Barcelona #1

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Por qué tanto perderse Tanto buscarse Sin encontrarse Me encierran los muros De todas partes Barcelona Te estás equivocando No puedes seguir inventando Que el mundo sea otra cosa Y volar como mariposa Barcelona Hace un calor que me deja por dentro Con este vicio De vivir mintiendo Qué bonito ser a tu mar Si supiera yo nadar Barcelona Mi mente tan llena De cara de gente

extranjera, Conocida, desconocida He vuelto a ser transparente No existo más Barcelona Siendo esposa de tus ruidos Tu laberinto extrovertido No he encontrado la razón Porque me duele el corazón Porque es tan fuerte Que solo podré vivirte En la distancia Y escribirte Una canción Te quiero Barcelona Ella tiene el poder Ella tiene el poder Barcelona es poderosa Por qué tanto perderse Tanto buscarse Sin encontrarse Me encierran los muros De todas partes Barcelona Te estás equivocando


Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la Toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont

bâti mes aïeux, Que des palais romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine, Plus mon Loire gaulois que le Tibre latin, Plus mon petit Liré que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la doulceur angevine. Mes belles émotions! Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la Toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre


When you're feeling sad and low We will take you where you gotta go Smiling dancing Everything is free All you need is positivity Colours of the world Spice up your life Every boy, every girl Spice up your life People of the world Spice up your life Aaahhh ! Slam it to the left If you're having a good time Shake it to the right If you know that you feeel fine Chicas to the front Uh uh go round Slam it

to the left If you're having a good time Shake it to the right If you know that you feeel fine Chicas to the front Hi, Ci, Ya hold tight Yellow men in Timbucktoo Colour for both me and you Kung Fu fighting Dancin' Queen Tribal space man, and all that's in beetween Colours of the world Flamenco Lambada But hip hop is harder We moonwalk the foxtrot Then polka the salsa Shake shake shake,


I‘'m nothing special, in fact I'm a bit of a bore If I tell a joke, you've probably heard it before But I have a talent, a wonderful thing 'Cause everyone listens when I start to sing I'm so grateful and proud All I want is to sing it out loud So I say Thank you for the music, the songs I'm singing Thanks for all the joy they're bringing Who can live without it, I ask in all honesty What would life

be? Without a song or a dance what are we? So I say thank you for the music For giving it to me Mother says I was a dancer before I could walk She says I began to sing long before I could talk And I've often wondered, how did it all start? Who found out that nothing can capture a heart Like a melody can? Well, whoever it was, I'm a fan So I say Thank you for the music, the songs I'm


Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées; Mon paletot soudain devenait idéal; J'allais sous le ciel, Muse, et j'étais ton féal; Oh! là là! que d'amours splendides j'ai rêvées! Mon unique culotte avait un large trou. Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des

routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur! Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées; Mon paletot soudain devenait idéal; J'allais sous le ciel, Muse, et j'étais ton féal; Oh! là là! que


Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte. Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là Simple et tranquille. Cette paisible rumeur-là Vient de la ville. Qu'as-tu fait, ô toi que voilà Pleurant sans cesse, Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà, De ta jeunesse ?

Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte. Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là Simple et tranquille. Cette paisible rumeur-là Vient de la ville. Qu'as-tu fait, ô toi que voilà Pleurant sans cesse, Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà, De ta jeunesse ?


Comment alors communiquer, comprendre, se faire comprendre par l’autre lorsque la langue est différente ? Il faut utiliser ce que l’on a à sa disposition (sous la main) : le dictionnaire (présent majoritairement dans les exils voulus, absent par manque de ressources et préoccupation plus importantes pour l’exil forcé), ses mains, ses mimiques, ses oreilles pour tenter de comprendre (etc.),

c'est-à-dire principalement son corps. Le corps est le seul « moyen à disposition » lorsque le langage n’est pas possible. Le visage apparaît comme le lieu le plus approprié pour transmettre ce que l’on ressent, et ce de manière plus ou moins volontaire. Le visage est en effet signe de l’altérité, c’est-à-dire de ce qui nous échappe absolument. Il montre la vulnérabilité de chacun.


Sur mes cahiers d'écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable de neige J'écris ton nom Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J'écris ton nom Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J'écris ton nom Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l'écho de mon enfance J'écris ton nom Sur les

merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J'écris ton nom Sur tous mes chiffons d'azu Sur l'étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J'écris ton nom Sur les champs sur l'horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J'écris ton nom Sur chaque bouffées d'aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J'écris ton nom Sur la mousse des


L'homme était grand, très grand, qui se tenait sur la rive, près de la barque. La clarté de la lune était derrière lui, posée sur l'eau du fleuve. A un léger bruit l'enfant qui s'approchait, lui tout à fait silencieusement, comprenait que la barque bougeait, contre son appontement ou une pierre. Il tenait serrée dans sa main la petite pièce de cuivre. 'Bonjour, monsieur', dit-il d'une voix claire mais qui

tremblait parce qu'il craignait d'attirer trop fort l'attention de l'homme, du géant, qui était là immobile. Mais le passeur, absent de soi comme il semblait l'être, l'avait déjà aperçu, sous les roseaux. 'Bonjour, mon petit, répondit-il. Qui es-tu ? - Oh, je ne sais pas dit l'enfant. - Comment, tu ne sais pas ? Est-ce que tu n'as pas de nom ?'


I have a dream, a song to sing To help me cope with anything If you see the wonder of a fairy tale You can take the future even if you fail I believe in angels Something good in everything I see I believe in angels When I know the time is right for me I'll cross the stream - I have a dream I have a dream, a fantasy To help me through reality And my destination makes it worth the while Pushing

through the darkness still another mile I believe in angels Something good in everything I see I believe in angels When I know the time is right for me I'll cross the stream I have a dream I have a dream, a song to sing To help me cope with anything If you see the wonder of a fairy tale You can take the future even if you fail I have a dream, a song to sing To help me cope with anything If


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