Mabel Verdi réseaux talents amerique latine 09juin09

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Analyse trois sites web latino-américains adressés aux migrants L’expérience chilienne, mexicaine et colombienne1 Présentation général Par la suite nous présentons la révision et l’analyse des 3 sites web de l’Amérique Latine qui sont consacrés aux migrants. Le point central qui a organisée la révision est autour de la formation des réseaux des talents. Le premier site exposé s’agit du réseau « ChileGlobal », initiative fondée l’année 2005 qui a pour but la formation d’un réseau international des entrepreneurs et des professionnels chiliens remarquables qui habitent à l’étranger qui veulent contribuer et participer du développement de l’économie du pays. Le deuxième site analysé est l’expérience mexicaine du site web « Institute des Mexicains à l’étranger » (IME), que parmi plusieurs initiatives ils promeuvent, à partir de l’année 2005, la formation d’un réseau de talents constitué pour les ressortissants qui ont réussi aux États-Unis. Le troisième site est l’initiative « Redes Colombia », fondée l’année 2007 qui a pour but offrir une plateforme technologique qui favorise l’interaction et la communication entre les colombiens qui habitent dans le pays, à l’extérieur et à tous qui s’intéressent à la Colombie avec la finalité de fortifier le capital social et le développement du pays à travers de la génération des réseaux.

Blog du réseau ChileGlobal www.chileglobal.org « Réseau des talents pour l’innovation”

L’initiative ChileGlobal s’agit de la formation d’un réseau international des entrepreneurs et des professionnels chiliens remarquables qui habitent à l’étranger qui veulent contribuer et participer du développement de l’économie du pays. « Réseau des talents pour l’innovation” est la phrase de présentation qui explique et résume l’objectif de ce programme. Le réseau, fondé l’année 2005, est à charge de la « Fondation Chile 2». Cinq professionnels3 avec une expérience internationale constituent l’équipe de gestion de ce réseau. 1

Cette révision a été faite entre décembre 2008 et janvier 2009. L’information concernant le site colombien « Redes Colombia » a été actualisée le 19 mai 2009. 2

La Fondation Chili est une institution de droit privée, sans buts lucratifs fondée l’année 1976 pour le gouvernement chilien et l’ITT Corporation des États-Unis. Sa mission est introduire des innovations et développer le capital humaine dans les points importants de l’économie chilien à travers de la gestion des technologies et l’alliance avec des réseaux des connaissances au niveau local et global. www.fundacionchile.cl 1


ChileGlobal s’inspire du concept de réseau promu pour la Banque Mondiale à travers de son programme « Diaspora ». Ce programme favorise la participation des émigrés dans le développement de leurs pays d’origine. Ainsi, ils proposent qu’il est possible de mitiger les effets de la fuit de cerveau et de promouvoir la « circulation des cerveaux ». Les diasporas de l’Armenia, Inde, Chine et Israël sont des exemples mentionnés où les migrants ont eu un rôle des investisseurs pionniers dans leurs pays. En ce qui concerne les pays impliqués dans ChileGlobal, les liaisons les plus fortes sont avec des chiliens qui habitent aux Etats-Unis mais commencent à avoir des réseaux avec des ressortissants qui habitent à l’Australie, l’Espagne, le Mexique et l’Argentine. Par rapport aux composants de cette initiative, les stages et les « mentoring » sont les deux programmes mise en œuvre jusqu’à maintenant pour ChileGlobal. Ces programmes envisagent l’entrée des jeunes et des entreprises dans le marché international, à travers les contacts et l’expérience des chiliens à l’étranger. Les stages sont orientés aux étudiants (niveau diplôme, master ou doctorat) qui veulent se spécialiser dans une nouveau procédé ou technologie. Pour cela ils sont proposés des stages (entre 3 mois et 1 an) dans des entreprises étrangers où il y a des contacts chiliens. Le contenu du blog montre que jusqu'à maintenant il existe la possibilité de faire des stages dans une entreprise placé aux Etats-Unis. En ce qui concerne le « mentoring », il s’agit de la mise à disposition du temps, savoirs et contact des membres de ChileGlobal (c'est-à-dire, les chiliens qui ont réussi dehors du pays) pour conseiller aux chiliens à améliorer leurs entreprises avec une regarde vers le marché international. L’installation d’un centre de développement de software au Chili (entreprise Synpasis de Silicon Valley), le mentoring pour des entreprises de biotech, la mise en ouvre d’un consortium pour commercialiser des produits naturels dérivées des plants chiliens pour la pharmacie et les stages pour des étudiants dans l’entreprise Royal Consumer Information Products sont les cas soulignés comme succès dans le blog. Par rapport au contenu du blog, en plus de la présentation de l’initiative, des programmes et de cas de réussi, les informations les plus fréquents concernent la diffusion des réunions du travail, de séminaires, les appels aux stages et concours et les témoignages des étudiants qui ont fait leur stage aux États-Unis. Les documents mise à disposition (15 documents) concernent principalement présentations des congrès et réunions de travail autour des diasporas et réseaux des investissements.

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Les professionnels sont ingénieur civil, ingénieur commerce internationale, économiste, conceptrice graphique et scientiste politique. 2


Par rapport à la forme, le site se structure en 4 parties générales: la page d’accueil (inicio), une présentation de l’initiative (quienes somos?), une présentation des programmes (programas) et la présentation des cas à succès (casos de exito). Par ailleurs, les activités (27 informations), l’actualité (39 informations), le cas de succès (7 informations), le commerce (13 informations), les programmes (8 informations) et autres (14 informations) sont les catégories utilisés pour classifier les informations du blog4. Le blog est rédigé en espagnol sauf la présentation général du programme qui est également disponible en anglais. Les tonalités blanc, jeun et bleu sont les couleurs prédominants. Dans tous les pages du blog il est maintenu deux banner. D’une parte, un banner supérieur avec le logo institutionnel, des images rotatives qui évoquent le Chili (paysages, repas, marché traditionnel, produits nationaux), le 4 parties générales (accueil, présentation, programmes, cas de succès) et le moteur de recherche. Avec une importance plus basse (par rapport à la taille et couleur des polices de caractères) se mise à disposition des links vers les conditions d’utilisation, documents, links d’intérêt, plan du site, contact et la demande d’incorporation aux réseaux. Les informations sollicités pour faire la demande d’incorporation sont les dates personnelles (nom, e-mail), dates de l’activité professionnel (entreprise, charge, domaine de travail) et dates de géo localisation (ville, pays), tous informations obligatoire à remplir.

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Il faut souligner qu’une même information peut être classifiée dans plusieurs catégories, donc les chiffres de quantité d’information n’est pas valable pour mesurer le niveau d’activité de ce blog, mais nos approche à donner une certain magnitude d’ordre. Chiffres actualisés à 6 janvier 2009. 3


Les associations des chiliens à l’étranger, les ambassades du Chili, la Banque Mondiale, la Banque Interaméricaine du développement et certains institutions nationales sont les links d’intérêt soulignés pour ce blog. D’une autre part, il est maintenu un banner latéral à la gauche avec des images qui évoquent le Chili5 et des links externes vers cinq institutions chiliens : quatre institutions liées aux pôles de productivité du pays et une institution à charge des chiliens à l’étranger6. Dans le page d’accueil, se soulignent les derniers entrés dans le blog autant au niveau des informations comme des commentaires. Egalement se présentent les prochaines activités et les informations les plus recommandés.

Conclusions réseau ChileGlobal Après la révision du blog ChileGlobal il semble que leur rôle est la diffusion du réseau plutôt que la mise à disposition des outils de communication pour développer ce réseau. Bien qu’il existe une espace pour commenter les informations publiées, il existe peu des interactions, voire des commentaires des visiteurs. Les commentaires sont majoritairement rédigés pour des étudiants qui s’intéressent à avoir plus d’information sur les stages. Après l’observation manuelle de ce blog pendant un mois (entre 15 décembre 2008 et 13 janvier 2009) nous pouvons annoncer que n’existe pas beaucoup de participation et de changements dans le blog. En autre, le blog n’offre pas des outils pour faire de contact direct avec les membres, donc nous pouvons considérer qui s’agit d’un modèle hiérarchique. En plus, il n’existe pas l’identification de qui sont leurs membres, pourtant il n’est pas possible d’observer la grandeur du réseau. Ce programme se déroule à travers des réunions face à face qui sont organisée pour l’équipe de gestion chilien. Selon l’information disponible ces réunions se déroulent principalement dans les ambassades du Chili à l’étranger. Il est intéressant de souligner que le vocabulaire utilisé par rapport aux acteurs est « chiliens qui habitent à l’étranger », « chiliens résidents à l’extérieur » ou formules semblables, sans jamais les appeler « migrants ». Bien que la demande d’incorporation aux réseaux soit accessible pendant toute la navigation du blog parce que fait parti du banner supérieur, il semble que n’est pas un aspect important du site dans la mesure que la structure et le texte (la taille petite et le couleur gris des polices de caractères) ne favorise pas prendre l’attention du lecteur. Le 16 décembre 2008 s’avait célébré le II rencontre « diaspore et innovation : chiliens de clase mondiale » avec la participation des 7 ressortissants invités issues des États-Unis, 5

Sauf dans la page d’accueil qu’il se montre une seule image (dans le banner supérieur) qui évoque le Chili.

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Les institutions sont Fondation Chili, Corporation Nationale des sciences et technologie (CONICYT), Corporation du développement de la production (CORFO), Programme du développement des exportations chiliens (ProChile) et Direction pour la communauté des chiliens à l’extérieur (DICOEX) 4


Canada et l’Angleterre. Cette information peut nos indiquer que le réseau au début centré aux États-Unis a commencé à se diversifier. Dans le blog se fait la remarque que le but de cet outil est que les usagers peuvent partager expériences, idées et connaissances pour construire un débat dynamique autour des diasporas et réseaux d’investissement. Nous pouvons observer qu’au moment de la révision du site (décembre 2008 et janvier 2009), le blog offre accès à l’information et les expériences, c'està-dire, il est centré sur le référent (contenu) mais il est encore loin d’accomplir le but d’inviter au dialogue et devenir un espace de débat.

Site web de l’Institute des mexicains à l’étranger http://www.ime.gob.mx/

« Bien que tu es loin … nous sommes avec toi »

L’Institute des mexicains à l’étranger (IME) de la Secrétaire des Relations Extérieurs de Mexique est fondée l’année 2003. Leur objectif est « promouvoir des stratégies, intégrer des programmes, collecter des propositions et recommandations issus des communautés, leurs membres et leurs organes consultatives, pour améliorer le niveau de vie des communautés des mexicains à l’étranger, de même que mise en œuvre les directrices qui viennent du Conseil National pour les communautés mexicains à l’étranger ». Le site web de l’IME a commencé l’année 2005. Il s’agit d’un espace pour diffuser des politiques d’approchement des mexicains à l’étranger, idée qui se résume dans le slogan « Bien que tu es loin … nous sommes avec toi ». La structure et l’information du site web s’organise en 12 lignes principales qui sont disponibles à partir de la page d’accueil: 1. Conseil consultatif. Le conseil consultatif de l’IME (CCIME) est un organe de conseil composé pour des leaders mexicains, mexicains-américains, mexicains-canadiens, organisations latines et représentants du gouvernement mexicain. Leur but est recueillir expériences des mexicains à l’étranger autant pour identifier les difficultés comme pour promouvoir stratégies à faveur de ces communautés. En cette partie du site s’informe sur les linéaments, le fonctionnement et les actes des réunions de ce conseil. 2. Programmes éducatifs. Il concerne un conjoint des informations pour diffuser les différents programmes éducatifs qui se déroulent aux États-Unis et au Mexique: bourses pour financer des projets ; courses d’espagnol et culture mexicaine ; études à 5


distance au niveau du lycée et des universités (à charge de l’Université National Autonome du Mexique (UNAM)) ; des orientations pour faires de études supérieures aux États-Unis ; information sur les élèves migrants bi national 7 ; donation des livres en espagnol pour les écoles nord-américains ; offre des programmes d’éducation à distance8 pour les adultes ; crédite bancaires pour faire des études au Mexique et ailleurs et échange entre professeurs mexicains et nord-américains pour partager les méthodes d’enseignement.

3. Programmes de santé. Ce point considère un manuel avec des orientations pour la santé mental9 dans le cadre des migrations ; la diffusion de la semaine de la « santé binationale » organisée entre institutions des deux pays 10; le programme de diffusion de l’accès au service de santé aux Etats-Unis et la nécessité de générer une culture de prévention11. Egalement il est mis à disposition un dictionnaire des concepts de la 7

Ce programme s’agit de diffuser que les élèves migrants bi national ont droit à un document où se reconnaitre sa condition de bi national pour garantir la continuité dans le système éducatif soit au Mexique soit aux ÉtatsUnis. 8

Ce programme se base en la reconnaissance que la majorité des migrants mexicains aux Etats-Unis n’ont pas fait ou fini ses études primaires. La modalité du travail proposé est conformer groupes d’étude en présence et formation à distance pour TV et Internet. 9

Cela est une initiative de la Santé Mexicain-Californie (ISMECAL) en collaboration avec des autres personnes qui ont édité le manuel “ Histoires d’aller et retour et la Santé Mental”. 10

Le but est aider aux communautés des mexicains qui n’ont pas d’accès à la santé dans l’Amérique du nord.

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Cette activité se fait dans les Consulats du Mexique au moment que les mexicains font des démarches administratifs. 6


santé et des maladies en espagnol et en anglais et une table d’équivalence de vaccins entre Mexique et les États-Unis. 4. Journées Informatives. Ces journées qui se déroulent au Mexique ont pour but faire connaitre aux ressortissants aux États-Unis les politiques publics mexicaines qui lui concernent. Les invités à ces journées sont leaders communautaires migrants. 5. Reconnaissance Ohtli. Il s’agit d’une reconnaissance aux personnes qu’ont aidées à que la vie des migrants mexicains actuels ou des générations futures soit plus facile. A ce moment là ils sont déjà donné 264 reconnaissances. 6. Informations. Sous le titre du bulletin « Lazos » (Liaison en français) se présent un résumé informative sous souscription12 ou pour lire d’après le site : informations mexicaines, des États-Unis et de Canada. Egalement il est à disposition un résumé chronologique des événements qui concernent aux migrants et des registres des messages radiophoniques. 7. Logement. Il s’agit des informations concernant au programme « Ma maison au Mexique » et des sites web liés à cette initiative qui a pour but promouvoir l’achat d’une maison au Mexique en payant le crédit bancaire à partir de la localisation actuel. Le programme de logement est adressé aux ressortissants qui habitent aux États-Unis et au Canada. 8. Organisation communautaire. Dans cette partie se présentent deux initiatives communautaires des migrants pour contribuer au pays. Le « Club de oriundos » (le club « d’originaires de… » en français) s’agit de l’organisation des ressortissants d’une même localité d’origine pour promouvoir des infrastructures locales dans leurs communautés d’origine. A cette initiative s’ajoute le « Programme 3x1 » qui mobilise la fédération, l’état et le municipe pour soutenir ce type des clubs. L’autre programme s’appelle « Fait des investissements au Mexique 13» lequel promeut la création des projets productifs dans le pays financés pour les migrants. 9. Education financière. Cet espace diffuse des organisations sans but lucratif et des institutions financières qui donnent des conseils concernant l’administration de l’argent, l’optimisation d’envoi de remises, les services bancaires, entre autres. Egalement s’informe sur des accords entre les consulats et les institutions financières pour ouvrir de comptes bancaires aux États-Unis et il est promu le programme « Direct au Mexique » qui s’agit de l’envoi de remises entre les banques centrales des deux pays en réduisent les coûts des envois d’argent. En plus, il est mis à disposition un link pour accéder à un site de calculatrice de remises. 10. Recherches académiques. Ils ont mise à dispositions des publications autour des sujets : économie, politique, migration, sécurité sociale, contribution des communautés 12

Au moment de la révision du site la demande de suscription lance une erreur.

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D’après l’information du site, ce programme a finalisé l’année 2006 avec 63 projets en train de se dérouler. 7


mexicaines pour les États-Unis, entre autres. Les documents sont rédigés soit en espagnol soit en anglais. 11. Représentations à l’étranger. S’informe sur les représentants de l’IME à l’étranger et sur les bureaux consulaires de Mexique dans les États-Unis et le Canada. 12. Réseaux des talents. A partir de l’année 2005 commence la formation d’un réseau de

talents mexicains (RTM) qui a pour but promouvoir une communauté binational entre les scientifiques, les professionnels et les entrepreneurs mexicains et mexicains migrants aux États-Unis qui leur permet monter des affaires qui ont des profits pour le Mexique14. Ils sont mentionnées la China, l’Inde, la Nouvelle Zélande et l’Écosse comme des exemples à succès. Les secteurs stratégiques à développer se centrent autour des nouvelles technologies, voiture, énergie, biotechnologie et santé. L’IME et la Fondation du Mexique et les États-Unis pour la science (FUMEC) sont les principaux associés de ce réseau de talents. Ils sont soutenus pour le Conseil National des sciences et des technologies (CONACYT) et la Secrétaire d’Economie. Les premières activités pour la constitution de ce réseau s’on réalisé dans le cadre des « Journées Informatives » (voire point 4.) où ils ont invités aux mexicains qui habitent au Mexique et aux États-Unis. Ensuite, se sont réalisé des journées locales dans l’Amérique du Nord avec le soutien des ambassades mexicaines aux États-Unis pour identifier aux migrants mexicains hautement qualifies qui voudront participer de ce réseau. A ce moment là, ils ont déjà réalisé 3 journées informatives consacrés au réseau15. Une autre activité a été la participation dans la III Conférence International sur les relations entre l’Etat et la Diaspora où ils soulignent avoir analysé les meilleurs pratiques sur ce sujet 16. Après ces expériences, le réseau de talents est en train de développer deux procès : constituer des organisations autonomes des migrants hautement qualifies intéressé en soutenir le Mexique et constituer des organisations placés au Mexique qui peuvent promouvoir et favoriser la continuité des activités binationales17. Le réseau s’organise en chapitres régionaux et locaux et l’ensemble constitue le réseau global. Chaque chapitre doit être correctement organisé (représentants, plan de travail, budget, projections de travail). Leurs membres doivent habiter à l’étranger et les représentants nationaux seront des institutions publiques et privés intéressés à promouvoir le développement et innovation technologique du pays. Les donations des entreprises et fondations, les fonds gouvernementaux et le payement de chaque membre du réseau constitue 14

Bien qu’en ce moment s’agit d’une communauté binationale (justifié par le fait que 98% des mexicains à l’extérieur habitent aux Etats-Unis), aussi s’envisage l’ouverture de ce réseau vers autres pays. 15

La dernier Journée Informative s’était effectué juillet 2007 avec la participation de 46 membres du réseau et 80 mexicains. 16

Chili, Écosse, Inde, Irlande, Nouvelle Zélande et Sud Afrique sont mentionnés comme cas à succès.

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Les secteurs stratégiques qui doivent favoriser ces organisations sont : Coopération International pour le développement ; TIC ; santé ; nourriture, agriculture, pêche et biotechnologie ; nanotechnologie ; hydrocarbure et énergie alternative ; environnement et changement climatique; voiture ; transport et aéronautique. 8


le financement du réseau. Ainsi le réseau de talents ne s’inscrite pas comme un programme gouvernemental, son rôle se réduit à la promotion. La tendance est que de plus en plus le réseau soit autonome, dirigé par ses propres membres.

En retournant sur le site web de l’IME, des autres informations diffusées sont la publication d’une recherche sur l’observation des systèmes de surveillance dans les Etats-Unis à propos des migrants. Cette observation concerne des initiatives locales de control migratoire et des initiatives à faveur des migrants. Le résultat des programmes des bourses, de convocation au réseau de talents, statistiques des mexicaines à l’étranger et calendriers des événements sont des autres services mis à disposition. Le « réseaux Mexique » est un autre élément diffusé dans le site. Il s’agit d’un espace virtuel crée pour l’IME. Le but est offrir une plateforme technologique qui devient un outil de communication entre mexicains à l’étranger en divers pays d’accueil. Après de la visite dans le site peut se constater que cet outil n’est pas très populaire 18 et qu’il existe peu des interactions. En revanche, se présente un directoire des organisations des mexicains pour continent en identifiant les coordonnées (localisation, date de fondation, personne à charge, adresse email, adresse postale, téléphone, site web) qui pourraient favoriser la diffusion de ces réseaux locaux. Notamment les États-Unis sont surreprésentés avec le registre de 2804 organisations. Il existe un espace de contact de l’IME: se donne l’adresse email, l’adresse postal et le téléphone mais le site ne considère pas des outils interactifs de communication. Ainsi, il est réduit aux aspects informatifs, question fréquents, téléchargement des documents, voire un site de diffusion. Le site web est rédigé en espagnol. Il est énoncé que la version en anglais est en train de se construire. Par rapport aux couleurs, chaque section est associée à un couleur différent, ainsi le site se constitue pour une diversité des tonalités. Les seules couleurs fixes sont le rouge et vert, présente dans le logo institutionnel, qui correspondent aux couleurs du drapeau mexicain. Dans la révision fait pendant mai 2009, le site de l’IME a changé son structure, mais ils sont maintenu les mêmes informations, organisées d’une autre façon. La nouvelle structure privilège dans le centre de la page « Redes Mexico », le registre et les activités des mexicaines à l’extérieur, la gastronomie, les journées informatives, le réseau de talents et le programme de santé.

Conclusions site l’IME

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Au 15 janvier, il y avait 34 personnes enregistrées 9


Le site de l’Institute des mexicains à l’étranger est un site informatif sur politiques concernant les migrants. Les politiques promus sont liées à l’éducation, la santé et le logement. Egalement, les issues financières sont un autre élément relevant dans ce site. Il n’existe pas des outils de communication (forums, chats) qui permet un échange entre l’IME et les migrants, non plus un espace de rencontre entre migrants. Cet espace est donné dans le site « Redes Mexico » qui est une des links externe du site de l’IME. Après la navigation dans ce réseau nous pouvons constater qu’il n’est pas très populaire. Bien qu’au niveau général le site de l’IME se présente comme un espace adressé aux mexicains à l’étranger, notamment les informations sont orientés vers les mexicains qui habitent aux États-Unis, et au moins quantité au Canada. Il est facile de comprendre cette concentration et direction de l’information quand 98% de la population des mexicains migrants habitent aux États-Unis. Normalement les informations sont rédigés en s’adressent au niveau des communautés pas des individus. S’utilise le vocable des « mexicains à l’étranger » et des « migrants ». En ce qui concerne l’utilisation des diasporas pour le développement du pays ils existent deux points remarquables dans le site. Un point, certes de mineur impact, est la ligne d’organisation communautaire qui favorise que migrants peuvent soutenir infrastructures locales de leurs localités d’origine et l’invitation à faire des investissements au Mexique. L’autre point est le réseau de talents, promu et soutenu pour institutions gouvernementales et scientifiques mais qui doit se transformer dans un réseau autonome en coordination avec les besoins et lignes stratégiques du pays.

Site web RedesColombia www.redescolombia.org « Branchez vous avec des autres colombiens »

RedesColombia est une initiative fondée en décembre 2007. Elle est soutenue par le Ministère des Relations Extérieurs (programme colombianosune) et l’OIM (organisation international pour les migrations). Il s’agit de la mise à disposition d’une plateforme technologique qui favorise l’interaction et la communication entre les colombiens qui habitent dans le pays, à l’extérieur et à tous qui s’intéressent à la Colombie. Le but de RedesColombia est fortifier le capital social et le développement du pays à travers de la génération des réseaux. « Branchez vous avec des autres colombiens » est la phrase présent dans la navigation du site qui explique et résume l’objectif de cette initiative. 10


Le site se structure en 4 parties générales: la page d’accueil (inicio), la page personnel (mi pagina), les réseaux (redes) et le moteur de recherche (buscar). Dans le page d’accueil ils existent plusieurs links internes qui favorisent la navigation du site. La colonne à gauche offre des accès direct vers les différentes classifications des réseaux, les services, les alliés stratégiques, les links externes et les promoteurs. Cette colonne est visible et accessible à partir de n’importe quel page du site. La révision du site fait le 19 mai 2009 montre une restructuration de cette information : la nouvelle version présent une section des « services aux migrants » avec information organisée sous le titre des « services » (santé, éducation, logement, remesas, tourisme), « comment migrer ? » (guide d’information), « information d’intérêt » (de consulat, association des colombiens à l’étranger, réseaux des services) et lien vers « gouvernement en ligne ». La colonne à droite offre l’espace pour s’identifier (login), une enquête, commentaires et suggestion sur le portail, informations qui sont visibles seulement dans la page d’accueil. En ce qui concerne l’espace du centre, il est réservé au moteur de recherche à travers d’une carte du monde, les notices, les derniers nouveautés du site et l’espace des personnes et réseaux soulignés. En plus de la colonne à gauche présente dans tout la navigation, dans tous les pages du site il est maintenu un banner supérieur avec le logo institutionnel, une image des mains entrecroise avec les couleurs du fond du drapeau colombien (jaune, bleu et rouge), la phrase qui résume le but du site « Branchez vous avec des autres colombiens » et le 4 parties générales (accueil, page personnel, réseaux et recherche). Egalement sont mise à disposition dans ce banner des links internes vers la présentation de l’initiative (Que es RedesColombia ?), conditions des usages, vidéo, tour virtuel, plan du site et contact. La vidéo a une durée de 10 minutes. Elle évoque des images de la Colombie, des pays d’accueil des migrants et les témoignages des colombiens sur l’utilité du portail. Il est possible de visiteur ce site sans être membre mais si l’on voulait participer de ce réseau il faut s’inscrire. La régistration est ouverte à tous. Chaque usager a un page dans le site à partir de laquelle on a accès à une boîte aux lettres, recevoir et envoyer des invitations, conformer listes de contact et accéder au services de créer un blog, télécharger des photos, proposer des projets et forums, contacter des autres colombiens. Chacune décide si son profil est public ou privée. Dans la révision du 15 janvier 2009 il avait 13.444 usagers enregistrés. Le 19 mai 2009 ce chiffre avait augmenté à 15.569 membres. L’information pour usager montre ses informations personnelles (nom, possibilité de photo), la dernière date de visite dans le site et leur niveau de participation (mesuré pour la quantité de fois qu’écrivent des messages dans le site). Le site est rédigé en espagnol. Les tonalités blanches et blues sont les couleurs le plus prédominants. En ce qui concernent les réseaux, il existe différents classifications : réseau recommandé, réseau dynamique (plus d’activité dans les dernières 15 jours), réseau populaire (plus grand nombre des membres) et réseaux soulignés (plus grand croissance). Pour chaque réseau 11


s’identifie le nom du réseau, la catégorie de classification (par exemple, immigrants, organisation, éducation, sécurité), le responsable ou modérateur, le nombre de membres, la géo localisation de ce réseaux (pays, région) et le niveau de croissance (lequel est mesuré par rapport aux autres réseaux dans la plateforme et exprimé en pourcentage). Il fait souligner que certains réseaux ne correspond pas à une géo localisation, c'est-à-dire, sont transnationaux (par exemple, le réseau « Colombianos Apasionados », qui a augmenté de 1.252 membres en janvier 2009 à 1.441 membres en mai 2009). Certains réseaux sont crées pour les consulats de la Colombie à l’étranger, des autres réseaux sont crées pour la société civile; certains entre eux partagent une même société d’accueil tandis qu’autres une mêmé région d’origine. Une des réseaux le plus populaires (augmentation de 861 membres en janvier 2009 à 907 en mai 09) est « TechnoParque Colombia », programme conduit pour le Service National de l’Apprentissage (SENA). La finalité est soutenir des idées productives et innovatrices qui pourraient devenir des entreprises pour le pays. L’électronique, biotechnologie et les TIC sont les domaines favorisés à développer. Une des réseaux le plus dynamiques et soulignés est « Por Colombia » (17% de croissance). Il s’agit d’une organisation conduit pour les étudiants colombiens aux États-Unis. Leur but est organiser une communauté intéressé pour la Colombie qui joindre des efforts et ressources au profit du pays. Dans la révision du 19 mai 2009, ce réseau a perdu ce statut. Pour chercher un réseau il est possible d’utiliser le directoire et le moteur de recherche. Une autre manière de rechercher est cliquer sur la carte du monde mise à disposition : on peut identifier pour continent, pays, département et ville la quantité des colombiens enregistrés et la quantité des réseaux crées en chaque lieu. Au 7 janvier ont été enregistré 482 réseaux et le 19 mai 2009 il y avait une augmentation à 601 réseaux. Le pays avec la plus grande quantité des membres est la Colombie (6941 membres en janvier et 7652 en mai 2009) suivi des ÉtatsUnis (1157 en janvier et 1955 en mai 2009) et l’Espagne (945 en janvier et 1310 en mai 2009). De même, si nous observons la quantité des réseaux, ce 3 pays représentent la plus grande quantité des réseaux (106 en janvier et 129 en mai 2009, 26 en janvier et 41 en mai 2009 et 13 réseaux en janvier et 20 en mai 2009 respectivement). Par rapport aux membres et réseaux pour continent, les pays de l’Amérique du Sud sont à la tête (8590 membres en janvier et 9605 en mai 2009 et 111 réseaux en janvier et 136 réseaux en mai 2009), suivi pour les pays de l’Europe (2324 membres en janvier et 2890 en mai 2009 et 26 réseaux en janvier et 36 en mai 2009) et les pays de l’Amérique du Nord (2039 membres en janvier et 2485 en mai 2009 et 35 réseaux en janvier et 50 en mai 2009). Une fois choisi un réseau, se montre une description, la date de la création, pays, province, administrateur, s’il existe une modération de photos et de messages et le niveau de croissance du réseau (mesuré en pourcentage). Egalement il est possible de demander devenir membre du réseau et de créer leur propre réseau.

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Par rapport aux services mis à disposition dans le site web, lesquels sont disponibles à partir de la page d’accueil, il est possible de créer et participer des forums et chats, annoncer et consulter la vente et l’achat des produits et services, lire le bulletin des informations (principalement issus de la chancellerie et du programme même), des statistiques du site, des questions fréquents et consulter un service d’aide sur le fonctionnement de la plateforme. Il existe aussi les outils d’agenda, organiser documents et télécharger des photos. Egalement il est possible de formuler des projets : ce service a pour but chercher des partenaires pour promouvoir et développer des initiatives sociales, culturales, économiques, communautaires, entre autres. Au 15 janvier il y avait 62 propositions des projets mais il semble que ce service n’est pas très populaire : seulement deux projets ont plus d’un membre, le Consulat mobile de santé (9 membres) et l’association Colombien de robotique (3 membres). Le site de la Présidence de la République, la semaine binational de la santé et le Ministère des Relations Extérieurs sont les links d’intérêt soulignés pour ce site. En ce qui concerne les alliés stratégiques, également disponibles à partir de la page d’accueil, RedesColombia souligne « Colombianos negocian » (http://www.colombianosnegocian.com), initiative qu’après 2005 fait des réseaux commerciaux entre colombiens à l’étranger et ce qui restent dans le pays, au niveau des individus et des entreprises pour faire des business. Une autre allié est « Conexion Colombia », (http://www.conexioncolombia.com/) qui s’agit d’un service sur démarches des migrants, informations du pays, recherche des donations pour favoriser différents fondations. Un troisième allié est l’initiative « Colombia es pasion » (http://www.colombiaespasion.com/), il s’agit d’une campagne pour fortifier une image positive du pays dans le monde.

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D’accord à ce que nous avons expliqué en avance, la manière de présenter les alliés stratégiques dans la version du site de 19 mai 2009 a changé, ils sont organisées maintenant dans la rubrique « services aux migrants ». Conclusions RedesColombia RedesColombia est une initiative qui a pour but général mise à disposition une plateforme technologique pour favoriser la communication entre colombiens. De cette manière, cette plateforme peut être au service des différentes initiatives et besoins personnels et communautaires : il peut être utile pour acheter ou vendre un produit, pour rencontrer des autres colombiens ou pour faire des réseaux avec des fins économiques, sociales, culturels, éducatives, entre autres. En fait, la navigation dans le site permet de conclure qu’il existe une hétérogénéité des objectifs dans la constitution des réseaux. Le portail se constitue comme un lieu de contact et de visibilité entre les différents membres : ils sont mis à disposition divers outils pour inviter au dialogue sans que soit possible être anonyme. Ainsi, son fonctionnement est dirigé vers l’horizontalité bien qu’existe un modérateur du site et en certains réseaux ils existent des modérateurs particuliers. Le vocabulaire utilisé par rapport aux membres du site est de colombiens qui habitent à l’extérieur et dans le pays. Les vocables relatifs aux migrants sont moins présents. Les chiffres de quantité des membres et des réseaux sont relevant mais si l’on navigue pour le site on trouve que plusieurs réseaux n’ont pas plus de membres que le créateur. Par exemple, le site montre que dans le cas de la France, il y a 438 membres (au 25 mai 2009) et 6 réseaux. Si nous observons les détails de ces réseaux seulement ils existent 4 réseaux : « Colombianos en Francia » avec 31 membres, « Todos por Maria Paz » 2 membres et « Colombianos en Lyon « et « Luciole humanitaire » les deux avec 1 membre, c'est-à-dire, la personne qui avait crée le réseau. De même, certains outils, tout en particulier le service des « projets » ne semble pas à succès, on trouve des initiatives semblables qui utilisent l’outil de « création de réseau » à la place de l’outil « projet », par exemple, les réseaux qui offrent des affaires avec la Chine, l’exportation de café ou en général, faire des discussions sur opportunités des business. En ce qui concerne la diaspora et la formation des réseaux pour contribuer au développement du pays d’origine, RedesColombia peut devenir une espace pour encourager la constitution de ce type de réseau. En fait, il existe déjà certains initiatives : le 30 décembre 2008 a été crée le réseau des diasporas latino-américains (CIDESAL) qui travaille sur les diasporas scientifiques et techniques en Amérique Latine, mais jusqu’à le 25 mai 2009 le seul membre est le créateur du réseau. Une autre initiative proche de cette thématique est le réseau des « talents humains retournés et la politique publique ». Il s’agit d’un réseau pour discuter des politiques publiques qui permet d’éviter la fuit des cerveaux (9 membres, réseau fondé 30/01/08).

Conclusions finales 14


Si nous comparons les trois sites web consacrés aux migrants qui nous avons révisé, nous pouvons conclure que chacun répondre à prendre contact avec des ressortissants à travers des manières différentes autant pour les objectifs définis comme pour la forme et le contenu des sites, les outils mise à disposition, et le modèle d’organisation et de gestion qu’il y a derrière d’eux. Le site du Chili s’agit d’un site institutionnel informatif, avec une organisation hiérarchique, voire verticale. Bien que les objectifs soient détaillés, le site ne reflet pas les accomplir complètement: il manque la mise à disposition des outils qui favorisent le débat en ligne et la transparence de qui sont leurs membres. Par ailleurs, il semble que le réseau de talents est encore petit et ne comprend pas beaucoup des pays. Pareil à l’expérience du réseau des talents du Mexique, le pays avec qui le Chili ont plus de contact sont les États-Unis, mais à différence du Mexique où 98% des ses migrants résident dans l’Amérique du Nord, la population des chiliens à l’étranger est plus dispersé: selon les chiffres du « Registre de Chiliens à l’étranger 2005 » les chiliens qui résident à l’Amérique du Nord représentant seulement 18% de la population des migrants chiliens. En ce qui concerne le réseau de talents du Mexique, il est plus nombreux et leurs membres ont un rôle plus actif qu’au Chili, en considérant que dans ce dernier pays le rôle plus active semble le faire l’équipe de gestion consacré à cette tâche, tandis qu’au Mexique le réseau doit devenir autonome, c'est-à-dire, administré par leurs propres membres. Son organisation géographique et par taille (ils existent les chapitres locaux, régionaux et globaux) est favorisé pour être concentré dans un seul pays et avoir un réseau plus nombreux en comparaison avec le Chili. L’information du réseau mexicain est plus détaillée que dans son homologue chilien. Dans les deux cas, les ambassades et consulats ont un rôle actif de liaison et contact entre le pays et les ressortissants. Un autre point de rencontre entre ces deux réseaux de talents est le fait qu’ils sont priorisé le développement des secteurs avec une valeur ajoutée (comme les TIC et la biotechnologie). Dans le cas de la Colombie, il s’agit de la mise à disposition d’une plateforme technologique qui favorise la communication entre leurs membres de même que la création des réseaux thématiques (parmi lesquels il est possible de faire un réseau de talents). En ce point il faut souligner qu’autant comme il est au service des personnes à titre individuel ou de la société civile, également il est un outil utilisé par les organisations, notamment pour les consulats. En ce qui concerne le rôle de participation des membres, à différence des autres deux sites, RedesColombia permet une communication horizontale, directe avec des autres, qui ne sont jamais anonymes. Au Chili, il est possible de commenter les informations mais n’est pas possible de prendre contact direct avec les membres ni moins d’identifier qu’ils sont. Par contre, dans le cas du Mexique, n’est pas envisagé mise à disposition aucune outil de communication interactif, l’espace dedans le site de l’IME est un lieu consacré aux informations mais dans ses informations il est possible d’accéder à la lista de certains membres et une brève description du CV et courriel électronique. Dans le cas du Chili, le site révisé est exclusif réservé pour le réseau de talents. Pour Mexique, dans un site adressé aux migrants il y a une partie réservé au réseau de talents. 15


Tandis que pour la Colombie est un site de communication, ouverte, où il est possible que soit crée un réseau des talents. Les trois sites visités privilégiant dans la rédaction des contenus les vocables « nationalité + à l’étranger » à la place des « migrants ». Il semble que n’est pas un choix par hasard sinon que le premier vocable justement permet de s’approcher plus aux ressortissants. En plus, les images, photographies et couleurs de chaque site sont liés aux pays, permettent de renforcer les sens d’appartenir à, d’être partie d’une communauté. En considérant l’expérience de Redes Colombia (avec nombreux membres) et Redes Mexico (avec une communauté réduit) il faut se demander quels caractéristiques doivent avoir un réseau social virtuel d’une nationalité en particulier, pour qui soit utile et permet aux ressortissants s’engager, prendre en considération qu’il existe une offre massive des outils des réseaux sociaux (par exemple, facebook) qui sont devenus très populaires.

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