,,
GASCONISME?.
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Plusieurs disent
SESTISEtlr.
SiLlÈRt;.
Tempe. La jjarlie de la lèlc qui esl depuis jusqu'au front. Ti'iipe.
—
l'oreille
•
—
Voile d'un vaisseau.
—
Vésicule. Pçlite vessie qui,
ronde cannelée en ligne spirale, et qui entre dans un écrou. etc.
Vis. Pit'ce
nous
un
tu cueillis,
il
cueillit,
cueillissent.
ils
très-commun de ne prononcer aucune voyelle nasale, et de
défaut
aucun
6 ouvert, ui
faire brèves des voyelles qui sont longues.
QUI SONT FÉMININS DANS LE PATOIS, EX MASCULINS DANS
Ciioillis,
vous cucillissez,
Je cueiîissois, tu ciieillissyis, etc. Je cucillirai, tu cueiiliras, etc., tueillissant : Au lieu de je cueille, tu cueilles, il cueille; nous cueillons, vous cueillez, etc. Je cuaiilois, etc. Je cueillerai, etc. Participe cueillant. C'est
MOTS
Je
:
ciieillissons,
rUANTOlS
LI?
Les voyelles nasales sont celles qui sont précédée» d'un ou d'un n, qui se prononcent sourdement du nez, et qui ne se lient pas avec la voyelle suivante. Ainsi, au lieu de dire pussio luiveugte qucslio ninullle , entrelie ninsipido , etc. Il faut dire passion aveu tjlç, question inutile, entrelien insipide; de façon que le sou en soit modifié par des mots passion, le nez, et que le n final question, entretien, ne se lie pas avec la voyelle
m
:
— Aigle, pris au propre. fém. au romaiiu':S. — Amulette. — Les ligure Antipodes. — Argent, dans l'acception de Monnaie. Augure. C'.paiCE. — Carême. — Cabosse. — Cbasvke. — Chiffre. Il
ÀFrnoNT.
est
aifjlcs
:
(
de
du mol suivant. Je ne f^is qu'avertir de ces deux défauts; on apprcnt
dra
RESHONSECa. Épi
:
règles dans les
les
grammaires
françoiscs.
'
blé.
)
Nota. Nous trouvons dans notre patois une méthode facile de eonnoître un grand nombre de voyelles longues. Lorsque, dans les mots du patois, il y a Istervalle. Incendie. Is^erlicse. après une voyelle une s qui a été relranchée dans .LliîVRE. les mots françois, cette voyelle est longue, et on Manouvricr , subst. m., qui y met l'accent circonflexe ("). Tel» sont les mots Mancecvre, pris pour côte ; oresta , arrêter ; travaille à la journée , Journalier , homme de hosiou , biUoii ; costo , Ouvrier subalterne, qui tcmpcsto , tempête j etc., etc. journée (Ac. ), pour MckMasque. sert ceux qui font l'ouvrage. Froid, substantif.
HoLOCACSTE.
— Honneur. — Horoscope.
—
—
:
:
—
—
•
SOSCE.
EXCEPTION.
MlîiUIÏ.
patois commence par es ( c le recueil de toutes les escouta moyen), comme écouler; estendrc, éten, l'œuvre Tout de graveur. même dre; estouna, étonner; etc. Le premier é est bref, Calot. Il est aussi mase. , en parlant des ouvrages on y met l'accent aigu ('). des Musiciens , des recueils de niusi(|ue. Tout et l'œuvre de LuUi. ( Gr. Voc. ) Le premier , le Oncle. second œuvre de ce Musicien. (Ac.) Nota. Les verbes dont l'infinitif se termine en a, Peigne. Pique. ( Carte. ) Pavie. (Fruit. ) comme parla, donsa, ont le participe présent et le gérondif en ant. Parlant, dansant; en parlant, en Risque. Reste. Parlant, dansant, le t ne se prononce pas. Squelette, Sei. dansant; en parlant, eii dansant. Trèfle. Les verbes dont l'infinitif Se termine en e ou er, tVVWVVVVWWK\WWWVVV*VVVWVW\>\fyVWAA\WVWA\VW\-VW ^w/wvvvv wvwww ww\ \v comme cre-4re , ve-ire, apprendre, over , sober pouder ( tous ces e sont moyens ) , ont le participe présent et le gérondif eut ent , sans prononcer le t : Cresent, part, croyant; en cre-iren , en croyant. voyant. (Quelques personnes, qui même ont reçu une bonne Ve-ire, part, vezent, voyant; enve-iren, en ayant. éducation, disent: il vouloit que je ^*, ([uc j'aMHrt, jOfer, part. Odzent , ayant ; en orfcffU, en que ^aimasse. Au contraire ,' i5£?6er, part, «oftmt, sachant; ef> Aciic««, en sachant.
CEuvRE, lorsqu'il Estampes d'un
Lorsque
signifie
—
le
mot du
—
—
— —
—
Quelques autres Fautes.
pour: ces
q\ie je /«AS6,
mêmes
fisse, (\vCU
Je voulois qu'i/ Pouder, personnes disent aimasse, \}Ovix c^vCil fit , ({n'H aimât, .pouvant. :
part,
paudent, pouvant; en poudent, eu
FIN DES GASCOKISMES.