes un peu délirantes. Tout devient possible” s’enthousiasme Virginie. Un univers qui nécessite une certaine proximité avec la marionnette. “Il est parfois difficile pour certains comédiens de se mettre dans la peau des marionnettes. Pour s’approprier le personnage, ils parlent même tout seuls à leur marionnette”. Une intimité “façon Jepetto et Pinocchio” qui pour Virginie se révèle être une seconde nature. “Nous créons ces marionnettes, ce sont un peu nos bébés, nous connaissons leurs traits physiques. Le plus important consiste à maîtriser son corps et à mettre en avant la marionnette”. En projet, la création d’un spectacle de rue pour l’été prochain, qui alliera marionnette et danse et reposera davantage sur l’investissement corporel. Sans oublier les ateliers théâtre avec les centres de loisirs, les écoles. Avec les Droubies, les marionnettes font leur show. Chloé Chamouton

Compagnie Droubies 39700 Fraisans. Tél. 03 84 81 30 64 http : //droubies.com

■ DOLE / MEDIATHEQUE

EXPOSITION PHOTO Jusqu’au 20 janvier, la médiathèque propose une exposition consacrée à la photographe tchèque Marie Sechtlova. Cette artiste originaire de Tabor, ville jumelle de Dole, est l’une des pionnières de la photographie couleur. Marie Sechtlova a marqué l’art de la photographie par ses photomontages et son traitement de la couleur en particulier sur les photos de nuit. Son travail réalisé dans les grandes capitales mondiales (New York, Paris, Moscou) a inspiré plusieurs générations de photographes.

La fibre poétique, nul doute que Jane Perrin la détient. Une passion des mots qui a conduit cette poétesse doloise de presque 80 ans à créer en juillet 2007 une association en compagnie de 5 autres compères (Nadine Aruffat, Jacques Roux, Alain Picard, Clara Picard, Sylvette Bourgeois-Moine, Léa Ferrand, Marie-Thérèse Renard, Ferjeux Wasner) pour emporter les spectateurs sur “les sentiers en poésie”. Un nom de baptême qui reflète les motivations des créateurs. “Qu’il s’agisse de la musique, de la peinture ou des mots, chacun peut trouver une direction, des chemins, des sentiers” explique Jane Perrin. Cette association vise à “concilier les trois facettes de la poésie”,

trois artisanats, permettant ainsi de rendre accessible à tous, l’univers des mots. “Le poète est un fabricant de mots, le musicien, un créateur de mots et le dessinateur-illustrateur fabrique à l’aide de son crayon et de son pinceau”. Une alchimie qui donne matière à des récitals, des balades musicales d’une heure un peu partout dans le Jura à partir des textes de Jane extraits de “Sillage apprivoisé”, de Jean-Louis Lacroix, condensés dans un recueil intitulé “Poésie”.

Des ateliers d’écriture ludiques Autre corde à l’arc poétique de l’association, les ateliers d’écriture, chers au cœur de Jane. “La promotion de la poésie passe également par la transmission et l’éducation des jeunes”. Un plaisir qu’elle

Jane Perrin, présidente de l’association se donne comme ambition en collaboration avec les autres membres de promouvoir la poésie sous toutes ses formes artistiques.

partage cette année avec les élèves de 3e du collège de l’Arc. Une collaboration qui donnera naissance à l’élaboration d’un livre illustré et à la lecture de ces poèmes écrits par les élèves au cours des récitals de l’association. “Les élèves découvrent ainsi la poésie de manière ludique”. Les clés du succès de l’association ? quelques grammes de mots, une pincée d’illustrations, le tout dans une gangue musicale pour faire germer le

rêve et sortir “les mots de leur linceul”. Chloé Chamouton

Prochains récitals Dimanche 3 février 2008, Auditorium Karl Riepp, 17 h 15. Gratuit Récital à la médiathèque en avril - mai 2008 Contact Jane Perrin, présidente de l’association : 59 boulevard Wilson. Tél. 03 84 82 25 63 Adhésion à l’association : chèque de 10 euros à l’ordre de “Sentiers en Poésie” adressé à la trésorière Annick Chevassus, Chemin des Vignes, 39300 Saint Germain-les-Arlay

■ DOLE / SOCIAL / ASSOCIATION ORPHELINS RESCAPES DU RWANDA

“Nous avons besoin de 6 000 euros” Les yeux remplis d’émotion à l’évocation du génocide rwandais, des horreurs subies par les orphelins rescapés, Claude Dubuc, présidente de l’association Orphelins rescapés du Rwanda lance un appel aux dons et à la générosité des familles pour subvenir aux besoins de ces orphelins et leur apporter un soutien affectif.

Quelles motivations vous ont poussée à créer cette association ? J’ai créé cette association en 1995 après le génocide rwandais à la demande de ma cousine professeur de mathématiques au Rwanda depuis 35 ans. Cette association se donne comme ambition d’aider chez eux les orphelins du Rwanda dans une détresse physique, psychologique et matérielle immense. L’urgence se situait là-bas, je n’ai pas hésité une seconde. Depuis 13 ans, une centaine de familles dans toute la France donnent régulièrement de l’argent pour élever ces enfants.

Comment fonctionne l’association ? Les familles versent de l’argent, ils parrainent des orphelins mais nous vendons également de l’artisanat, statuettes, vannerie et cartes réalisées par des orphelins, des enfants de la rue, à partir d’écorces de bananiers. Ce sont de véritables petits tableaux. Cette vente nous permet de couvrir nos frais de gestion. 100 % de ce que nous recevons est reversé au Rwanda. Nous nous occupons d’une centaine d’orphelins de Kibuye (nourriture, logements, études, réparation, construction de bâtiments) depuis 13 ans et nous aidons à hauteur de 10 % un

orphelinat à Nyundo qui contient 650 enfants dont des nouveau-nés. La famine sévit au Rwanda et les mères meurent en couches.

Les enfants vous connaissent-ils ? Nous nous sommes rendus deux fois sur place en 2001 et 2004. Nous sommes très attachés à ces enfants qui nous connaissent et qui comptent sur nous pour les aider à s’en sortir. Nous les suivons dans leurs joies, leurs drames. Certains envoient des lettres magnifiques aux familles, ils sont conscients de la chance qu’ils ont après avoir connu l’horreur. Ils restent traumatisés, blessés par des coups de machette. Mais ils ont la volonté de s’en sortir, de poursuivre des études et pratiquer un métier. Certains veulent s’occuper de recherche en agronomie, devenir vétérinaires, comptables. Une belle leçon de vie et de courage.

Où en sont les comptes de l’association ? Jusqu’à présent, je n’avais pas de problème d’argent. Mais les enfants grandissent et nous en avons 13 qui passent le bac cette année et vont suivre une formation professionnelle ou universitaire. Après le bac, il faut tout prendre en charge ce qui représente des sommes

Présidente de l’association, femme au grand cœur, Claude Dubuc se démène pour trouver des fonds destinés à aider les orphelins rescapés du Rwanda.

importantes. Il manque 6 000 euros pour pouvoir subvenir à leurs besoins, c’est catastrophique. Nous recherchons 50 nouvelles familles Par ailleurs, nous avons un autre souci. L’orphelinat de Nyundo que nous aidons recevait 80 % de nourriture donnée par une ONG américaine. Depuis quelques années, cette ONG réduit ses dons. Les céréales sont gardées pour réaliser de l’éthanol. En 2008, ils ne fourniront plus que 40 % de l’alimentation en céréales et l’année prochaine, sans doute plus rien. Il va falloir sacrifier la culture (les abonnements aux revues) pour la nourriture, c’est tragique. Propos recueillis par Chloé Chamouton

Orphelins rescapés du Rwanda Claude Dubuc. Tél. 03 84 70 94 02 Possibilité d’aider financièrement des orphelins en versant par chèque à l’association ou par virement bancaire à Orphelins Rescapés du Rwanda 2 allée du Pont Roman, Dole.

Histoire d’un rescapé Etre rescapé et réussir son intégration sociale et professionnelle à Dole, tel a été le pari de JeanPierre, victime du génocide à l’âge de 12 ans qui après avoir parcouru des kilomètres a envoyé un mail à l’association par hasard. “Lorsque j’ai vu ce mail, j’ai tout fait pour aider ce garçon, le faire venir en France et lui trouver une famille d’accueil” se souvient Claude Dubuc. Puis Claude et son époux, à la retraite décident de prendre en main Jean-Pierre . “Mon mari lui donnait 2 h de maths par jour et moi, 2 h de français”. Depuis, JeanPierre a obtenu un brevet d’électrotechnique et travaille sur des chantiers au sein d’une entreprise qui lui fait confiance. Une intégration réussie. Ch. C


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LES JUDOKAS ENVAHISSENT LE TATAMI DOLOIS

coup de 2007 Jura Dolois était parti pour réaliser une grande saison 2007-2008 et puis dès les premiers matchs de préparation les deux pièces maîtresses de l‘équipe, Guillaume Robardet et Wilfrid Nema se retrouvaient sur le flanc. L’objectif de jouer dans le top cinq était vite annihilé et Jura Dolois Basket allait connaître une première partie catastrophique avec seulement deux victoires au compteur, face à Belfort et Joeuf le dernier match de l’année. Voici l’équipe condamnée à refaire le coup de 2007 (un sansfaute lors des matchs retours 8 victoires sur 11 maths à jouer) pour espérer se maintenir en Nationale 3.

Jean-Louis Cuisant, quel est le bilan de cette première partie de saison ? Nous en sommes là avant dernier au général car nous n’avons pas eu de chance avec les blessés, bien avant la reprise du championnat. Malgré cette absence des deux joueurs clés, Wil et Guillaume, nous avons quand même réussi une première phase car nous perdons des matchs après prolongation ou de deux ou trois points.

Comment allez jouer les matchs retours ? Pour nous c’est clair, si nous voulons rester en Nationale 3, il faut refaire le coup de 2007, c'est-à-dire réussir pratiquement un sans-faute (8 victoires sur 11 matchs à jouer)

pour espérer sans sortir. Cela est possible car nous l’avons fait lors des matchs retours la saison dernière. Il faudra tout de suite se mettre dans le bain en gagnant les trois premières rencontres.

Maintenant quels moyens avez-vous pour réaliser ce challenge ? Laisser derrière nous Rixheim et Belfort cela ne devrait pas poser de problème, mais il va falloir laisser également une autre formation comme Da Dolle par exemple cela ne sera pas facile si cette équipe gagne également ses matchs. Mais nous avons le retour de Guillaume Robardet qui revient. On attend de lui qu’il fasse ce qu’il sait faire. Puis Stéphane (Cuisant) devrait revenir très vite également et Wilfried (Nema) fera sans doute sa rentrée lors de la dernière rencontre lorsque tout sera bouclé.

Et l’équipe féminine qui jouait la coupe de France ? Pour elles ce sera la fête car elles reçoivent une grosse cylindrée l’ASVEL dans notre salle. Elles se sont bien défendues car elles gagnent le premier quart-temps et elles sont encore en tête à la mi-temps, bravo à toutes les filles qui ont participé à l’aventure car cela n’était pas évident de jouer face à une équipe qui évoluait en nationale 2. Jura Dolois F-Asvel 52-76

L’équipe féminine du Jura Dolois Basket.

Le judo club dolois organisait avec la commission sportive du comité du Jura les championnats départementaux cadets garçons et filles au Cossec des Mesnils Pasteur. Cette compétition a permis à certains judokas du Judo Club Dolois et Judo Club du Val d’Amour de décrocher une qualification pour

SPORTS

les championnats régionaux organisés au dojo bisontin en février 2008.

Dakar, le beau rêve envolé !

Pour moi lors de mes trois autres Dakar (arrivé une seule fois à Dakar en 2004) je n’ai jamais eu d’inquiétude dans les différents pays traversés. On était toujours sécurisé dans toutes nos étapes.

Quelles seront les conséquences pour vous de cette annulation ? Pour moi, c’était le fait de refaire une nouvelle aventure après avoir échoué l’année dernière sur un incident mécanique après seulement deux jours de course. Je m’étais promis de ne pas rentrer plus vite qu’en 2007, et bien j’étais chez moi avant le départ réel du DAKAR 2008. En ce moment, j’y pense beaucoup, on devrait être en pleine spéciale au Maroc. En ce qui concerne mes partenaires, il n’y aura pas de problèmes car j’ai d’autres projets dans la Grégory Ramel était fin prêt pour participer à la tête comme un enduro mixé 30e édition du DAKAR 2008, mais voilà que vendredi avec de la course à pied dès le 4 janvier, l’organisation annulait purement et simple- printemps. ment l’épreuve pour menaces directes lancées D’après vous, y aura-t-il contre la course par des mouvances terroristes.

Comment avez-vous appris la décision l’annulation du rallye Lisbonne Dakar ?

J’étais très déçu car j’avais très bien préparé ce rallye raid.

Nous étions tous convoqués à 13 h pour écouter le communiqué d’ASO. Moi j’étais surpris de cette décision, je ne m’y attendais pas du tout.

Pensez-vous qu’il y avait un réel danger ? Je ne sais pas, si la direction du rallye a annulé, elle pensait qu’il y en avait une.

Football

1. PTT Besançon - 2. Dannemarie - 3. Arbois (B) - 4. Velotte - 5. Montfaucon - 6. Frasne - 7. Coteaux de Seille - 8. Montmorot - 9. PS Dole Crissey - 10. Poligny - 11. Jura Dolois (C) - 12. Sirod

08/12 Jura Dolois-Corte 0-1 15/12 Echirolles-Jura Dolois 2-0

Classement au 22/12/07 1. Marseille - 2. Lyon - 3. Corte - 4. Villefranche - 5. Echirolles - 6. Gueugnon - 7. Chalon - 8. Dijon - 9. Saint Georges 10. Thiers - 11. Vénissieux - 12. Bourg 13. Clermont Ferrand 14. Jura Dolois - 15. Beaune 16. Pontarlier

Division Honneur Régionale 09/12 Choisey-Champagnole 2-3

1. Belfort (B) - 2. Champagnole - 3. 4 Rivière - 4. PS Besançon - 5. Baumes les Dames - 6. Jura Dolois Football (B) - 7. Saint Vit - 8. Plateau - 9. Choisey - 10. Valdoie - 11. Vesoul - 12. Montbéliard

Promotion Honneur 08/12 Jura Nord-Arc les Gray 0-0

Classement au 19/12/07 1. Jura Lacs - 2. Lons (B) - 3. Jura Nord 4. Morbier - 5. Rioz - 6. Arc - 7. Noidans (B) - 8. Orchamps Vennes - 9. Planoise 10 . Chatillon/Devecey - 11. Aiglepierre 12. Colombe/Vesoul

Le vélo club dolois a innové le 8 décembre 2007 en organisant sur l’esplanade des terrains de Crissey son premier cyclo cross. Cette manifestation a réuni tous les meilleurs spécialistes de la région dont Jérôme Chevallier le champion régional et Laurent Colombatto. Le Vélo Club Dolois y a également participé et a vu la victoire du jeune Quentin Burillard dans la catégorie junior. ✟✟NATATION INTERCLUBS À LONS

LES DOLOISES MÉDAILLES D’ARGENT

Dimanche 23 décembre dans le magnifique bassin du CAB lédonien, les Doloises ont réussi une belle performance en se hissant sur la deuxième marche des championnats interclubs 2007. Pour les garçons, le pari de Gaëtan Léo de terminer dans le top a été tout près de se réaliser, ils prennent une excellente 7e place, mais il faudra attendre une voire deux années supplémentaires pour retrouver à nouveau les nageurs du CNDR au plus haut niveau de Franche-Comté.

Il faudra le demander aux organisateurs d’ASO. Mais on devrait être fixé dès la fin février sur la grande organisation de janvier 2009 car il y en aura une, je ne sais pas si cela sera du côté de Dakar ou dans un autre pays…”

Suivez vos équipes ! CFA2

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un nouveau DAKAR 2009 ?

Promotion de Ligue

Classement au 19/12/07

✟✟CYCLO CROSS 1ER CYCLO CROSS DE VC DOLE

09/12 PTT Besançon-PS dole Crissey 6-2 16/12 Jura Dolois-Football (C)Dannemarie 0-3 (réserve)

Classement au 19/12/07

1ère Division de District 16/12 Serre Vèze-Foucherans 2-0

Classement au 19/12/07 1. Serre Vèz - 2. Jura Lacs (B) - 3. Sud Revermont - 4. Mont sous Vaudrey - 5. Bois d’Amont - 6. Champagnole (B -, 7. Vaux st Claude - 8. Saint Claude/Val - 9. Foucherans - 10. La Joux - 11. Saint Aubin - 12. Lons (C)

2e division de District

Poule B

16/12 Montbarrey-PS Dole Crissey 3-0 (forfait de PS Dole Crissey) , Jura Nord Foot (B)-Damparis 4-0, MouchardChaussin 0-4, Petit Noir-Archelange 1-2, Grimont-Chapelle Volant 3-2

Classement au 19/12/07

sous Vaudrey B) - 7. Aiglepierre (B) - 8. Souvans - 9. Serre Vèze (B - 10. Finoise 11.Arbois (C) - 12. Chaussin

Basket Nationale 3 poule J 8/12 Jura Dolois-Joeuf 80-71

Classement au 8/12/07

1.Jura Nord (C - 2. Choisey (B) - 3. Grimont - 4. Chaussin - 5. Chapelle Volant - 6. Archelange - 7. Damparis - 8. Salins 9. Petit Noir - 10. Mouchard - 11. Montbarrey - 12. PS Dole Crissey (B

Rugby

3 division de District

Fédérale 3 poule Nord Est

e

Poule C

16/12 Abergement-Aiglepierre (B) 3-1

Classement au 19/12/07 1. Trois Monts - 2. Molay - 3. Moissey - 4. Luso Doloise - 5. Abergement - 6. Mont

1. Kaysersberg - 2. CSL Dijon - 3. Lons 4. Poligny - 11. Jura Dolois

9/12 Dole-Pontarlier 10-14 16/12 Genlis-Dole 19-5

Classement au 16/12/07 1. Beaune - 2. Pontarlier - 3. Nuit saint Georges - 4. Dole

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LE CHIFFRE

80 c’est le nombre

1 500 CROSMENS AU PASQUIER Les professeurs d’éducation sportive du bassin dolois organisaient sur les terrains du Pasquier les championnats d’académie de cross country. Qualificatif pour les championnats de France à Saint-Priest le 20 janvier prochain. Deux jeunes filles, la benjamine Emma Grandgirard (collège de l’Arc) et Aline Gauthier (lycée Nodier) sont montées sur la plus haute marche du podium.

de cyclocross-mens qui ont participé au cyclo cross dans la cité Pasteur le 8 décembre dernier

■ AVIRON

Maxime Goisset Sportif de l’année 2007 du Pays Dolois

Maxime Goisset est devenu en 2007 champion du monde moins de 23 ans en deux de couple à Strathclyde (GrandeBretagne) en juillet 2007 associé à Fabien Dufour (Le Creusot) et vice-champion du monde toutes catégories en septembre dernier à Munich avec Fabien Dufour, Pierre Etienne Pollez et Rémi Di Girolamo. Un deux de couple ira à Pékin en août prochain, Maxime fait tout son possible pour être dans le bateau français.

Maxime Goisset a été élu sportif de l’année par la rédaction du Pays dolois pour l’année 2007, en 2008 il sera en lice pour essayer de décrocher l’une des deux place pour les J.O de Pékin un peu de musculation et de Pensez-vous aux Jeux Comment s’est déroulée cette saison 2007 ? l’ergomètre. En décembre, Olympique de Pékin ? Pour moi, cette année a été j’ai réalisé le meilleur chrono Bien sur. Pour me qualifier excellente car j’ai décroché national (poids léger) sur il faudra que je sois à 200 % un titre de champion du ergomètre. et surtout réaliser un bon monde –de 23 ans et une Comment se prépare début de saison surtout aux médaille d’argent aux cham- une saison olympique ? premières têtes de rivière et pionnats du monde seniors , Nous effectuons beaucoup de être au top aux championun seul bémol, c’est ma cin- stage. En ce moment, nous nats de France en avril. Lors quième place aux champion- sommes à Font Romeu dans de cette compétition qui se nats de France. la station de ski des Pyrénées déroule en individuel il fauavec l’équipe de France ou dra que je termine dans les Que fait-on à l’entraînement pour nous pratiquons une multi- trois premiers. Mais cela ne arriver à ce niveau ? tude de sports, natation, sera pas encore suffisant car Tout d’abord, il faut s’entraî- musculation, vélo, volley, les entraîneurs constitueront ner tous les jours, moi je suis ergomètre etc. nous en deux bateaux de double et 11 à 12 fois sur l’eau par aurons encore un en février nous serons en compétition semaine, j’effectue plus de puis en avril avant les cham- lors des manches de la coupe 580 km par mois sur le pionnats de France. Le reste du monde. bateau. Mais cela n’est pas du temps je suis sur mon suffisant puisqu’il faut faire bateau et je rame.

■ EVANS / SAINT VIT / ASSOCIATION SPORTIVE

Form’Ever, à fond la forme… Créée en avril 2007 par une équipe de cinq amis, passionnés de sport, l’association Form’Ever, basée à Saint-Vit propose fitness et musculation pour permettre à chacun de pratiquer du sport à son rythme, de façon personnalisée. La passion du sport comme moteur A l’origine de cette association à caractère sportif, “une bande de copains, tous passionnés de sport”, raconte Magalie Cuinet, originaire d’Evans, professeur d’éducation physique à Besançon, secrétaire de l’association, créée en avril 2007. Le concept de cette association, orchestrée par les compères de Magalie, Cyril Blaise, Charlotte Lamotte et Alaxandre Tournier, salarié, diplômé d’état ? Proposer un espace de remise en forme aux Saint-Vitois, avec comme

piliers de la santé musculation pour les hommes et fitness pour les dames. “Notre objectif est d’aider les participants à prendre soin de leur santé, à améliorer et développer les capacités physiques” précise Magalie. Gym douce, stretching, musculation, coaching, autant d’activités sportives proposées par l’association en cours collectifs ou en séances individualisées, pour tout public dès l’âge de 16 ans. Pour l’instant, une soixantaine d’adhérents fournissent des efforts pour entretenir leur capital santé, sur des “instruments de

■ UN BILLARD AMÉRICAIN AU BCD

UN BILLARD AMÉRICAIN DE COMPÉTITION À LA VISITATION Depuis la mi-décembre, Denis Bongain et son comité sont heureux d’avoir reçu leur nouveau “bébé”, un billard américain de compétition. Cette nouveauté va permettre aux amateurs de billard américain de venir le découvrir à la Visitation. “Pour nous, c’est une bonne chose” soulignait le président du BCD, “cela va redonner de l’impulsion à notre club qui était à la recherche d’un second souffle”. m a t é r i e l p o u r CHAUFFAGE / SANITAIRE

torture” plaisante Magalie. “Nous avons commencé le fitness le 5 novembre et la musculation le 3 décembre”.

Cap sur la forme 15 machines professionnelles d’occasion, mais de qualité composent le parc musculation dans une salle de 160 m2, les locaux ont été réaménagés et sont prêtés par la mairie. Le tout dans un cadre propice au sport, avec vue sur l’eau. Quant au nom, il reflète bien l’état d’esprit des cinq acteurs de cette association. “Le nom est le fruit d’un délire avec mon frère lors d’un repas de famille. Il est inspiré du film Podium, avec le titre Magnolias For Ever. De for Ever à Form’Ever, il n’y a eu qu’un pas…” conclut en souriant Magalie Cuinet. Du lundi au vendredi de 10 h à 20 h 50, le samedi de 9 h 30 à 11 h 35. http://www.form-ever.fr

Janvier 2008

PAOH ! Editions Siège social : 8, rue Mont-Roland - Dole Adresse Pays Dolois Zone des Epenottes BP 212 - 39102 Dole Tél. 03 84 82 50 21 Fax : 03 84 72 37 81 n°ISSN : 1778-820X Régie publicitaire : Tél. 03 84 82 50 21 Mise en page et photogravure PAOH ! Studio graphique Dole Tél. 03 84 82 50 21 Rédaction Chloé Chamouton Imprimé en France à 33 000 exemplaires

65, rue Louis de la Verne - Dole -Tél. 03 84 72 65 37

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A L’HONNEUR ■ DOLE-STUDIO MJC / MUSIQUE / JAZZ / INTERVIEW JACKY TERRASSON

■ DOLE / MUSIQUE

“Mon plus grand bonheur, c’est de surprendre”

Les Folies de Charlie débarquent en CD

Un père français, une mère américaine. Cette double nationalité a permis au pianiste sans frontières Jacky Terrasson, installé à New-York depuis 17 ans d’acquérir une richesse musicale déclinée en une large palette d’univers. Une palette qui se reflète dans son premier album solo “Mirror” sorti le 26 mars 2007 après un long processus de réflexion. Entretien avec ce jazzman, homme au miroir et Narcisse au piano qui partagera son univers avec le public le 26 janvier au studio MJC.

Une première pour l’animateur du Cocorigol’show en collaboration avec Anthony Perrin sur Fréquence plus qui sort un CD, compilation d’une sélection de 25 canulars téléphoniques.

A quel âge avez-vous commencé à jouer du piano ?

Que vous a apporté le fait d’avoir la double nationalité ?

Très jeune, à l’âge de 5 ans. J’ai pratiqué 15 ans de classique. J’adore le classique que je travaille toujours à la maison, mais mon parcours est jalonné de nombreuses et multiples rencontres avec des duos qui m’ont permis de m’enrichir musicalement et de m’ouvrir à d’autres univers.

Une richesse musicale. Je suis un peu comme un peintre qui possède une palette et qui peut jouer à l’infini avec toutes ses couleurs. Plus on a de couleurs, plus on les mélange et plus on a de possibilités. C’est la même chose avec ma double culture musicale.

Comment concevez-vous la musique ?

Votre dernier album “Mirror” est un album solo. Cela correspondait-il à une envie d’enregistrer un disque tout seul ?

Ce qui m’importe le plus, c’est d’être toujours sur le vif, de m’éclater avec les autres musiciens. Mon plus grand bonheur, c’est de surprendre.

Quel est votre style, votre univers musical ? J’essaie de garder les oreilles grandes ouvertes et de puiser mon énergie musicale dans des univers variés, de Bob Marley en passant par James Brown et les Fugees. Plus les années passent et moins j’ai l’impression de jouer du jazz. Je me situe dans le créneau des musiques improvisées.

Ça faisait 5 ans que j’en parlais, mais je n’arrêtais pas de retarder l’échéance. Le piano solo reste une discipline un peu à part, narcissique. L’enregistrement piano solo est un exercice très difficile. Lorsque je suis sur scène, je ne me pose pas de question, je fonce tête baissée pendant 1 h 30-2 h En studio, j’ai repris les morceaux au moins 20 fois parce que je n’aimais pas les

premières notes. Lorsqu’on enregistre seul, il faut jouer pour son nombril. C’est un sentiment très étrange de ne jouer pour personne. Sur scène, je n’attends pas de réponse par ticulière du public, mais je m’éclate car je donne quelque chose, je transmets ma musique au public. La scène implique une cer taine générosité musicale. Mais je suis content d’avoir réalisé cette expérience studio et plutôt satisfait du résultat.

Le titre de votre album “Mirror” reflète donc ce sentiment narcissique éprouvé en studio ? Exactement. Avec le piano solo, on est nu devant un miroir, on est tout seul. Ce titre est un clin d’œil à l’expression extraite de BlancheNeige “Miroir, mon beau miroir… dis-moi qui est… le plus fort, le meilleur ?” En studio, on doute beaucoup, on est toujours en train de se questionner et de se remettre en cause.

© Kaysh Shinn

Quelle est la tonalité musicale de cet album ? J’ai joué ce que j’aimais, en revisitant des standards (Caravan ou Just a Gigolo) mais aussi en proposant des compositions originales. J’aime bien revisiter les standards, j’aime improviser sur la structure pour démantibuler un titre avant de le reconstruire. Lorsque je joue, je cherche des coins et des angles dif férents pour le phrasé.

Etes-vous tenté par un autre album solo ? Pas tout de suite en tout cas. Je travaille sur un prochain disque qui fera intervenir quatre ou cinq musiciens, quelque chose de novateur, que je n’ai encore jamais fait. Un album très personnel, qui ne contiendra que des compositions originales. Propos recueillis par Chloé Chamouton

Jacky Terrasson. Samedi 26 janvier 20 h 30 au studio MJC. Tél. 03 84 82 00 35 mjc.dole@wanadoo.fr

Jacky Terrasson, un parcours sans fausse note… L’artiste en son Mirror Né en 1965 à Berlin de père français et de mère américaine, découvert en France aux côtés de Barney Wilen à la fin des années 80, le pianiste voit sa notoriété s’accroître lorsqu’il intègre la scène américaine en s’installant à New York en 1990. En 1993, il remporte la compétition de piano Thelonious Monk, il gagne les Victoires du jazz 2003 pour son album Smile. En 2007, il sort son premier album solo, “Mirror”, album espiègle et trépidant. La biographie se dessine à travers les compositions, une fraîcheur et une tendresse romantique dans “Juvenile”, un portrait diffracté dans “Mirror”, qui reflète le stress et l’excitation de l’enregistrement d’un disque solo, une hésitation des origines, une quête identitaire dans Tragic Mulatto Blues.

25

, un chiffre clé. “Cette compilation, c’est une manière de célébrer mes 25 ans de carrière en tant qu’animateur. Depuis 10 ans, je pratique des canulars téléphoniques, l’une de mes spécialités, plutôt version Francis Blanche que Jean-Yves Lafesse et j’en ai collecté un bon stock. Les auditeurs me réclamaient ce CD depuis longtemps” précise le joyeux drille de la radio, qui a plus d’une corde à son arc et a sévi sur de nombreuses radios, radio 2000, Radio K6, France Bleu Bourgogne et sur Sudradio avec le Charlishow. Autre particularité de ce CD, “la prise en charge totale par une maison de disque de Bayonne, qui a bien voulu jouer le jeu” précise Charlie, qui à côté de

Le bulldozer, l’ULM, la navette, famille lapin, la pouliche comtoise, chat au congélateur, le canular téléphonique n’a plus de secret pour Charlie.

Fréquence plus, œuvre sur France 3 Bourgogne FrancheComté en tant que “Jérôme Bonaldi des objets” (comprenez, chroniqueur dans une émission), et sera l’animateur de la Percée 2008 à VincellesSaint-Agnès les 2 et 3 février 2008, “une première là encore”. 2008, l’année de toutes les premières pour Charlie. Ch.C.

CD à 13 euros distribué à partir du 15 janvier dans tous les magasins du Jura et de Bourgogne. Possibilité de l’acheter par courrier à 17 euros auprès de Fréquence Plus. (26 avenue du Maréchal Juin, 39100 Dole)

■ CHENE-BERNARD / CALENDRIER LUNAIRE / EDITION

■ DOLE / COIFFURE / PORTRAIT

La lune et ses humeurs…

L’art de sculpter des dessins sur les têtes

Sous la houlette de Michel Gros, maraîcher bio et Noël Vermot-Desroches, le calendrier lunaire fête ses 30 ans en 2008. Un ouvrage attrayant, qui se donne comme ambition de familiariser les lecteurs aux mouvements de la lune et de proposer une utilisation concrète des influences dans les activités quotidiennes.

D’où vient cette idée de réaliser un calendrier lunaire ? A l’origine de cette initiative, figure le professeur PierreHenri Meunier. Investi dans diverses associations et passionné par le jardinage, il a eu l’idée de mettre en place la base du calendrier lunaire et d’adapter la forme des courbes à la lune montante et descendante. Pour ma part, j’ai participé à l’élaboration de ce calendrier en 1980, au sein de l’association de consommateurs mise en place sur Dole par Pierre-Henri Meunier. En 30 ans, le calendrier a connu une belle évolution. Du bulletin manuscrit, réunissant des informations succinctes, nous sommes passés à un ouvrage plus élaboré, plus esthétique, pratique et accessible à tout public intéressé par les influences cosmiques. D’ailleurs, j’étais maraîcher bio. Une activité que j’ai cessée récemment, pour me consacrer à temps plein à l’élaboration du calendrier lunaire. Nous avons d’ailleurs fondé Pays Dolois - Janvier 2008 - 20

liser les personnes à l’écoute du rythme des saisons, leur faire prendre conscience de ces interactions, et les aider à être davantage en harmonie avec la nature.

Comment procédez-vous pour élaborer un calendrier ?

Michel Gros et Noël Vermot-Desroches œuvrent à l’élaboration du calendrier lunaire.

l’association SARL en 1993 pour gérer ce calendrier.

Quels sont les objectifs de cet ouvrage ? L’objectif premier était le jardinage, mais au fur et à mesure des années, des remarques et des observations, le calendrier s’est ouvert à plein d’autres éléments. L’ouvrage est décomposé en trois parties majeures, trame de chaque calendrier. Une partie pédagogique pour comprendre la lune, ses phases, une partie pratique intitulée “travailler avec la lune”, qui vise à donner des indications sur les jours fastes ou néfastes, pro-

pices au jardinage, au compost, à l’horticulture, à la sylviculture… et enfin une troisième partie “vivre avec la lune” qui met en avant les influences cosmiques sur la récolte des plantes médicinales pour la confection de tisanes, la coupe de cheveux, l’épilation, les soins de la peau, l’alimentation, des choses qui restent par fois inconnues du grand public. L’ambition primordiale du calendrier lunaire consiste à transmettre des méthodes simples et écologiques pour prendre soin de notre santé, de notre jardin et de notre Terre. Nous espérons sensibi-

Nous nous situons dans une démarche scientifique, à partir d’expériences et d’observations, et de tests sur le terrain. Nous avons utilisé les connaissances ancestrales et nous nous les sommes réappropriées par des observations propres. Il a fallu trente ans pour l’élaborer. Entre les calculs à réaliser pour connaître les bons et mauvais jours, et créer les tableaux ainsi que les courbes, les observations, les photos, l’élaboration d’un calendrier nécessite plusieurs mois de travail. Nous travaillons déjà sur le prochain pour 2009. Propos recueillis par Chloé Chamouton

Calendrier lunaire diffusion 6 rue des Prés Verts 39120 Chêne-Bernard Tél. 03 84 81 42 12. 7,40 euros

Deux coupes, c’est le trophée remporté dimanche 18 novembre à Lyon par Amélie Letondor, jeune artiste de tribal sculpting de 23 ans, coiffeuse au salon Marilyne rue des Arènes récompensée du premier prix de tribal sculpting et de la plus jolie couleur. La tête comme terrain de jeux de tribal sculpting “Génial”, Amélie Letondor, jeune coiffeuse de 23 ans, originaire d’Oussières n’a qu’un mot à la bouche pour qualifier cette expérience vécue dimanche 18 novembre à L yon, à l’occasion d’un concours national de coiffure, le Beauté Sélection. Motivée et soutenue par toute l’équipe du salon de coiffure Maryline, Amélie a relevé ce challenge avec succès puisqu’elle a remporté deux trophées, le premier prix de tribal sculpting et celui de la plus belle couleur. Une récompense qui fait la fierté de la jeune artiste, experte en sculptures de logos tribaux sur tête, et du salon. “C’est une épreuve qui me tenait à cœur. Lorsque je suis arrivée au salon de coiffure, Marilyne m’a formée et coachée et puis au fur et à mesure, j’ai appris sur le terrain, autrement dit sur les têtes des cobayes qui vien-

nent expérimenter le tribal sculpting” plaisante la jeune femme. Plus qu’une coupe de cheveux, cette technique est un art et fait travailler la créativité. “J’adore créer des dessins avec les cheveux. Ces coiffures sont mixtes même si j’ai l’habitude de coiffer des hommes ici au salon. Le tribal sculpting va de paire avec la génération tecktonique”.

Une épreuve de créativité esthétique Tout le talent d’Amélie tient dans la manière d’imaginer les formes. “L’inspiration vient de la forme du crâne, des désirs des clients qui parfois m’apportent des modèles, mais le plus souvent, ils me font confiance et je sculpte au feeling avec pour seuls outils une tondeuse et un rasoir” précise Amélie. Un entraînement quotidien qui lui a valu une reconnaissance à L yon pour une épreuve de 50 minutes au

Amélie Letondor en présence de son modèle “sculpté” arbore avec fierté sa coupe.

cours de laquelle, Amélie en compagnie de son modèle a déployé tout son savoir-faire pour se démarquer des 17 autres concurrentes et convaincre le jury d’envergure nationale. “Il s’agissait d’une épreuve décomposée en deux parties : une épreuve de tribal sculpting avec un effet de trois couleurs et une épreuve de full tribal sur tête entière et non colorée” précise la jeune coiffeuse. “J’avais déjà une vague idée des dessins que j’allais créer et j’ai été la seule à sculpter la barbe”. Soulagement, fierté, autant de sensations éprouvées par Amélie qui apporte un nouveau galon au salon de coiffure. Chloé Chamouton


Gilles Blanc

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Jean-Michel Depeyre 25, Grande Rue 03 84 72 00 87 - Dole info@depeyre-assurances.fr

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s e é i f i e l n p g i s m e l a s s u e o S siqu C U LT U R E

u m s de

t GarSergen e d , é ir la tôle insp iers de s, titre r e r e r m u u h t g o les es ry etit t véritab erie. P , naval d d x r n a n e c a o c r u m n da om du B re d sur le e La C bours moutu d e m t e e a ê d f n T n è s o c la s Le e sec s avec ibrer la our fair c cette faire v usique nces p ur ave r m e u ia n o e b n p d m o t il a ta os es à l’h . Trois n cock cussion nky Bo Rythm ersifiés e la per aby Fu festif, u iv d B d u s n n y s o e v le is o m us fa bien l’es Gro x sty cia. Au résume en No tes au hpu et l u la is fi t e . e r c x T e , a n d e o e d ignot bain u Br tes et e ces lien M les fils lus ur es Tambours d e minu p sical d ux, Ju d o u s e R le m in c in . a n ta o cta rie prit d to Sylv omment des spe d’horiz mande © Pho upe a Com raphie, c é ? rière. o aiguille r L g r a o g e c n d é e le c n r t s x u n is et floo Côté Comme bours du Bron il organ officiels t how estoisi s Tam h étique habillés c s le rg t ? e uels son ir e L n o n “ o ” v é s r te Q projets futurs réé ? uoi a iens ance c e q so s s ic r , r s is u té n n ? s u u e to o é e p e P , m e il e n é a s ir ts L è n o m e è fa c v a r c L s , s avec de e fo e s e iv d e t ons urné e t issus ue fest tre le d sur un to e ce nom q n n gisseur pe s’es n o e s ir si é ir u s r r u o is ’u o m e u s , des bid s e r n d m p la n s ie c g a s ie e pa en e M Plu au p ns ré us n avec s du C nitiativ avait Tous les music nom vient courant sous avo public peux vo as, c’est in n N p n . je ’u c s s U u e e , u e o v Entretie es Tambour ns. 1987 à l’i d q . u p a c r a u u i li u e n u b h eu rc gro ea o l d et le pu p o t e s q r u n e du Br onx. L au zénit o- ter un mo Au niv ennesffer t. s. Au des bid e généra groupe de Var s électr j’ai sou hacun. ’ailleur nde de se ent joué ds. En prévid c d r a e li n maîtres m d e b u a s , s fo ti q s é e r le r e g r s is a ja , h â e r le x u o rp ts, le d’un q e ad une assur Bron mailloc but de de tous sont su Young G el album ommun s la trumen nt joués par ng sur ons, des mbours du pour uctue au ition. bi- les les gens fl s m ouv appeni elles, c o e n t, a n e z h r s s Des bid a r a p e u u a T d u e s o n a tr p e o d o p é u c V s r d VD ave niqu Le g mpos evers ssion ie, le sion ctro. N o ritable sor te u J N le c é c ” é r v x r D e ppor t D n la à ie té p e o c ô s e r n é l’énerg c e avon ar ce eau d lités faut-il qu’un su Etant cente te d e appr é le “B p or- thème de la frent u s iv r p ir si f . m n u o s s o fa s r in o t m e e a n x o à v e n n e c Et age sur qua Br o siste à N ysiqu te. le publi quadril s métal Quelles rer la tribu ? chines. s dont Nièvre tion con ance ph festival s, des sans dou février à ue. Et de son e stand e ma iq g d e moyen d s per form sur des geste ne un n d té s u o ts e m r is u in m c n a e e 8 a è . e r u r h p T i e p n 0. e s U pou en x es atio notr sée gnem Vendred anderie. 20 h 3 déclenc donné le ient, ils ont sein de tive, ba s lumièr es. t ses ali ette invit u- deu és u à c e o a r c m s à a e c s e m p e a d e ut. u e é o s d s r r r o n p C e tr o s b u o a in d de La es, rép un nt p L’en tout de des all destin ils disp es bidons. Des sons, identiqu înez sur it souve s. C’est s a s uration n h e n i prend fa g n .com e o c o u fi o x în s e n s é h q n s d n a is e c o s d u s e tr a ro r à e il C r u s n b e c s m bou vou n de rech d’autr uel, s musiq oursdu s ie s et fa s u i b . ue et e une recour r b o u e v e m q r o V m a h ti b .t c o N ia s a C m w s it t . in ap pa trè ww se leur so s pendan rainage bidons ? de rite ences ont la c s? tacle uments r oupe rs dan qui aur re des s de vie ont-il d’énergie ce qui les influ x ? r. Le g ectateu r un voyage tr s t e tu p e e n r n n s h e d é o e le c g p s v e u s s a u s it a e c p in le e n d ou m ré déb n v te, graphie cette e vingta om- Quell mbours du Bro ines. à lectro p t à te un bido er ts. Disco re tren nt cité de vivre n u e l, o e r a is h m r ti e fo c é transe é ontrées lointa ni- compose d’un a n g e n T e la é c a s n un à on se t e des eng En g s c eu ence qui on deux c nt humaine, qui rses. C’est d’afroe un vers de e, une musiqu r à s de t nous 1999 : Sil groupe. aîneme ordante Elles sont dive mbres, mpliqu p e b e i , tr é u e r m n m d d u a g e e g a te g œ g ie g n n in e c g n r e a s h tu t de éner Un la rlent au -il Après il faut c nons auprès 2001 : Live chno. physique e pendan l’aise au nt suivi un métissage arun une s qui pa c réagit i joué de rock te li ative. O t qui se p - m ’a ion e t b J ic e s is u verselle p n n v n o Stress o p e r. u o o u e -h p r id le m u li ent ? régu des b 3 : Stere u gro m us app e s, puis t, de hip 0 répon et com o d a u n 0 m e n o 2 e b o iq s s ti in s C e u ti u t s é o e travers e -v ép au gpré e. e de m coutent ique. quelques r ronx Liv éfiniriez ne vin 12 ans ité inter er une d’une usin à ce typ 2006 : b lent, s’é n tempo r ythm cle d’u i souha mment d s distill a ta o n j’ c C o e e it p u a u q -s h s i r u lor le ? min dent su Nous so votre sty

■ DOLE / LA COMMANDERIE / CARNAVAL DES RYTHMES / INTERVIEW

“Notre musique est un métissage” Avec ces 9 lascars ça funk, ça rock et ça groove. Tout de noir vêtus et lunettes fumées sur le nez, ces lointains cousins funky des Blues Brothers en remettent une sous-couche violente. Des cuivres bien lustrés, une guitare discrète mais très efficace lorsqu’il s’agit de flirter avec le rock. Des bourrasques funkrock avec les Groovy Funky Baby Blues.

Comment avez-vous choisi le nom du groupe ? L’idée vient de Paul, notre bassiste qui s’est amusé à imiter Mike Myers, l’acteur principal du film “Austin powers”. Le personnage répétait sans cesse “Groovy baby !” . Avec le mot “funky notre style de musique était cité, et “boost” c’est pour le coté énergique et “hyper-actif” ! Sans oublier quelques moments de rock dans nos compositions. Ainsi, le nom du groupe était représentatif de notre projet musical et aujourd’hui de notre activité “live”.

Quelles sont vos sources d’inspiration pour créer les chansons ? Les directions et sources musicales empruntées par le

musiques actuelles amplifiées. (Jamiroquai, James Brown et les JB’s, des red hot chili peppers, Lenny Kravitz, Primus, Tower of power.)

groupe ne sont pas clairement définies, par volonté. Pas question de se mettre des barrières lorsqu’on parle de création. Notre seul objectif est le groove. Il faut que ça sonne, que ce soit cohérent, crédible et divertissant pour tous les acteurs présents lors d’un concert. Ensuite, nous avons quelques affinités pour la funk, le groove-rock en passant par le disco et parfois l’acid-jazz.

Comment définiriez-vous votre style musical à des gens qui ne vous connaissent pas ?

Quelles sont vos références musicales ?

Nous sommes francs-comtois d’origine et pour certains nés à Dole, donc nous connaissons très bien les lieux. Le groupe connaît les cafés-concert dolois. Ce carnaval des rythmes représente une programmation de qua-

Nos références musicales sont très différentes selon les membres du groupe : du classique au jazz mais notre expérience générale se tourne très largement vers les

* durée légale

*

Notre musique est un métissage entre le “funk” afro- américain des années 70, issu du jazz et de la soul, et du rock “fusion” des années 90, énergique sans être agressif.

Que représente pour vous ce carnaval des rythmes en présence d’artistes comme les Tambours du Bronx ?

lité, éclectique et riche en couleurs musicales. Nous sommes heureux d’y participer et de constater que la ville de Dole investit dans une programmation musicale intéressante à travers La Commanderie et les Caves. La musique a un rôle éducatif à jouer. Les tambours du

Bronx font parti des formations musicales très incisives et convaincantes en terme d’expression artistique.

Côté projets ? Nous travaillons sur la conception d’un nouvel enregistrement. La scène est le moment de vérité. En live, on ne peut pas tricher.

FANFARE SKA TZIGANE FUNK

les Fils de Teuhpu Cap sur le Québec avec les “Fils de Teuhpu” dont la sixième galette “Fidèles Castors” a été enregistrée dans l’ambiance chaleureuse et intimiste des bars québecquois, et témoigne de l’esprit bourlingueur des Fils de Teuhpu. Un groupe créé il y a 10 ans, fruit d’une rencontre de deux groupes à l’occasion d’une partie de chaise musicale. Un nom de scène qui interpelle. “On faisait la manche dans la rue. Une femme avec un vison est venue nous voir et nous a demandé si on voulait jouer pour le mariage de sa fille, en nous demandant notre nom. Là, un membre du groupe a répondu : “Les fils de Teuhpu”. De leur boîte à outils, ces bricoleurs de la musique sortent tout le nécessaire pour fabriquer des machines ingénieuses et atypiques pour un voyage au son de la fanfare ska tzigane funk à La Commanderie pour le Carnaval des rythmes vendredi 8 février.

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C U LT U R E ■ DOLE / SCENES DU JURA / THEATRE / GLENGARRY

Un art du jeu de scène

Fruit du travail de recherches de deux compagnies (Cinématique Théâtre et Deux Pièces Cuisine), Glengarry Glen Ross, pièce réadaptée en version féminine par Christophe Vincent met en scène l’art de la manipulation à travers quatre femmes soumises à la stratégie du pouvoir. Une pièce noire qui démontre les effets pervers d’une société du résultat où l’économie et la finance sont reines. Glengarry, fruit d’une collaboration collective “Il y a deux ans, nous avons monté un collectif, où musiciens, comédiens de toute la France avaient décidé de se retrouver tous les trois mois pendant des week-ends pour effectuer un travail de recherches sur de nouvelles formes théâtrales et musicales” explique Chantal Mairet, créatrice de la compagnie deux Pièces Cuisine. Une sorte de laboratoire pour

expérimenter “la technique de la vibration à partir d’improvisations de toutes sortes” sous la houlette du metteur en scène Christophe Vincent. Un partage d’expériences, une accumulation de nourritures théâtrales et musicales qui a abouti à la genèse “non intentionnelle” d’une maquette. L’alchimie de ce collectif, a donc favorisé l’accouchement d’une œuvre originale, singulière, toute en férocité et en noirceur.

Une pièce de théâtre qui se caractérise par une spécificité technique. Le rapport quadrifrontal avec le public, véritable marque, signature de la pièce donne lieu à une scénographie atypique. “Nous jouons au centre, et le public se situe aux quatre coins. Chaque spectateur aura par conséquent une vision différente et personnelle de ce qui se joue sur scène” poursuit la comédienne. Ce parti pris du metteur en scène colle véritablement à la thématique de la pièce. Une pièce de théâtre certes mais qui reprend les codes du cinéma, Glengarry Ross, étant à l’origine un film du réalisateur David Mamet. Ce rapport quadrifrontal donne l’impression qu’une caméra se trouve placée à quatre endroits différents de la scène donnant lieu à des angles différents pour les spectateurs. Un art de l’adaptation qui va de paire avec celui de la manipulation quotidienne expérimentée dans les séries télé, au niveau de la télé réalité à travers la musique qui est un personnage à part entière. 5 musiciens jouent en live sur scène, et chaque musique est destinée à susciter une réaction

émotionnelle du public. “La partition sonore fait partie de la dramaturgie” explique Chantal Mairet. La manipulation se situe au cœur de cette pièce, critique de l’individualisme et du pouvoir économique financier, véritable big brother de la société.

Une critique de la stratégie financière Un spectacle d’une “actualité féroce” estime Chantal Mairet. “L’histoire met en évidence la dégradation des relations humaines soumises à la pression du pouvoir économique. Quatre agents immobiliers en compétition interprétés par des femmes démarchent à Chicago pour vendre des bungalows sur la côte de Floride, Glengarry Glen Ross. Rentabilité, rapports de force, autant de valeurs qui président à l’atmosphère lourde et tendue de la pièce. Un spectacle très noir mais qui comporte toutefois des échappées.” “Ces personnes sont pathétiques, elles nous émeuvent et nous font rire parfois. Nous avons affaire à des êtres humains dotés d’une forte intensité dramatique” constate Chantal Mairet. Une pièce tout public qui devrait amener les specta-

■ DOLE / EGLISE SAINT-JEAN / GOSPEL

Quatre garçons dans le vent musical Dans le cadre du centenaire de la semaine de prière pour l’unité des Chrétiens l’association Chre-do organise un concert de gospel avec le groupe A4 à l’église Saint-Jean le 19 janvier pour une polyphonie de voix. Entretien avec Emmanuel, le fondateur du groupe.

Comment est née cette envie de faire du chant gospel ? Le groupe s’est créé, il y a douze ans, en octobre 1995. Un des nôtres est parti aux Etats-Unis et il a rencontré le groupe Acappella. Il est revenu avec une cassette du groupe et nous a montré ce qu’il était possible de faire en utilisant la voix dans toutes ses capacités. Nous venions tous d’une chorale de “petits chanteurs”. Au départ nous étions douze pour nous retrouver régulièrement à 4, d’où le nom à 4.

Quelle est selon vous la spécificité du gospel ? Le terme Gospel venant de “God/Spell” signifie la parole de Dieu ou l’Evangile. Le gospel song est un chant religieux dérivé de l’Evangile, interprété dans la tradition afro-américaine dont la première apparition date de 1870. Le gospel trouve son origine dans les chants religieux et dans les mélodies de la musique populaire. Il fait exclusivement référence au Nouveau Testament. Au cours du XXe siècle,

le gospel a donné naissance au Blues, Rythm and Blues et la Soul. Il adoucit les mœurs. Croyants ou noncroyants tous se retrouvent transportés par ces chants.

phrasé, la respiration. Faire sonner des voix en polyphonie est quelque chose de très difficile, qui demande de la concentration, de l’écoute et beaucoup de partage.

Quels sont vos projets ? Nous sommes en train de préparer notre cinquième

BONIN *

S O L D E S

* Période légale et selon étiquetage en magasin

L’art de la manipulation

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Une dramaturgie de la manipulation

“Je joue le personnage d’une femme qui rapporte moins d’argent qu’avant. Elle est prête à être jetée” explique Chantal Mairet qui pour rendre son personnage crédible a beaucoup travaillé “sur la psychanalyse”. La logique financière conduit les hommes à la culpabilisation et à la dépression. C’est éprouvant de jouer cette progression psychologique en conservant à la fois le climat d’angoisse et l’humanité du personnage. Ce que j’ai trouvé difficile, c’est ce paradoxe entre l’apparence féminine des personnages en tailleurs, talons aiguilles et les mots grossiers qu’elles emploient. Le texte est émaillé de mots orduriers. Cette dichotomie entre un parler trivial et cette apparence de féminité est très difficile à interpréter. Un personnage qui demeure un cadeau pour une comédienne. “On passe par toutes les facettes de la sensibilité de l’être humain, par toutes les nuances émotives” conclut Chantal Mairet qui a pris un réel plaisir à se mettre dans la peau d’un tel personnage.

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teurs à réfléchir et à s’interroger sur les codes de la manipulation. Glengarry Glen Ross au théâtre de Dole, le jeudi 17 janvier à 20 h 30. Durée estimée : 1 h 30

album. Il y aura bien sûr des sonorités gospel mais aussi jazz et reggae.

Avez-vous une scénographie particulière ? Oui, nous chantons essentiellement dans les lieux sacrés (église, temples, cathédrales, abbayes…) imprégnés évidement de la présence de Dieu. Réservation Office de tourisme à partir du 2 janvier. Adultes : 10 euros - Etudiant : 5 euros Gratuit jusqu’à 11 ans.

Le gospel nécessite-t-il une discipline vocale particulière ? C’est un travail personnel consistant à prendre des cours de chant voire instrumentaux. Il faut se réunir le plus souvent possible, au moins une fois par semaine pour travailler, la diction, le

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